Retourné à Edo, Miyamoto Mikinosuke mourut en 1626 à vingt ans par seppuku la troisième année de l'Ère Kanei pour suivre son seigneur. Minamoto Iori rencontra le maître en 1624 et fut plus tard employé par Ogasawara Tadazane. Il fut ensuite promu au titre de vassal supérieur des Ogasawara. Il mourut en 1678.
Il mesurait près de 1m84 (environ 6 pieds) alors que ses collègues japonais atteignaient en moyenne 1m53 (5 pieds).
Le maître du sabre Miyamoto Musashi : l'homme qui se cache derrière le « Livre des cinq anneaux » Miyamoto Musashi, maître du sabre du début de l'époque d'Edo (1603-1868) a livré plus de 60 combats au cours de sa vie, sans en perdre aucun.
Nodachi. Le nodachi (野太刀) est un long sabre japonais qu'on manipule à deux mains. Les kanjis composant le mot « nodachi » signifient « épée de plaine ». Toutefois, on a suggéré que la signification de nodachi était approximativement la même que celle de ōdachi (大太刀, signifiant « épée longue »).
Miyamoto Musashi (宮本 武蔵), de son vrai nom Shinmen Bennosuke (新免 辨助) est né le 13 novembre 1584 à Ōhara-chō dans la province de Mimasaka et mort le 19 mai 1645. Il est l'une des figures emblématiques du Japon, maître bushi, calligraphe, peintre reconnu, philosophe et le plus célèbre escrimeur de l'histoire du pays.
Finalement, les recherches furent arrêtées en 1959, Japonais et Philippins étant persuadés que tous deux étaient morts. Mais en 1972, ils refirent surface pour attaquer des troupes philippines. Onoda réussit à s'enfuir alors que son dernier homme était tué.
Les samouraïs n'existent plus aujourd'hui, cette classe de guerriers japonais ayant été formellement abolie en 1876.
Ces noms ne te disent probablement rien, sauf si tu as vu le film Le Dernier Samouraï avec Tom Cruise. Son personnage est inspiré d'une histoire vraie, celle de Jules Brunet, un officier français du XIXe siècle au destin fascinant. Jules Brunet arrive au Japon à une époque où le pays est en pleine mutation.
Katsumoto, gravement blessé par les tirs d'une mitrailleuse Gatling, demande à Algren de l'aider à pratiquer le seppuku. Algren survit, et remet le sabre de Katsumoto à l'empereur, qui trouve alors le courage de désavouer Omura ainsi que l'ambassadeur Swanbeck des États-Unis.
Quand un enfant destiné à devenir Samouraï avait atteint l'âge de 15 ans, il pouvait obtenir un wakizashi (petit sabre) et un nom d'adulte lors d'une cérémonie appelée genpuku (元服). Lors de cette cérémonie, il devenait samouraï et il obtenait aussi le droit à porter un katana.
Les samouraïs disparaissent officiellement au début de l'époque Meiji (1868-1912) lorsqu'ils perdent l'ensemble de leurs privilèges, dont le port du sabre ainsi que leurs revenus.
Le bushido est le code des principes moraux que les guerriers japonais (samouraïs et bushi) étaient tenus d'observer.
Dans le Japon médiéval, une onna-bugeisha (女武芸者) est une femme combattante issue de la haute société.
Le kenjutsu (剣術, litt. « technique du sabre ») est l'art du sabre des samouraïs. Il appartient aux anciens arts martiaux japonais et entre dans la catégorie des bujutsu, les techniques guerrières du Japon féodal.
Kurusan Yasuke est un des premiers, si ce n'est le premier, étranger à être devenu samouraï au Japon. Son histoire commence à la fin du 16ème siècle en Afrique (il serait né autour de 1550). On ne sait pas exactement où il est né mais il semble qu'il ait été originaire du Congo ou du Mozambique.
Le 3 janvier 1868, la restauration monarchique est proclamée. De là date le premier acte qui allait mener à la disparition des samouraïs.
Au XVIIe siècle au Japon, les samouraïs sont des guerriers au service d'un seigneur. Ils doivent respecter un code de l'honneur, le bushido : servir un seul maître, ne pas mentir et ne pas craindre de répandre le sang. Le jeune samouraï a reçu une éducation sévère pour ne pas avoir peur de la souffrance et de la mort.
Symbole de la caste des samouraïs, le katana est une arme de taille (dont on utilise le tranchant) et d'estoc (dont on utilise la pointe) à deux mains. Il est porté glissé dans la ceinture, tranchant dirigé vers le haut à la ceinture du côté gauche (vers le bas aussi si le porteur est un cavalier).
Les superbes rues des résidences de samouraïs
Les Bukeyashiki sont les résidences traditionnelles où les samouraïs et leurs familles vivaient pendant l'époque d'Edo. Le quartier de Nagamachi à Kanazawa a conservé son atmosphère historique, avec ses maisons soigneusement préservées entourées de murs de terre.
Un rōnin (浪人, 牢人) était, dans le Japon médiéval, un samouraï sans maître.
samurai. Guerrier japonais au service d'un daimyo.
Les samourais jouèrent un rôle déterminant dans les luttes de pouvoir qui déchirèrent le Japon féodal. Régie par un code éthique très strict, entièrement vouée à leur maître, leur vie était réputée ne tenir qu'à un fil, à l'image de la fleur de cerisier qui devint leur emblème.
Le ninja était un espion. Le samurai était originalement un soldat ou un chevalier. Plus tard, les samurai constituaient une classe sociale. De même que certains chevaliers sont devenu aristocrates en Europe, certains samurais ont obtenu les même classements que les kuge, aristocrates japonais traditionnels.
Étymologie. Du japonais 侍 , samurai (« samouraï »), littéralement « celui qui sert (son seigneur) ».