Georges Brassens avait d'abord commencé par apprendre le piano chez sa tante Antoinette en 1940. Ce n'est qu'en 1951 que Jacques Grello, chansonnier et pilier du Caveau de la République, lui offre sa propre guitare et lui conseille de s'accompagner sur scène avec cet instrument.
Re: Les Busatos de Brassens
Entre le modèle "jazz" du milieu des années 40 évoqué dans le précédent post, et le modèle Brassens conçu pour l'artiste par Jacques Favino, Georges Brassens a également possédé et utilisé deux Busato de type classique, mais à cordes métalliques et chevalet agissant en compression.
En 1951, Georges Brassens se lance sur les scènes des cabarets, malgré un trac fou de chanter ses chansons en public. Il est alors repéré par Jacques Canetti, directeur des Trois Baudets, qui l'engage chez Polidor et lui produit ses premiers disques comme "Le Gorille", "La mauvaise réputation", "Le petit cheval".
Des auteurs comme Ray Ventura, Trénet, Django Reinhardt, Baudelaire, Villon, Verlaine, Mallarmé, Hugo, sont pour lui autant de sources d'inspiration.
Après les deux semaines de congés autorisés chez sa tante, il s'installe impasse Florimont chez son amie Jeanne Le Bonniec - plus tard saluée dans « La Cane de Jeanne » et « Chez Jeanne ». En 1945, Brassens achète sa première guitare et peaufine sa technique sur les premières chansons de son répertoire.
Georges Brassens (/ʒɔʁʒ bʁa. sɛ̃s/), né le 22 octobre 1921 à Sète (Hérault) et mort le 29 octobre 1981 à Saint-Gély-du-Fesc (Hérault), est un auteur-compositeur-interprète français.
Le style de Brassens est nourri de plusieurs influences. D'une part, il y a la chanson italienne, qu'il a connue par l'intermédiaire de sa mère. Selon lui, son style de jeu de guitare se rattache à cette influence. D'autre part, il y a le jazz, la java, la vieille chanson française, et les marches.
"Le petit cheval blanc", "La mauvaise réputation", "Le gorille", "Les copains d'abord"… comptent parmi les "tubes" les plus diffusés de Brassens.
Georges Brassens (Brassens est en nous, France 3, 20 h 50) a écrit de somptueuses chansons sur l'amour. Il l'a connu aussi, mais, contrairement à beaucoup de ses contemporains a toujours refusé le mariage et la paternité.
Il évoque sa vie à Lézardrieux, son havre de paix, où il n'arrive pourtant pas à travailler autant que lorsqu'il vit à Paris, tant « les tentations sont grandes de mettre son nez dehors, de partir en bateau, de se promener dans le pays ».
Il fut inhumé avec les siens, sa sœur Simone Cazzani et son mari Yves. Il avait aussi désiré être rejoint pour l'éternité tombale par sa compagne Joha Heiman, dite Püppchen.
La moitié du répertoire de Georges Brassens (1921-1981) est dédié aux femmes qui ont jalonné sa vie. À commencer par Jeanne Planche, cette couturière de 30 ans son aînée, avec qui Brassens vit une longue liaison, impasse des Florimont, dans le 14ème arrondissement de Paris.
Le moulin de la Bonde.
« le Gyss » (Formé par les initiales des prénoms de Brassens, de son beau-frère Yves Cazzani, de sa demi-sœur Simone et de son neveu ).
Joha Heiman, née le 28 juin 1911 à Revel (gouvernement d'Estland) et morte le 19 décembre 1999 à Dax, mieux connue sous le surnom de Püppchen, est la compagne et muse estonienne du chanteur et poète français Georges Brassens, qui lui a dédié plusieurs chansons.
On connaît désormais la raison de la disparition de Georges Brassens: le pica! Maladie improbable et pourtant réelle, le pica est une addiction à l'ingestion de nourriture... indigeste.
Un de ses titres phares : "Les copains d'abord", fut écrit pour le film d'Yves Robert "Les Copains", sorti en 1964. En plus de ses textes,Georges Brassens met en musique les poèmes de gens qu'il admire comme Villon, Hugo ou son ami Paul Fort avec "Le petit cheval".
1940-1943 Tourneur aux usines Renault de Boulogne-Billancourt. Publication d'un recueil de poésies, A la venvole.
Il était d'usage de rouler les R dans les chants, afin de rendre le texte plus intelligible, même là où cette façon de prononcer était désuète. Cette tradition de rouler les R perdure souvent dans les œuvres lyriques.
Selon certaines sources, la chanson aurait été inspirée par « l'insurrection de la bonté », un appel passé par l'Abbé Pierre pendant l'hiver 1954 pour aider les sans-abris.