-Accord : Elle s'est blessée. Ici, le verbe doit s'accorder avec le sujet car "s" fait référence au sujet : "Elle". Autres exemples : Ils se sont vus. Elles se sont battues.
Il faut écrire : La réunion s'est déroulée sans incident. Si « c' » est la bonne orthographe, on doit pouvoir le remplacer par « cela ». Or, « la réunion cela est déroulée sans incident » ne veut rien dire. On n'écrit donc pas « c'est », mais « s'est ».
Dans notre phrase, on a le verbe se passer (comme dans les phrases voilà comment ça se passe , qu'est-ce qui se passe ? ), donc accompagné du mot se . Quand on utilise se passer avec l'auxiliaire être , se devient s' et on écrit s'est passé .
Il faut écrire : La société s'est fait connaître grâce à une vidéo postée sur Internet. Immédiatement suivi d'un infinitif, le participe passé du verbe « faire » est invariable : ici, « faite » est suivi de « connaître ». Le participe passé ne s'accorde donc pas et on écrit « la société s'est fait connaître ».
Elles se sont téléphoné : "se" est COI donc on n'accorde pas. La règle : quand, dans un verbe pronominal, le pronom réfléchi (me, te, se, nous, vous, se) est complément d'objet indirect (COI), le participe passé ne s'accorde pas avec lui.
Le verbe s'accorde en genre et en nombre avec son sujet : Lorsque le sujet est au singulier, le verbe se conjugue au singulier. Lorsque le sujet est au pluriel, le verbe se conjugue au pluriel. Lorsque qu'il y a plusieurs sujets, le verbe se conjugue au pluriel.
Avec l'auxiliaire avoir, le participe passé ne s'accorde pas au sujet PARTICIPE PASSE. Elle a mangé. Ils ont fait. Avec l'auxiliaire être, le participe passé s'accorde au sujet (-e au féminin, -s au pluriel, -es au féminin pluriel).
La réponse simple. Les deux formes sont admises, la plus recommandée est « ce qu'il s'est passé », la plus familière est « ce qui s'est passé » .
S'est : Cette expression se forme de s', la forme contractée de se, le pronom personnel réfléchi et de est, troisième personne du singulier du verbe être. Ses : c'est un adjectif possessif qui détermine un nom au pluriel. Ces : est un adjectif démonstratif qui détermine un nom au pluriel.
On écrit « s'est » devant un verbe. Lorsqu'il est possible de le remplacer par « cela », on écrit alors « c'est ». Il est employé pour désigner quelque chose.
– Sur le plan de l'orthographe, cette phrase comporte deux difficultés : la première lettre de s'est et l'accord de passée, On écrit elle s'est bien passée, avec un s au mot s'est et avec passée au féminin.
Accorder un verbe (sous forme de participe passé ou non) avec le sujet, est obligatoire quelle que soit la place du sujet, bien sûr ! Comment s'est passée ta journée ? Elle s'est bien passée ! Comment allez-vous ?
Comment s'écrit la phrase tout s'est bien passé ? Cette phrase comporte trois difficultés : la dernière lettre de tout , la première lettre de s'est et l'accord de passé . On écrit tout s'est bien passé, avec un t à la fin du mot tout , avec un s au mot s'est et avec passé au masculin singulier.
S'est est le pronom personnel se (s') accompagné du verbe être conjugué au présent de l'indicatif. Un sujet doit nécessairement être placé avant s'est.
- deux 's' entre deux voyelles se prononcent 's'; - 'c' suivi de 'a, o, u' se prononce 'k'; - 'c' suivi de 'e, i, y' se prononce 's'; - 'ç' suivi de 'a, o, u' se prononce 's'.
Règle de s'est/c'est. S'est est toujours suivi d'un participe passé ; il fait partie de la conjugaison d'un verbe pronominal.
Elle s'est endormie s'endormir, passé composé.
Exemples: «Va en chercher», «ose y aller». Bref, en l'absence des pronoms adverbiaux «en» ou «y», les verbes du premier groupe ainsi que le verbe «aller» ne prennent jamais de «s».
Les cas particuliers du féminin
Les adjectifs qui se terminent par -eux au masculin, se terminent en -se au féminin. Les adjectifs qui se terminent par -er au masculin, se terminent en -ère au féminin. Les adjectifs qui se terminent par -et au masculin, se terminent en -tte au féminin.
S'il s'accorde, c'est un adjectif verbal; dans le cas contraire, c'est un participe présent. Les adjectifs verbaux peuvent être aussi remplacés par une proposition relative (avec qui). Ex. : "Le personnel navigant s'est mis en grève." peut être remplacé par "Le personnel qui navigue s'est mis en grève."
Dans la langue française, en général, il suffit d'ajouter un "-S", aux mots ou adjectifs pour former le pluriel. Mais, bien sûr, cela serait trop simple ! Alors pour corser un peu la chose il y a des exceptions. Mes livres sont excellents.
Lorsque le verbe pronominal a un complément d'objet direct placé derrière lui, le participe passé ne s'accorde pas. Exemple : Ils se sont égratigné les genoux. Lorsque le verbe pronominal est suivi d'un verbe à l'infinitif, le participe passé ne s'accorde pas avec le sujet.
Les verbes pronominaux suivants n'ont jamais de C.O.D. ; ils sont donc toujours invariables : se plaire, se complaire, se déplaire, se rire, se sourire, se succéder, se ressembler, se parler, se nuire, se survivre, se suffire, se convenir.
La réponse simple. Les deux formes sont admises, la plus recommandée est « ce qu'il s'est passé », la plus familière est « ce qui s'est passé ».