Selon le barème auto 2019, pour les véhicules de 5 CV, l'on applique un barème de 0,305 pour un kilométrage compris entre 5001 et 20 000 km. Ainsi l'on fera 0,305 multiplié par 15 000 additionnés à 1188, ce qui donnera une somme de 5763 euros qui correspond à l'indemnité remboursable.
Pour 6 000 km parcourus à titre professionnel avec un véhicule de 5 CV, vous pouvez faire état d'un montant de frais réels égal à : (6 000 km x 0,339) + 1 320 = 3 354 €.
Par exemple, selon une étude menée par l'Automobile Club Association, un Français au volant d'une petite voiture essence roule en moyenne près de 8640 km par an. Avec un prix de revient au kilomètre d'environ 0,7€, on estime le coût annuel de cette voiture à plus de 6000 €.
Pour calculer les frais de carburant, multiplier la distance parcourue par le prix du kilomètre. Pour un scooter de 125 CC, ayant à son actif 20 000 Km de déplacements professionnels pour l'année 2020, aura dépenser : 20 000 * 0.0065 = 130 euros.
Où facturer les frais de déplacement au client ? Deux solutions s'offrent à vous : Intégrer les frais de déplacement à titre accessoire à la facture de vente finale que vous enverrez au client ; Effectuer une facture à part pour la refacturation de ces frais.
En prenant l'exemple d'une voiture de 5 CV fiscaux, on obtient pour un déplacement aller-retour chez un client résidant à : 10 km = 10.86€ 20 km = 21.72€ 30 km = 32.58€
Exemple : pour 8 000 kilomètres parcourus à titre professionnel avec un véhicule automobile d'une puissance de 6 CV, le montant des frais kilométriques s'élève à : (8 000 * 0,323) + 1 256 = 3 840 euros.
Calcul du coût de revient
Pour l'obtenir il faut ajouter les charges directes et les charges indirectes du produit en question puis diviser celles-ci par les quantités produites. Ainsi, la formule utilisée est la suivante : Calcul du coût de revient = somme des charges directes et indirectes / quantités produites.
Barème kilométrique applicable aux voitures
Exemple : pour 4 000 kilomètres parcourus à titre professionnel en 2021 avec un véhicule de 6 CV, le contribuable peut faire état d'un montant de frais réels égal à 2 524 € (4 000 km x 0,631) pour la déclaration de revenus faite en 2022.
Ces frais de déplacement sont déductibles du résultat imposable de votre entreprise ou du revenu du professionnel s'ils respectent les conditions suivantes : ils doivent servir l'intérêt direct de l'exploitation de l'entreprise.
Plus précisément, le calcul indemnité kilométrique couvre : achat du véhicule (ainsi que les éventuels frais financiers liés à l'achat) carburant. entretien (vidanges, freins, amortisseurs, révisions, nettoyage...)
Exemple : si votre voiture consomme 5 litres au 100 kilomètres, que le prix à la pompe est de 2€ le litre et que vous faites 140 kilomètres en covoiturage, le coût du carburant pour le trajet sera de : 5 x 140 x 2 / 100, soit 14 €.
Le calcul s'effectue alors selon la formule suivante : consommation moyenne du véhicule (généralement 0,07 litre par km)* nombre de kilomètres parcourus* prix du carburant.
Conclusion : Les frais de déplacements s'enregistrent dans le compte 6251 lorsqu'ils n'occasionnent pas d'autres dépenses. A défaut, tous les frais de missions, doivent être comptabilisés dans le compte 6256.
Et pour calculer les frais de déplacement d'artisan avec cette méthode, il faut prendre en compte la puissance fiscale du véhicule de fonction, à multiplier par le nombre de kilomètres à parcourir entre l'entreprise et le lieu du chantier.
Jusqu'où peut-on aller avec 1 litre d'essence ? La formule réelle pour obtenir des km par litre est de 100 divisé par 8 = 12,5 (votre voiture vous donnera 12,5 km avec un litre).
Une simple citadine essence avec un moteur entrée de gamme fera bien l'affaire : clio, 206, C3, punto, polo, etc...
Les heures de trajet pour se rendre de son domicile personnel à son lieu habituel de travail ne peuvent être considérées comme des heures de travail effectif. Ce temps n'ouvre droit à aucune rémunération ni contrepartie sauf dispositions conventionnelles, contractuelles ou usage plus favorable.
Aucune compensation salariale n'est imposée à l'employeur (sauf, dans certains cas, remboursement partiel des frais de transport domicile-travail). Le temps de trajet entre le domicile et le lieu de travail ne peut pas donc obliger l'employeur à verser au salarié des heures supplémentaires.