Le contrôle compulsif est la dérive d'un individu qui l'amène à vouloir tout contrôler, tout diriger ou tout superviser sans forcément en avoir conscience. Dirigé au départ vers soi, en contrôlant ses sentiments, ses émotions et même ses pensées, le contrôleur compulsif étend son champ d'action aux autres.
En général, les personnes qui veulent tout maîtriser ne se contentent pas d'organiser leur quotidien, elles veulent également contrôler leurs émotions : retenir des larmes, éviter les démonstrations d'affection, voire même contrôler son désir.
Abordez entre quatre yeux la personne qui veut tout contrôler pour lui expliquer vos craintes. N'en faites pas une affaire publique. Gardez la discussion centrée sur la façon dont ce comportement de contrôle vous affecte. N'insultez pas cette personne en lui disant qu'elle est trop autoritaire.
Dans le jargon lié à la psychologie, le terme maniaque du contrôle désigne un individu qui tente de déstabiliser en se basant uniquement sur l'imposition de règles personnelles envers son entourage.
Définitions : analyste - Dictionnaire de français Larousse.
panophobie, pantophobie , subst. fém., psychanal. État d'anxiété intense et mal définie ne portant sur aucun objet précis, qui s'observe dans un grand nombre de maladies et syndromes.
Les personnes psychorigides sont également peu chaleureuses, voire froides, même avec des personnes qu'elles apprécient. Elles ont aussi généralement un côté obsessionnel et perfectionniste à l'extrême, qui les pousse à vouloir tout gérer, tout contrôler (tout doit être organisé, planifié.
Bon à savoir : le pervers narcissiqueUn pervers narcissique est une personne qui souffre d'un trouble de la personnalité. Celle-ci a une mauvaise image d'elle-même et tente de la changer en dévalorisant et en rabaissant les autres, le plus souvent des proches.
Mécanisme de défense de la personnalité
Une personne psychorigide est généralement perçue comme froide, logique, carthésienne, désespérément raide et dénuée de fantaisie, d'impulsivité et d'affectivité. En psychologie, la psychorigidité fait partie des mécanismes de défense des personnalités obsessionnelles.
La domination peut être comprise comme une déviation du besoin d'affirmation de soi et de reconnaissance. Cette déviation peut avoir une origine psychologique comme par exemple le mécanisme de compensation.
Une des manières de gérer quelqu'un qui croit toujours avoir raison est de commencer par être d'accord avec lui ou au moins d'admettre que vous comprenez ce qu'il dit. Ensuite, vous pouvez présenter votre contreargument. Par exemple, vous pourriez lui dire : « je comprends ce que tu dis.
Peu douée pour la communication, la personne psychorigide ne peut pas s'empêcher de décider de tout : les vacances, les menus, les activités, les horaires, qui doit faire quoi et à quel moment… Un seul avis compte : le sien !
"Les “j'ai-toujours-raison” se caractérisent souvent par une difficulté d'écoute et d'empathie. Ils sont trop passionnés et concentrés sur leur discours pour pouvoir écouter quelqu'un d'autre, ou alors ils se braquent par peur d'avoir le dessous", explique Christophe André, psychiatre à Paris.
On ne naît pas psychorigide, on le devient. Selon la théorie psychanalytique, il s'agirait de personnes qui auraient trop idéalisé leurs parents : elles éprouveraient ainsi une grande satisfaction à se conformer à des règles, de la même façon, qu'enfant, elles obéissaient aux adultes.
Une bonne façon des gérer les personnes autoritaires est de piloter, varier et graduer la distance relationnelle, voire de s'en séparer. Consigne n°6 : évitez de vous isoler. C'est un piège, vous avez besoin de parler, on a tous besoin de parler. Sélectionnez des proches de confiance qui vont comprendre le sujet.
Trouve des distractions. Lorsque quelqu'un parle dans ton dos, il peut être difficile de te concentrer à l'école ou bien sur ton lieu de travail. Oriente ton énergie vers des activités positives pour te distraire au lieu de te concentrer sur la négativité générée par les commentaires.
Vous pouvez généralement reconnaître la personne autoritaire quand elle : Cherche à imposer son sentiment de pouvoir, son avis, son point de vue ou sa décision. Éprouve le moins d'empathie possible pour l'autre et ne tient pas compte de ses émotions lorsqu'elle donne des ordres.
Perte du sens des réalités, intolérance à la contradiction, actions à l'emporte-pièce, obsession de sa propre image et abus de pouvoir... Ce seraient quelque uns des symptômes d'une maladie mentale liée à l'exercice du pouvoir, le syndrome d'hubris.
La personne contrôlante cherche ainsi à faire faire, dire, penser ou ressentir par l'autre ce qu'elle veut que l'autre fasse, dise, pense ou ressente, ceci contre sa volonté ou à son insu. Le jeu de pouvoir produit la plupart du temps un malaise chez la personne qui le subit.
La mégalophobie se caractérise par la peur irrationnelle de tout ce qui paraît de grande taille. Les personnes qui en souffrent peuvent être prises de panique à l'idée de se retrouver face à de grands - ou d'anormalement grands - objets.
Pathologie, peur extrême des rats, souris et autres petits rongeurs. Exemple : Depuis ses jeunes années passées dans la ferme de sa tante, Janet est réellement traumatisée et a développé une véritable musophobie.
La nosophobie est une peur irrationnelle de contracter une maladie grave (cancer, Alzheimer, Parkinson, Sida, cardiopathie, sclérose en plaques…). La personne souffrant de nosophobie veut, à tout prix, rester en bonne santé.