On écrit c'en est trop.
C'en est trop ! → Cela en est trop !
« S'en » et « c'en » sont toujours suivis d'un verbe. Si le remplacement par « cela en » est possible, il s'agit de « c'en ». En revanche, si on peut mettre « il(s) » ou « elle(s) » devant, il s'agit de « s'en » : C'en est fini de l'insouciance !
Si l'on peut remplacer le « ce/se » par « me » ou « te », il faut écrire « se » (ou « s' »). Sinon, il faut écrire « ce » (ou « c' »), qu'on peut souvent remplacer par « cela » : Il s'est donné des objectifs. = Je me suis donné des objectifs, tu t'es donné des objectifs.
trop c'est trop.
c'est très bon, exquis, très agréable [...]
C'est ton meilleur. Parfait! Tu travailles vraiment très vite! Extraordinaire!
C'est et s'est sont des homophones grammaticaux : ils se prononcent de la même façon mais ont des fonctions et des sens différents. Pour éviter de les confondre, on peut essayer de les remplacer, en contexte, par cela est; si cela fonctionne, il s'agit de l'homophone c'est.
❖ Ces et ses sont deux déterminants qui précèdent le nom. ❖ Astuce : identifiez l'infinitif du verbe (son nom) et s'il y a un se ou un s' dans le nom, c'est un verbe pronominal. ❖ C'est est formé du pronom démonstratif ce et de la troisième personne du singulier du verbe être au présent de l'indicatif.
C'EN = pronom démonstratif neutre CE + EN (pronom personnel), on peut le remplacer par CELA EN.
« Faisant » est une forme du verbe « faire » et s'écrit comme lui avec « ai ». Faux. Il faut écrire : Le chercheur s'est brûlé les sourcils en faisant cette expérience. On n'écrit pas « en fesant », mais « en faisant ».
L'Académie Française est formelle, on doit écrire « Il s'ensuivit » et non pas « Il s'en suivit », et « Il s'est ensuivi » et non pas « Il s'en est suivi ».
De trop, en trop,
en excédent, plus qu'il ne faut.
On écrit « c'est » avec un -c quand… : On écrit « c'est » lorsqu'on peut remplacer par « cela est ». Il est alors suivi d'un groupe nominal, d'un pronom ou d'un adjectif qualificatif. Tout comme « ces » et « ses », « c'est » est utilisé pour montrer ou désigner quelque chose.
Règle. La cédille (¸) ne s'emploie qu'avec la lettre c, devant les voyelles o, u et a. La cédille sert à indiquer que le c ne doit pas se prononcer [k], mais bien [s]. - François, maçon, façon, efforçons, etc.
les deux déterminants « ces » et « ses » ; la forme verbale « c'est » qui peut être remplacée par « cela est ». Elle permet de désigner quelque chose ou quelqu'un ; la forme verbale « s'est » qui ne se trouve que dans un passé composé, devant le participe passé.
Il peut être placé devant un nom (ce canapé, ce matin, ce président) ou devant le verbe être conjugué (ce sont, ce sera, ce serait…). Avec un « s », « se » est un pronom personnel dit « réfléchi ».
Pour obtenir le son [ s ] au lieu du son [ z ] entre 2 voyelles, on double le s (ss). Deux s qui se suivent entre deux voyelles font le son [ s ].
Remarquer les régularités avec le son [ɑ̃] (au début des mots, les participes présents, les adverbes). Le son [ɑ̃] s'écrit « an » ou « en », sauf devant les lettres m – b – p, il s'écrit alors « am » et « em ». Les participes présents s'écrivent « ant ».
Bonjour SoyonsPrécis, on écrit « Comment s'est passée ta journée ? » et « Comment ta journée s'est-elle passée ? », sans distinction aucune. Le fait de placer le sujet avant ou après le verbe n'a aucune incidence sur l'accord du participe passé au féminin singulier.
« C'est pour ça », c'est plus familier, c'est moins joli que « c'est pour cela », mais ces deux expressions sont les mêmes : c'est pour ça, c'est pour cela. C'est pareil : ce qui vient après est expliqué par ce qui vient avant.
Retiens aussi cette autre expression familière qu'on entend souvent: “Ça roule!”, qui signifie que tout va bien. Dans le même genre, on peut dire “Je ne me plains pas.” ou “Tout va bien.”
c'est bon ; ça ira ; ce n'est rien ; ça baigne ; il n'y a aucun problème ; ça se passe pour le mieux ; comme convenu.
« Trop », ça veut dire qu'il y a un excès. Et parfois, on utilise « trop » pour amplifier quelque chose, pour dire très très très très. Donc, tu vois, la langue française est un peu folle. Parfois il y a des cas comme cela et j'espère avoir levé le doute.