Tous les riz longs, en particulier le basmati semblent avoir un index glycémique plus bas que les autres. En conclusion le meilleur choix en termes d'index glycémique est le riz basmati brun.
En tête du classement, la meilleure référence selon le banc test de l'association de consommateurs est le riz basmati Carrefour extra (2,79€ pour 1kg) qui décroche un 18/20. Il est suivi de très près par le riz basmati bio Alter éco (3,40€ pour 400g) qui prend la 2e place avec 17,5/20.
Des substances à risque pour la santé
Ces riz basmati non-bio présentent notamment des traces de tébuconazole, un fongicide et régulateur de croissance des plantes, et de cyperméthrine, un insecticide qui permet de lutter contre les insectes. Ces deux substances sont considérées à risque pour la santé humaine.
Pour le diététicien-nutritionniste, « une consommation régulière ne pose pas de problème. Jusqu'à 3 fois par semaine, cela peut être nutritionnellement intéressant. D'ailleurs, dans certaines cultures, il est consommé tous les jours ». Quant aux quantités, « cela dépend vraiment des besoins de chacun.
Riz complet
Ce type de riz est donc considéré comme plus sain et plus aromatique. En raison des graisses contenues dans le germe, le riz complet a une durée de conservation limitée et se prête moins au stockage. Son temps de cuisson est également plus long.
Les meilleures références de riz de Camargue
Ainsi, en première position avec une note de 17,5/20 figure le riz de Camargue IGP Grain Long de la marque Nos régions ont du talent - E. Leclerc. En plus d'être dépourvu de pesticides, il s'illustre également pour ses faibles taux d'arsenic inorganique et d'aflatoxines.
Choisir le type de riz pour la cuisine
Riz complet (ou brun) : on a ôté l'enveloppe, mais ni le son ni le germe. Ferme de texture, sa cuisson est plus longue que celle du riz blanc. Riz rond : variété à grain court, à teneur forte en amidon, idéal pour le riz au lait ou les sushis.
Ainsi, il est intéressant de passer le riz sous l'eau froide, jusqu'à l'obtention d'une eau claire. Nous vous conseillons donc de rincer le riz basmati avant la cuisson. Mais, si vous cherchez à garder une texture crémeuse et collante, il vaut mieux alors passer cette étape.
Le riz comme les autres féculents sont déconseillés pour le repas du soir car long à digérer et contre-indiqué si vous voulez perdre du poids. Les féculents consommés avant le coucher favorise le stockage de calories et seraient plus difficile à éliminer durant le sommeil.
Le riz complet et la digestion
Riche en fibres : le son de riz améliore le transit intestinal comme toutes les fibres contenus dans les légumes et autres aliments complets, Rassasiant : l'indice glycémique (IG) du riz complet (IG = 50/100) est plus bas que celui du riz blanc (IG = 70/100).
Il est souvent recommandé de rincer le basmati pour obtenir des grains bien détachés.
Si vous souhaitez miser sur une consommation locale, pour votre santé et celle de la planète, le riz de Camargue est la meilleure option. Ce riz est quasi exempts de contamination chimique d'après les analyses de l'enquête de 60 millions de consommateurs.
Cela évitera que le riz ne colle à la cuisson et ne devienne trop gluant. Pour bien faire, placez le riz dans un saladier, couvrez d'eau, remuez délicatement avec une cuillère, vous verrez l'eau se troubler.
Il convient en cela aux plats traditionnels d'Asie du Sud-Est dont il est la base, et se dégustera souvent avec simplement quelques accompagnements discrets. Le riz basmati est également un peu moins calorique avec un indice glycémique plus faible. Le riz thaï apportera en revanche plus d'énergie, plus rapidement.
Une céréale digeste et sans gluten
Le riz blanc est un féculent de choix pour les personnes aux intestins fragiles, irritables et sujets aux inconforts digestifs.
Plus sec que le riz thaï, le riz basmati a cette particularité de ne pas coller, puisqu'il est 'sec'. Cultivé au Pakistan ainsi qu'en Inde, sa cuisson est rapide, et on lui trouve de légères notes parfumées en bouche. Il est parfait pour accompagner des plats en sauce.
A la première place de la catégorie «riz basmati», obtenant la note de 18/20, se positionne le riz de la marque Carrefour, loin devant les marques reconnues comme Taureau Ailé, en troisième position ou Lustucru, en cinquième position. En revanche, le riz basmati non bio est le plus contaminé en pesticides.
Le bacillus cereus apparaît lorsque le riz est laissé à température ambiante durant quelques heures. Or, votre riz étant déjà cuit, vous ne pouvez plus compter sur la cuisson pour éliminer cette bactérie, qui risque de provoquer quelques désagréments intestinaux dans les heures qui suivent la consommation du riz.
Rincer le riz avant de le cuire s'explique par deux raisons. La première, afin de retirer d'éventuelles impuretés qui se sont déposées durant le processus de fabrication sur les céréales. La seconde, essentiellement culinaire, pour éliminer une partie de l'amidon du riz et éviter qu'il soit trop collant.
Idéalement, le riz doit être rincé deux à trois fois sous l'eau froide. Cette étape est importante car, contrairement aux pâtes, où l'eau de cuisson est jetée, le riz, lui absorbe l'eau dans laquelle il cuit. S'il n'est pas rincé au préalable, les impuretés seront ingérées.
Le riz à grains longs est généralement ajouté à l'eau froide avant d'être porté à ébullition. Cela permet au riz d'absorber progressivement l'eau pendant la cuisson.
Non, on ne rince pas le riz après sa cuisson. Le lavage s'effectue en amont, pour éliminer les impuretés et l'amidon, qui rend collant le riz. Rincer le riz après sa cuisson le rend moins appréciable à la dégustation, avec un goût d'eau. Le riz cuit doit être consommé et assaisonné directement après sa cuisson.
Mais il existe une technique pour vérifier l'authenticité du riz. D'abord, le vrai riz coule lorsqu'on le met dans un verre d'eau alors que le faux riz flotte. Et lors de la cuisson du riz, si vous remarquez une épaisse couche à la surface de l'eau, il s'agit probablement de faux riz.
Riz à base de farine de konjac. Ce riz sans sucre sera idéal dans le cadre de l'alimentation d'une personne diabétique. Il ne contiennent pas de sucre et seulement 0.1 g de lipides. Mais qu'est ce que le konjac ?
Le riz basmati non bio, le plus contaminé
Or, parmi les molécules recherchées dans cet essai, le butoxyde de pipéronyle n'a pas de LMR du fait de sa fonction de « synergisant » et non de pesticide. Il sert à doper l'efficacité d'un composé actif et, donc, d'en limiter l'usage.