Commencez la conversation en disant quelque chose du genre : « J'ai décidé que ce serait mieux pour ma santé mentale si je ne passais plus de temps avec toi. » S'il se met en colère, vous pourriez lui dire quelque chose comme : « Je n'ai pas envie de discuter.
Afin de couper progressivement les liens avec une famille toxique, il est d'abord nécessaire de vous aimer et de s'occuper de vous. En effet, personne d'autre ne le fera mis à part vous-même. Ensuite, il vous faudra vous pardonner.
Détester ses frères et sœurs, provoquer des bagarres, les insulter, sert à attirer l'attention des parents. Ce sont des moyens pour l'enfant de dire qu'il ne se sent pas reconnu. Il l'exprime avec ces seuls moyens violents qui lui permettent d'affirmer sa personnalité.
Pour trouver un équilibre il est important de prendre suffisamment de distance afin de délimiter son territoire, c'est-à-dire se différencier suffisamment des membres de sa famille pour créer sa propre autonomie, tout en acceptant le passé et chacun tel qu'il est.
Pour qu'une famille soit considérée comme toxique, au moins un des facteurs ci-dessous doit être présent : Vous vous sentez invisible : vos besoins sont négligés et votre opinion ne compte pas. Vos parents n'ont jamais le temps d'être avec vous et vos frères non plus.
Créer une certaine distance. Coupez temporairement votre relation avec lui. Parfois, il suffit de s'éloigner un peu d'une personne pour lui pardonner son acte offensant, surtout si vous êtes très proche d'elle et qu'elle a fait quelque chose sans penser que cela pourrait vous faire mal.
Dites à cette personne ce qui vous amène à faire ce travail de couper les liens. Par exemple, vous pouvez lui dire que vous souhaitez vous libérer d'anciens conditionnements émotionnels et de liens que vous avez développés dans le passé ou encore des attentes que vous avez pu avoir pour le futur.
Le premier conseil pour sortir d'une relation toxique consiste à vous imposer vos limites et à en faire part à votre partenaire. En effet, pour construire une relation solide et non toxique pour l'un des deux partenaires, il est indispensable de connaître les limites de l'autre et de vous-même.
Imite sa voix. Chaque fois que ton frère parle, répète ce qu'il a dit, mais avec une voix aigüe de petite fille. Cela rend les petits frères furieux de génération en génération. C'est particulièrement efficace s'il est en train de te dire « Arrête ça ! », ou « Je vais tout dire aux parents ! »
Mettez de la distance.
Sans vous justifier ou vous perdre dans des explications, annoncez avec fermeté que vous avez besoin de prendre du recul. Si vous faites face à une personne toxique, donnez le moins d'informations possible - elles pourraient se retourner contre vous.
Les études montrent que les causes sont généralement graves, que ce soient de la violence, de la négligence ou des problèmes de toxicomanie. Même si les membres de la famille ne sont pas d'accord sur ce qui s'est passé ou sur l'état de la relation, au moins une personne perçoit la relation comme négative.
« Si nécessaire, un tribunal peut prendre une ordonnance restrictive afin que la famille soit tenue de garder ses distances », souligne Alix Thellier, avocate au barreau de Paris. Un adulte peut également demander une ordonnance restrictive quand lui ou ses enfants sont victimes de violences physiques.
Faire preuve de patience et de disponibilité pendant cette période, avec éventuellement l'aide d'un psychothérapeute ou d'un médiateur, va permettre, le moment venu, de trouver une relation à la bonne distance entre frères et sœurs.
Penser à autre chose ou se concentrer sur sa tâche actuelle pendant que votre conjoint continue sa litanie est une technique efficace. Cela permet de garder son calme en prenant une certaine distance émotionnelle par rapport à son attaque verbale.
Oui, il est possible de ne pas aimer son père et/ou sa mère. Ou plus exactement, il suffit parfois d'un événement, d'une blessure symbolique de trop, pour que, par désespoir, l'amour que l'on éprouve pour un parent, se transforme en haine.
“, il est important de lui demander son avis : “ Et toi, qu'en penses-tu ? “ Quand nous répondons par une question à une question, on permet à l'enfant de réfléchir, d'écouter ses émotions, de prendre une décision, de tester et de recommencer, jusqu'à trouver une solution.
La jalousie de l'aîné peut apparaître ou réapparaître lorsque le bébé parvient à un nouveau stade de sa vie : quand il apprend à marcher et qu'il se met à l'interrompre dans son jeu, à casser ses jouets, à les éparpiller ou quand il apprend à parler et qu'il devient capable de défier son grand frère ou sa grande soeur.
Le favoritisme peut être lié aux règles ou aux privilèges d'un enfant par rapport aux autres. Par exemple, un enfant pourrait avoir le droit à plus de temps d'écran qu'un autre. Dans certains cas, la plainte de l'enfant se rapporte davantage à l'âge où ils avaient droit de faire certains comportements.
Une relation frère-sœur basée sur la maltraitance
"Ils ne s'entendent pas bien et passent peu de temps ensemble. Quand on leur demande de décrire leur enfance, ils utilisent des mots comme compétition, humiliation et mal-être", explique Jane Mersky. C'est le premier signe d'une relation toxique fraternelle.