donner à l'élève des moyens de connaître ses forces et faiblesses. l'aider à percevoir les sollicitations d'une tâche vis à vis de ces forces et faiblesses. encourager l'autonomie. donner des exemples réels ou symboliques de dépassement de soi.
Ne rien faire, résister aux choses qu'on leur demande leur donne l'impression d'avoir le dernier mot. Vu sous cet angle, on ne gagne rien à gronder son enfant et à le traiter de paresseux. Une telle attitude, en effet, ne peut qu'augmenter sa volonté de vous résister.
Les quatre principaux indicateurs de la motivation scolaire sont : le choix, la persévérance, l'engagement et la performance. Ces indicateurs, contrairement aux sources de la motivation qui déterminent le niveau de motivation de l'élève, sont des conséquences de la motivation (2).
Par exemple, permettre aux élèves de choisir son type d'affectation ou les problèmes sur lesquels travailler peut leur donner un sentiment de contrôle, qui peut les motiver à faire mieux.
On intéresse les élèves en donnant du sens au contenu ; c'est un moyen d'avoir leur attention. Néanmoins, il est important d'introduire un point notionnel ou grammatical nouveau pour chaque cours. Les élèves sont beaucoup plus attentifs quand ils sentent qu'un point nouveau du programme va être abordé.
Décortiquez les efforts (pédalage, guidon), faites-lui parler de sa stratégie : «Comment as-tu fait ?» Et s'il tombe, il remonte ! Dites-lui tout ce que cela va lui apporter. Imposez-lui au moins un sport. C'est le domaine par excellence où l'on apprend à persévérer et où l'intérêt se développe en le faisant.
La valorisation des élèves passe par le respect de leurs émotions et de leurs sentiments. Il s'agit donc d'installer un climat de classe le permettant (Voir Émotions). C'est lié au fait que les encouragements et compliments adressés puissent être ressentis comme authentiques par l'élève.
La motivation est un important déterminant de l'engagement dans les études et de la réussite scolaire. Cependant, avec le temps, de nombreux élèves connaissent une diminution de leur motivation. Ce phénomène est grandement relié à la difficulté pour plusieurs à satisfaire à l'école leurs besoins psychologiques de base.
Répondre au besoin de connexion des élèves avec les autres peut renforcer la motivation pour l'activité d'apprentissage connexe. En effet, les élèves font preuve d'une motivation accrue lorsque les enseignants leur offrent fréquemment des occasions de partager leurs questions, et ce qu'ils ont appris avec leurs pairs.
Dans leur théorie d'autodétermination, Deci et Ryan (2002) distinguent trois principaux types de motivation : La motivation intrinsèque; La motivation extrinsèque; L'amotivation. ...
Les besoins de compétence;
Les besoins d'autonomie;
Les besoins d'affiliation (de relation avec autrui).
La motivation est un puissant moteur d'apprentissage, tout comme l'utilité sociale et professionnelle des connaissances acquises. Pour une intégration fructueuse des connaissances, toute formation se doit d'être volontaire, sans contrainte.
Soyez positive. Pour aider quelqu'un à retrouver sa motivation, il est essentiel de l'encourager afin de renforcer sa confiance en lui. Soyez attentive, et faites-lui remarquer ses petits succès. Sans tomber dans la flatterie, n'hésitez pas à souligner ses qualités.
On peut faire diversion, interpeller un autre élève, lancer une autre activité, on oriente l'attention des élèves dont celui là sur autre chose. Même quand l'extinction marche, il y a toujours des moments où le comportement réapparaît, il faut y être préparé. Souvent le comportement est renforcé par les camarades.
Prendre le temps de l'écouter, et de faire des activités en groupe qui lui correspondent. Un enfant timide a besoin d'être écouté, et surtout qu'on évite de le brusquer. Intéressez-vous à lui, discutez avec lui, et, selon ses centres d'intérêt, proposez-lui de faire en petit groupe des activités qui lui plaisent.