On peut également utiliser des réflecteurs radar, un objet à plusieurs faces réfléchissantes. Enfin, il est aussi possible d'utiliser des leurres, des objets volants télécommandés qui permettent de tromper l'opérateur radar, plutôt utilisés par les avions militaires.
Cacher une partie de la plaque: sans être totalement dans l'illégalité, il est possible de dissimuler une partie de sa plaque en installant un attelage volumineux (mais homologué) à l'arrière de sa voiture. Pour un masquage maximal, certains optent pour la balle de tennis coupée placée sur la boule de l'attelage.
La contestation de l'amende doit se faire dans les 45 jours suivant la date d'envoi de l'avis de contravention. Dirigez-vous directement sur l'interface du site de l'Agence nationale de traitement automatisé des infractions (l'ANTAI). Cliquez sur « Désigner, contester en ligne ».
Comment est-ce possible? Selon le fabricant, le PhotoBlocker réfléchirait la lumière du flash du radar photo et créerait une zone surexposée sur la plaque d'immatriculation. Nous avons appliqué une couche de PhotoBlocker sur une plaque, et quatre couches sur une autre plaque.
Notez la présence d'un gros boîtier sur le tableau de bord : les voitures-radar banalisées sont équipées d'une caméra pour flasher les infractions routières. Cette caméra est identifiable grâce à sa forme de gros boîtier posé sur le tableau de bord de la voiture.
Mais l'administration admet une marge d'erreur, elle varie en fonction de la vitesse à laquelle vous roulez. Si la vitesse est comprise entre 50 et 90 km/h la tolérance est de 5 km/h. Ainsi vous ne serez flashé qu'à partir de 56 km/h en agglomération. Ou 76 km/h pour une vitesse limitée à 70 km/h.
Non, le radar n'est pas infaillible ! En matière d'excès de vitesse, la contestation est possible, même lorsque c'est une machine, parfaitement automatisée et apparement sans défaillance, qui relève l'infraction.
A condition de respecter les délais : vous disposez de 45 jours suite à la réception de l'avis de contravention pour contester l'infraction. Vous devez pour cela vous rendre sur le site internet de l'ANTAI – Agence nationale de traitement automatisé des infractions.
Si le radar est un radar discriminant, il y arrive souvent que le radar flashe des véhicules légers en les considérant comme ne respectant pas la vitessse maximum autorisée pour les poids-lourds. Comme le type de véhicule est analysé avant l'envoi du PV, lorsqu'un VL est pris pour un PL, il n'y a pas de verbalisation.
Si vous êtes sûr d'avoir été flashé et que vous ne recevez pas d'avis de contravention, vérifiez l'adresse indiquée sur votre certificat d'immatriculation (nouveau nom de la carte grise). Si l'adresse n'est pas à jour, le délai de réception de l'avis de contravention est rallongé.
Roulez sur une route bien droite à 50 km/h de manière la plus précise et la plus stable possible, et relevez ce que vous indique le GPS. Renouvelez l'opération à 90 km/h et à 130 km/h. A ces vitesses, vous aurez sûrement des surprises.
Signalisation. Les voitures-radar ne sont pas signalées sur les routes : ces nouveaux systèmes sont intégrés dans des véhicules banalisés et utilisent un flash infra-rouge, non-visible pour les usagers flashés.
Le Conseil constitutionnel a tranché : les contrôles de vitesse ne font pas partie des opérations des forces de l'ordre dont le signalement est désormais interdit sur les applications telles que Coyote et Waze. Publié le 25/11/2021 - 15:59 Mis à jour le 25/11/2021 - 16:27.
Le tout accompagné, et c'est là où ça devient odieux, d'un flash infrarouge totalement invisible. Le réglage de la vitesse à contrôler se fait automatiquement grâce à un GPS, appuyé par la lecture des panneaux de limitation de vitesse grâce à des caméras situées à l'avant et à l'arrière du véhicule.
Pour être quasiment certain d'éviter tous les radars, automatiques et mobiles, il suffit d'avoir dans sa voiture un certain type de PDA (petit agenda électronique). Mode d'emploi détaillé avec Caradisiac.
Le radar de type VITRONIC POLISCAN est un radar autonome également appelé radar chantier. Lorsque vous demandez la photo de votre infraction, vous recevez un seul cliché.
Pour contester un avis de contravention ou une amende forfaitaire majorée, vous devez formuler une requête en exonération ou une réclamation auprès de l'officier du ministère public (OMP). Sur ce site web, vous pouvez réaliser de façon intégralement dématérialisée votre contestation.
Le radar Heads-Up peut être fixe, comme ici, ou mobile.
Lorsque le radar enregistre une vitesse supérieure à celle pour laquelle il est calibré, il émet un flash qui correspond à la prise d'un cliché. Souvent, ce sont en fait deux clichés qui sont pris: un pour lire la plaque, un autre pour identifier le conducteur.
En réalité le flash est double mais un seul flash est visible à l'oeil nu. En effet, la scène est figée 2 fois, la première photo permet de visualiser les occupants du véhicule et la seconde privilégie la lisibilité de la plaque minéralogique.
Si vous êtes descendu à la limite maximale autorisée moins de 50m avant le radar, c'est trop tard ! La plupart des radars, en particulier les radars fixes, flashent à une distance de 50m. Les radars discriminants, toutefois, modèles datant de 2011, flashent à 45m et sont plus précis dans tous les domaines.
Par exemple, pour un excès de vitesse de 1 km/ (hors zone 50), le montant de l'amende forfaitaire serait désormais de 45 € + (1% x 45€) = 45,45 euros au lieu de 68 euros actuellement.
Marge technique
En dessous de 100 km/h, une marge de 5 km/h est décomptée de la vitesse enregistrée, à l'avantage du conducteur. Pour les limitations au-dessus de 100 km/h, la marge est de 5 %, également prise en compte à l'avantage du conducteur.
Le Code de la route prévoit une amende forfaitaire de 135 € (contravention de 4e classe) pour tout excès de vitesse de moins de 50 km/h. Seule exception, lorsque l'excès est inférieur à 20 km/h et que la vitesse maximale autorisée est supérieure à 50 km/h, l'amende ne dépasse pas les 68 € (contravention de 3e classe).