La construction «penser +à+ pronom» indique que nous avons pensé à faire quelque chose, un acte antérieur donc. La construction transitive directe annonce quant à elle une action, la projection de quelque chose. «Il pense (à) lui offrir»: ne faites plus la faute !
En général, vous pouvez exprimer “Je pense à toi” avec d'autres mots : “Tu me manques !” “J'ai hâte de te revoir !” “J'aimerais être avec toi !”
L'impératif présent se termine généralement par un « s » à la 2e personne du singulier, hormis pour les verbes du 1er groupe (se finissant par -er) qui se terminent par un e : Mange (1er groupe) ! Sors (3e groupe) !
PENSER À est utilisé quand quelque chose ou quelqu'un vient à notre esprit. PENSER DE est utilisé pour donner son avis sur quelque chose. La forme PENSER + Verbe à l'infinitif est utilisée pour exprimer une intention ou une possibilité.
penses-tu — Wiktionnaire, le dictionnaire libre.
Avec l'impératif, il faut prendre garde aux verbes qui sont suivis des pronoms « en » ou « y » : là, l'ajout d'un « s » se justifie, joint au pronom qui le suit par un trait d'union.
Si le mot sur lequel on s'interroge peut être remplacé par « lorsque » (ou par « à quel moment », « le moment où », etc.), il s'agit de « quand ». Sinon, il s'agit de « quant », qui signifie « en ce qui concerne ».
Quand il sert à exprimer une opinion, le verbe PENSER se construit avec la préposition DE: penser quelque chose de quelque chose. Pour remplacer un complément introduit par la préposition DE, on utilise le pronom EN.
On utilise "a" quand il s'agit du verbe avoir. Si au passé, on peut dire "avait", il s'agit de "a". "à" est la préposition et non pas le verbe. Au passé, on ne peut pas mettre "avait".
« a » s'écrit sans accent car il s'agit du verbe « avoir ». Il peut toujours être remplacé par le même verbe au passé (« avait », « avais ») pour vérifier qu'il s'agit bien du verbe et pas de la préposition. « à » s'écrit avec un accent quand il est une préposition.
Règle générale : Dans les noms composés (comme ailleurs), les verbes, adverbes et prépositions ne prennent jamais de « s ». Seuls les noms et les adjectifs sont susceptibles de prendre la marque du pluriel. Détaillons à présent chaque cas. En général, chaque nom est au pluriel.
Si “on” a le même sens que “nous”, faites attention, son verbe est toujours au singulier. En revanche, l'adjectif attribut, le participe passé s'accordent en genre et en nombre en fonction des personnes qu'il désigne. S'il y a des pronoms disjoints, ils sont à la première personne du pluriel.
Il permet d'exprimer une hypothèse, un fait incertain, un souhait, une action envisagée, une envie, une émotion ou toute forme d'incertitude. Ex : J'aimerais que tu viennes (souhait). Pour peu qu'il soit malade, il ne viendra pas (hypothèse).
Le subjonctif s'emploie dans la subordonnée si le verbe de la principale exprime le doute, l'improbabilité, la volonté, le désir, la défense, la nécessité, la possibilité, l'impossibilité ou un sentiment.
En général, on utilise la préposition À quand on se trouve ou quand on va dans un endroit et la préposition DE quand on revient d'un endroit.
Pour distinguer les homonymes a (sans accent) et à (avec accent), il faut les remplacer par avait. Quand on peut remplacer a par avait, il s'agit du verbe avoir à la 3e personne du singulier au présent de l'indicatif.
La préposition
Dans la phrase précédente, les mots "à", "de", "chez" et "pour" sont des prépositions. Les prépositions se situent en général devant : Un nom. Un groupe nominal.
Comment conjuguer l'impératif ? L'impératif présent se conjugue à trois personnes (tu, nous, vous) et sans pronom précédant le verbe. Au présent, à la 2e personne du singulier, les verbes du 1er groupe se terminent sans s, sauf lorsqu'ils sont suivis de “y” ou “en” : mange ! Manges-en un peu !
Dans n'oublie pas , le verbe oublier est conjugué à l'impératif présent, à la deuxième personne du singulier. C'est un verbe du premier groupe. Or, quand ils sont conjugués à l'impératif, les verbes du premier groupe s'écrivent sans s final. On écrit bien n'oublie pas , sans s à oublie .
Pour éviter de confondre quand et quant, si l'on peut remplacer le mot dont on doute par lorsque, il faut écrire quand avec un d. Si l'on peut remplacer ce mot dont on doute par au sujet de, il faut écrire quant avec un t.
non ! on doit donc écrire q.u apostrophe e n pourquoi ? oui ! c'est le verbe penser. Penser quelque chose de quelque chose ou de quelqu'un. Qu'en penses-tu ici ce n'est pas à quel moment tu penses, ici c'est que penses-tu de ce projet.
QUAND -> Introduction d'une question sur une durée/un moment/en rapport avec le temps, ou pour introduire une subordonnée de temps. Exemples : Quand va-t-elle sortir son prochain album ? - Il sait que je dors quand je ne lui réponds plus.