Avant de complètement couper les ponts avec vos beaux-parents, tentez de limiter vos fréquentations. Invoquez votre emploi du temps, vos rendez-vous incontournables, votre état de santé. N'hésitez pas à faire de petits « mensonges pieux ».
Invitez-la gentiment à déjeuner au restaurant et posez-lui un lapin. À reproduire une fois par semaine pendant 3 mois. Déboulez chez elle à l'improviste, souvent. Appelez-la à 23h55 pour savoir si elle est bien rentrée après avoir dîné chez vous.
Plus vous discutez ou vous opposez, plus vous alimentez un conflit présent ou sous-jacent. Il faut s'imposer, imposer ses choix, et prendre ses distances si besoin. Ne culpabilisez pas de ne pas prendre tous ses appels, ni de ne pas assister à toutes les réunions familiales. Surtout si elles vous pèsent.
Quelles distances garder avec sa belle-famille ? La distance que vous gardez avec vos beaux-parents, et notamment le fait d'employer le tutoiement ou vouvoiement, est à jauger selon votre ressenti. N'hésitez pas à en parler avec eux : pour être plus à l'aise, le mieux est souvent de leur poser directement la question.
Souriez, soyez amical sans être trop hypocrite, mais rappelez-vous que c'est de votre devoir de partager avec eux, comme le fait votre partenaire avec votre famille, donc faites que tout se passe bien.
Si vous êtes dans cette situation, la première chose à faire est de discuter ouvertement avec votre conjoint. Même s'il est incapable de faire face frontalement à sa famille, il faut qu'il comprenne que cela met en péril votre couple, que vous avez besoin qu'il soit là pour vous et qu'il vous faut agir.
Une belle-mère manipulatrice narcissique utilise essentiellement la violence psychologique pour contrôler sa belle-fille qui est une victime. Elle va donc vous contrôler, vous rabaisser publiquement et littéralement vous casser mais jamais en présence de son fils et donc votre mari.
Ne pas répondre du tac au tac
Quand on a une belle-famille qui a pris l'habitude de dire tout ce qu'elle pense à haute voix, et en particulier de critiquer à peu près tout ce qu'on fait, on a envie de répondre aussi sèchemment pour ne pas se laisser faire.
Rien ne doit rester en suspens, au risque d'empirer les choses rapidement. Seulement, il est important que cela soit fait avec respect et tact. Ces relations sont très souvent conflictuelles par définition. Il vaut donc mieux faire en sorte de parler calmement et poliment pour éviter les tensions.
« Une belle-famille envahissante peut générer une souffrance au sujet de laquelle il ne faut pas culpabiliser : chaque individu a droit au respect de son espace vital et, si celui-ci est menacé, il faut réagir ! » affirme Élisabeth Couzon, psychologue clinicienne.
1- En discuter avec ton conjoint:
Mais la base de toute relation interpersonnelle est la communication. Valide avec ton conjoint s'il a l'impression lui aussi qu'il y a une tension entre toi et ta belle-mère. S'il ne voit rien aller, exprime-lui comment tu vis la situation TOI. Parle au “JE”.
Ne vous écrasez pas face à elle, et ne lui laissez pas croire qu'elle peut toujours avoir le dernier mot. Prenez des décisions sans elle, et montrez-lui que son avis n'est pas un élément indispensable comme elle peut le penser. Le plus important est d'avoir confiance en vous et de ne pas vous laisser intimider.
Ses remarques et comportements vous mettent mal à l'aise. En sa présence, vous êtes toujours sur le qui-vive, de peur de commettre un impair. Mais depuis quelque temps, la situation s'est aggravée : votre fils vous appelle peu ou vient moins souvent vous voir, il prend davantage position contre vous…
La détestation de la figure de la belle-mère se trouve alors affermie par la naissance de la famille nucléaire, qui bouleverse la donne. «Elle implique l'intimité du couple, il n'y a plus de place pour la belle-mère», résume Yannick Ripa. Ce contexte donne une nouvelle jeunesse au conflit avec les brus.
Donner clairement la priorité à son partenaire par rapport à sa famille. C'est le principe clef pour une relation harmonieuse avec la belle-famille : chaque partenaire doit donner la priorité à son conjoint par rapport à ses parents et sa famille. En réalité, le problème ne vient souvent pas de la belle-famille.
Lorsque les beaux-parents s'en mêlent, rappelle-toi qu'ils ne désirent que le meilleur pour ton enfant. Il ne faut pas accepter cette ingérence, mais chercher plutôt la discussion lors d'un moment de calme. Fais preuve de compréhension et montre leur que chaque parent a le droit à l'erreur dans l'éducation.
C'est quoi une "famille toxique" ? Une famille peut être toxique lorsqu'il existe des comportements qui provoquent des problèmes émotionnels chez un ou plusieurs membres du système ou lorsque les rôles familiaux sont différents de ceux qu'ils devraient être.
Soyez extrêmement gentille
Demandez-lui comment elle en sait autant et si elle a déjà fait des erreurs. Mais sérieusement, parfois, le fait d'être la personne la plus importante dans une situation comme celle-ci peut être très utile, car si votre belle-mère est vraiment toxique, elle voudra vous faire réagir.
Évitez d'insinuer quoi que ce soit au sujet de votre belle-sœur ou, pire, de l'insulter. Contentez-vous de lui dire qu'en sa présence, les choses tournent toujours au vinaigre. Votre conjoint ne peut pas critiquer ce que vous ressentez, il est donc important d'être clair et prudent dans la façon de le formuler.
On recommande parfois aux belles-mères de respecter avec leurs belles-filles la règle des trois C: des Cadeaux des Compliments et pas de Conseils. Avec les belles-mères, c'est un peu pareil. En remplaçant peut être le dernier item: des Cadeaux, des Compliments et pas de Critiques.