Remplacez vos aliments malsains par des aliments non transformés comme des fruits au lieu de bonbons, ou du chocolat noir au lieu des sucreries. Essayez d'adopter une alimentation équilibrée, riche en bonnes graisses, en fruits, en légumes, en protéines et en glucides entiers non-transformés.
En effet, la dépendance alimentaire est liée à des apports incontrôlés associés à l'obésité et aux troubles du comportement alimentaire. Il s'agit d'un trouble cérébral complexe, chronique et multifactoriel qui résulte de l'interaction de plusieurs gènes et facteurs environnementaux.
Penser constamment à manger peut également être l'expression d'un mal-être lié à la dépression, aux troubles d'anxiété ou encore aux troubles obsessionnels compulsifs.
Les hyperphages mangent souvent même lorsqu'ils n'ont pas faim et continuent de manger jusqu'à ce qu'ils soient remplis et même au delà. Il peuvent aussi se goinfrer en mangeant rapidement et en ne faisant pas attention à la quantité d'aliments qu'ils ingurgitent.
Ce sont des compulsions alimentaires, donc des épisodes de prise alimentaire exagérée, dues aux émotions. Ce peut être indifféremment bulimia nervosa ou bing eating. Ce peut être de la boulimie ou des grignotages, de l'alimentation nocturne...
De l'hyperphagie boulimique à l'addiction ? Un autre trouble de comportement alimentaire devant être distingué de l'addiction à la nourriture est l'hyperphagie boulimique (Binge Eating Disorder).
L'hyperphagie est un trouble du comportement alimentaire qui toucherait près de 600 000 personnes. Si l'hyperphagie est caractérisée par le besoin de manger de façon compulsive, elle se distingue de la boulimie par l'absence de comportements compensatoires, comme se faire vomir ou prendre des laxatifs.
Le suivi médical en cas de boulimie et d'hyperphagie boulimique. Le suivi des personnes boulimiques est pluridisciplinaire (psychiatre, pédiatre, médecin traitant, psychologue, diététicien). Le suivi psychologique doit être long (au moins une année, voire plusieurs années) pour s'assurer de la guérison.
La personne atteinte d'anorexie mentale ou de boulimie peut alors sentir son flacon d'HE de lavande officinale, de petit grain bigarade, ou de camomille romaine, suivant l'odeur qu'elle préfère pour profiter de leur effet antistress.
Le terme orthorexie est-il nouveau pour vous? L'Office québécois de la langue française le définit comme étant : « Un comportement névrotique caractérisé par l'obsession d'une alimentation saine. »
Le fait de se passer d'un repas dans la journée est un des principes du jeûne intermittent, qui consiste à laisser une période de minimum 11 heures entre deux prises alimentaires. Ainsi, on alterne une phase de jeûne et une phase d'alimentation normale. C'est souvent le petit-déjeuner ou le dîner qui passe à la trappe.
Une seule solution pour rester à son poids idéal: faire de l'exercice physique chaque jour et ne manger qu'à sa faim. «Au début, cela demande beaucoup d'attention et des efforts car nous vivons dans une société d'hypersollicitation alimentaire et puis on prend l'habitude et les choses se font naturellement.
Prenez quelques instants pour réfléchir à vos émotions et à la manière dont vous pourriez solutionner le problème. Dressez une liste de ce que vous pouvez faire plutôt que manger (marcher, écouter de la musique, méditer, etc.). Déshabituez-vous.
Les causes de la boulimie sont multiples, complexes et difficiles à établir. Elles sont communes à tous les troubles du comportement alimentaire (TCA), comme l'anorexie mentale et l'hyperphagie boulimique. Elles peuvent être génétiques, neurobiologiques, psychologiques, familiales ou encore socioculturelles.
Pour simplifier au maximum, la leptine est l'hormone qui dit à ton corps quand il faut arrêter de manger. Si tu as un faible niveau de leptine cela peut souvent entraîner des fringales dans la journée et donc ton corps aura tendance à stocker davantage.
Au déjeûner, mixez des fruits et des légumes en quantités égales : des pommes et des épinards, des carottes et des oranges, du kale et des fruits rouges, par exemple. Et le soir, concoctez vous un jus de légumes uniquement, pour assurer un effet drainant tout au long de la nuit.
Faire un seul repas par jour : quels bienfaits et quels risques ? Le corps étant privé de son apport calorique, il puise dans ses réserves de graisses. Cela entraîne une perte de poids certaine, si le seul repas consommé de la journée est équilibré.
Définition "morfal" n.m. Personne qui mange beaucoup, avidement, malproprement.
Le déclencheur de la culpabilité
Le déclencheur est le fait de manger un aliment qu'on ne devrait pas ou de tout simplement trop manger. À la suite de cette prise alimentaire impromptue, en réponse à l'affect, que la culpabilité vient nous ronger.
On parle d'hyperphagie boulimique lorsque les épisodes récurrents de crises de boulimie ne sont pas associés à des comportements compensatoires (vomissements, utilisation de laxatifs...). En général l'hyperphagie boulimique occasionne un surpoids ou une obésité et génère une souffrance psychique.
Selon une étude scientifique parue dans l'International Journal of Obesity, ces comportements boulimiques auraient une explication hormonale : le soir, les niveaux d'hormone de la faim augmenteraient et ceux de la satiété diminueraient, cette tendance étant en hausse si l'on ajoute du stress.