Remarque : Occire est usité à l'infinitif, au futur, aux temps composés et au participe passé (occis, occise).
Participe passé du verbe occire, synonyme d'assassiner ou de tuer. Exemple : Il fut occis par son pire ennemi.
Occis est un terme qui vient du latin occisus, lequel dérive, à son tour, de occidere (« tuer »). Un occis est donc un défunt, celui qui a été tué violemment voire brutalement.
Indicatif présent : je fais, tu fais, il/elle/on fait, nous faisons, vous faites, ils font. Indicatif passé composé : j'ai fait, tu as fait, il/elle/on a fait, nous avons fait, vous avez fait, ils/elles/eux ont fait.
Les terminaisons du subjonctif sont les suivantes : -e, -es, -e, -ions, -iez, -ent (sauf pour avoir et être). Elles s'ajoutent, en général, au radical du participe présent. Certains verbes du 3e groupe se conjuguent sur deux radicaux.
Le plus-que-parfait est un temps du passé. Il précise qu'une action s'est déroulée avant une autre qui a déjà eu lieu dans le passé. Cette action peut être exprimée avec un passé composé, un imparfait ou un passé simple.
Dispute et altercation, sont des mots synonymes.
Tuer, trucider, zigouiller, c'est-à-dire ôter la vie de manière violente de façon concrète ou figurée. Exemple : Viens par là, sale traître, je vais t'occire avant même que tu n'aies le temps de crier au secours.
Difficultés. Occire est usité à l'infinitif, au futur, aux temps composés et au participe passé (occis, occise).
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif.
ou adv.] Pronom, adverbe relatif désignant le lieu au propre ou au figuré et secondairement le temps. 1. a) [L'antécédent désigne un lieu, au propre ou au fig.]
Un verbe défectif est un verbe pour lequel certaines formes conjuguées manquent ou bien sont inusitées à certaines personnes, à certains temps ou à certains modes. n'existent qu'à l'infinitif. ne sont pratiquement jamais employées, hors tournure poétique.
Répétition dans un même énoncé de mots ayant le même sens, soit par maladresse (par exemple descendre en bas), soit dans une intention stylistique (par exempleJe l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux, vu [Molière]).
Ce est soit un pronom démonstratif qui s'emploie avec être (ce sont, ce sera…) ou avec un pronom relatif (ce que, ce dont…), soit un déterminant démonstratif qui se place avant un nom.
"Ou" (sans accent) est conjonction de coordination. Il ne faut pas le confondre avec "où" (avec accent) qui est adverbe ou pronom. On écrit toujours "ou" (sans accent) quand il peut être remplacé par "ou bien".
Figure de style qui réunit deux mots en apparence contradictoires. (Exemple : un silence éloquent.)
L'imparfait est utilisé pour une description, parler d'une habitude, d'une action en progression dans le passé : Quand il faisait froid il n'oubliait pas de mettre ses gants sur la cheminée. Ici, c'est une habitude. Pour le passé composé, l'action est précise et achevée.
conditionnel
1. Mode du verbe qui sert à présenter l'action comme une éventualité ou comme la conséquence d'un fait supposé, d'une condition. (Le français possède un conditionnel présent [j'aimerais] et un conditionnel passé [j'aurais aimé] dont il existe une variante littéraire [j'eusse aimé].)
L'imparfait du subjonctif se forme à partir de la troisième personne du singulier du passé simple. On ajoute ensuite les terminaisons qui sont toujours les mêmes aux trois groupes : -sse, -sses, -^t (attention de ne pas oublier l'accent circonflexe), -ssions, -ssiez, -ssent.
10 verbes irréguliers : aller, avoir, être, faire, falloir, pleuvoir, pouvoir, savoir, valoir et vouloir.
Il y a quatre temps au subjonctif : le présent, le passé, l'imparfait et le plus que parfait. Seuls les deux premier sont couramment utilisés.
Le subjonctif exprime traditionnellement un souhait, un désir, un ordre, un doute, un conseil ou une supposition. Il s'agit d'une action non-réalisée au moment où on s'exprime. La plupart du temps, ces verbes se retrouvent dans une proposition subordonnée introduite par la conjonction que ou quoi.
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.