La Thérapie Interpersonnelle (TIP) et la Thérapie cognitive et Comportementale (TCC) sont à privilégier dans l'addiction au portable. Le diagnostic et le suivi par un psychiatre (médecin) est indispensable.
Qu'est-ce que la nomophobie, l'addiction au téléphone portable ? Derrière ce drôle de nom, se cache une névrose pourtant très sérieuse ! Cette contraction de "no mobile phobia" désigne la peur d'être sans smartphone.
Utiliser des applications d'auto-censure
Elles peuvent par exemple te rappeler de te lever périodiquement du bureau et de faire quelques pas, t'informer quand il est temps d'éteindre ton smartphone après un temps de connexion excessif, etc.
Vous êtes "nomophodes". Contraction de "no mobile phobia", la "nomophobie", touche principalement les accros aux réseaux sociaux qui ne supportent pas d'être déconnectés.
Migraine, perte de mémoire, fatigue, dépression, voire cancer et apparition précoce de la maladie d'Alzheimer... Voilà quelques-uns des symptômes et des effets secondaires que certains scientifiques attribuent à une utilisation intensive du "portable".
Les individus nomophobes tendent à vérifier de façon excessive leurs textos, ou les réseaux sociaux. Ils présentent des difficultés à s'impliquer dans les tâches quotidiennes, craignant la perte de connexion et d'accès à l'information.
La prise en charge d'une addiction est obligatoirement multidisciplinaire : elle repose le plus souvent sur l'association d'un traitement médicamenteux, d'une prise en charge psychologique individuelle (psychothérapie cognitivo-comportementale) et d'un accompagnement familial et social.
3 à 6 ans : 20 min. 6 à 8 ans : 30 min. 8 à 10 ans : 45 min. après 10 ans : 1 h.
- un sentiment de vide ou de déprime loin des écrans ; - une agressivité en cas d'impossibilité d'accéder aux écrans ou au réseau ; - une absence d'intérêt pour toute autre activité, y compris les occupations habituellement appréciées (ex. : scolarité, travail, moments passés en famille ou entre amis).
55% des personnes de 70 ans et plus n'ont pas de téléphone mobile. Les personnes sans accès au réseau vivent en général seules (41%) ou à deux (39%). Du côté économique, elles n'ont souvent aucun diplôme (43%) et disposent pour les deux tiers de faibles revenus ou sont dans la classe moyenne inférieure.
Je vous conseille d'organiser un emploi du temps afin de ne pas tourner en rond et de programmer des sorties, des activités pour pas céder à la tentation des écrans. Commencer petit à petit si vous avez envie de tenter l'expérience, genre de 8h à 20h sans téléphone ou sans écran.
Vivre sans Internet est possible, tout comme l'électricité, une connexion Internet n'a rien de vital. Les deux inventions sont comparables car une fois que l'on s'y est accoutumé, il est difficile de revenir en arrière, comme une fois qu'on a trouvé le confort, il est difficile de le perdre.
Le mot nomophobie vient d'être élu mot de l'année 2018 par le Cambridge Dictionary, est-ce le signe que cette peur d'être loin de son e-doudou s'amplifie ? Oui, ce terme souligne le caractère pathologique de nos rapports avec le smartphone. Le rapport au téléphone a beaucoup évolué, ces dernières années.
Il désigne "la peur ou l'inquiétude à l'idée d'être sans son téléphone portable ou de ne pouvoir l'utiliser". "Nomophobie" résulte de la contraction de l'expression "no mobile phone phobia". Un mot méconnu du grand public mais utilisé par la presse et les chercheurs, même s'il ne s'agit pas d'un terme scientifique.
Sinon vous pouvez aussi téléphoner à des inconnus pour faire des canulars... dernière possibilité, pour les plus désespérés : appeler SOS Amitié, vous trouverez toujours quelqu'un pour vous écouter et parler avec vous 24/24h, 7/7jours.
4. Pictionary. Le Pictionary est un jeu de dessin que vous pouvez acheter ou créer. Si vous l'achetez, vous aurez déjà des mots prêts à être utilisés, sinon créez vos propres cartes en y inscrivant divers mots : objet, métier, animaux ou autres.