Le gaz vecteur (phase mobile) Le gaz vecteur est le gaz qui circule à l'intérieur du chromatographe, entraînant les analytes à travers la colonne, depuis l'injecteur jusqu'au détecteur. Son choix dépend du type de détecteur utilisé ; cela peut être par exemple de l'hélium, de l'azote, de l'argon ou de l'hydrogène.
Le type de gaz vecteur le plus couramment utilisé en GC est l'hélium, car il remplit ces exigences de manière optimale. Cependant, en fonction des exigences spécifiques de l'analyse, d'autres gaz vecteurs, tels que l'azote, l'hydrogène et l'argon peuvent également être utilisés.
En CPG. - Epaisseur du film - de 0.1 à 5 µm : plus il est épais, plus la rétention est forte. On obtient une meilleure résolution mais un temps d'élution plus élevé. Un film épais est utilisé pour des composés volatils, ce qui permet de les retenir plus longtemps dans la colonne et donc de les séparer.
On définit également la hauteur équivalente à un plateau théorique (h.e.p.t) h Soit L la longueur de la colonne et N son nombre de plateaux. h = h.e.p.t = L / N Plus N sera grand (ou h petit) et plus la colonne sera efficace. Dans la pratique, le paramètre le plus important est l'écart type σ de chaque pic.
La chromatographie en phase gazeuse est basée sur le principe de la séparation des différents types de molécules dans le capillaire de la colonne tels que : Hydrocarbures : gaz naturels, essence, diesel, huile, etc.
La chromatographie sur couche mince est une technique de séparation utilisée pour séparer et analyser les composants d'un mélange. La chromatographie ionique est une technique permettant de séparer, d'identifier et de mesurer les ions présents dans une solution.
L'étalon interne approprié doit être chimiquement proche du ou des composés à analyser, mais ne doit pas être naturellement présent dans l'échantillon. L'idéal est de choisir un composé possédant les mêmes groupements fonctionnels, le même point d'ébullition et la même activité que les composés cibles.
Pour changer la largeur d'une colonne, faites glisser la limite du côté droit de l'en-tête de la colonne jusqu'à la largeur souhaitée.
L'efficacité d'une colonne se détermine généralement par le nombre de plateaux théorique que la colonne aura vis-à-vis du composé considéré. Le nombre de plateaux théorique correspond au nombre de fois qu'un composé sera échangé entre la phase mobile et la phase stationnaire.
Le facteur de rétention (aussi appelé facteur de capacité) est le rapport entre le temps qu'un soluté passe dans la phase stationnaire et dans la phase mobile. Il est calculé en divisant le temps de rétention par le temps d'un pic non retenu (tM). Un composé non retenu a une valeur k = 0.
Un plus grand choix d'échantillons grâce au contrôle de la température - Un plus grand choix d'échantillons volatils peut être analysé avec la CPG. La possibilité de contrôler la température du processus, dans le four, permet d'analyser des échantillons dont le point d'ébullition est élevé.
La grandeur expérimentale brute est appelée temps de rétention. C'est le temps qui s'écoule entre l'injection de l'échantillon et l'apparition du signal maximum du soluté au détecteur. Pour favoriser le transport de tous les composés à travers la colonne (élution), il faut déterminer la bonne température du four.
Le temps de rétention peut être estimé en divisant le volume de stockage par le débit de refoulement de la structure de rétention.
La chromatographie en phase gazeuse (CPG) est une technique de séparation de différents types de mélanges gazeux ou vaporisés dans un four à une température controlée . Elle se base sur la diffusion des composants d'un mélange entre une phase mobile (gaz porteur) et une phase stationnaire (colonne chromatographique).
Les deux principaux gaz constituant l'air sont le dioxygène et le diazote.
Phase stationnaire : phase qui ne se déplace pas pendant la séparation. Elle peut être sous forme solide (chromatographie sur colonne) ou liquide (chromatographie liquide sur colonne). La phase stationnaire retient les composants du mélange. Phase mobile : phase qui se déplace à travers la phase stationnaire.
Par exemple, disons que les heures de travail standard pour un certain projet sont de 80 et que le temps réel travaillé est de 92. Vous divisez 80 par 92, et multipliez par 100, ce qui fait une efficacité de 87 %.
L'efficacité de la colonne
L'efficacité d'une colonne se caractérise par le nombre de plateaux théoriques N. Le plateau théorique est la portion de phase stationnaire dans laquelle un soluté est en équilibre de répartition entre la phase mobile et la phase stationnaire.
La séparation des composés est provoquée par l'écoulement continu d'un éluant passant dans la colonne par gravité ou sous l'effet d'une faible pression. Les composés sont entraînés par l'éluant à des vitesses différentes en fonction de leurs affinités avec la silice et avec l'éluant.
Pour bien cibler un étalon et les qualités innées qu'il transmettra, l'idéal est donc de discuter avec son entourage (cavalier, groom,…) si l'on en a la possibilité. Il est également intéressant de regarder l'ensemble du parcours du cheval et notamment ses prestations lorsqu'il était jeune.
2-S'il est ajouté dès l'extraction, l'étalon interne permet de vérifier d'une part les effets liés à la préparation (perte et/ou dégradation partielles de l'analyte, diminution du rendement d'extraction, effet matrice) et d'autre part de compenser les effets provenant de l'analyse (cf.
Un entier est un cheval mâle non castré. Il est à distinguer de l'étalon qui est un entier reconnu comme pouvant reproduire dans une race donnée.