Vous devez avoir certaines qualités comme la compassion, la compréhension, la discipline personnelle et l'appréciation. Une bonne façon de le formuler serait par exemple : les bons enfants sont sur la voie de devenir des adultes heureux et épanouis. Tous les parents apprécieront ce type de « bons enfants ».
Encourager et complimenter un enfant l'aide à avoir confiance en lui et à maîtriser ses émotions en cas de faiblesse (tristesse, ou peur par exemple). Ainsi donc, lorsque notre enfant a entrepris quelque chose d'inhabituelle, apprenons à le féliciter. Une autre façon aussi de lui dire qu'on lui fait confiance.
La fessée et les autres punitions corporelles, comme secouer, gifler, taper ou pincer, ont des effets négatifs sur le développement psychologique et social d'un enfant. Pour bien se développer, l'enfant a besoin de vivre un sentiment de sécurité physique et psychologique.
«Il existe plusieurs punitions efficaces pour se faire entendre de l'adolescent : il peut réparer la faute qu'il a commise, effectuer des tâches dans la maison ou être encore privé d'activités inutiles à son développement comme tout ce qui concerne les écrans.
On ne peut dès lors simplement parler d'enfants « mal élevés ». Ce dont il s'agit plutôt, c'est d'enfants qui épousent la cause de parents qui, pour des raisons singulières, sont en rébellion contre le reste du monde, et en conséquence contre ses codes de civilité et de courtoisie.
Une faible estime de soi
Ce qui fonde l'autorité, c'est le sentiment de sa propre légitimité : savoir que l'on est en droit d'exprimer son désir, de demander, et parfois d'imposer. Lorsque cette représentation est claire, l'autorité en découle assez naturellement.
Pour rester ferme dans l'éducation des enfants, il est primordial d'établir des règles. Il s'agit de délimiter clairement les conduites autorisées et celles qui ne le sont pas. Voici quelques conseils : Les règles doivent être peu nombreuses, claires et raisonnables.
Pour rassurer les parents, il ne suffit pas de leur dire « ne vous inquiétez pas ». Il est nécessaire de montrer à la fois son professionnalisme et sa compétence, à la fois en respectant ce qu'ils font avec leurs enfants et en leur montrant toute notre attention à leurs enfants.
Prenez le temps de l'écouter.
La prochaine fois que vous parlerez avec votre mère, vous devez vraiment écouter ce qu'elle a à vous dire. X Source de recherche . Posez-lui des questions si elle vous dit quelque chose qui ne vous parait pas clair. Laissez-la finir de parler au lieu de l'interrompre.
Un enfant heureux est forcément joyeux
Certes, un enfant épanoui, équilibré, qui va bien dans sa tête, qui est confiant dans la vie, sourit et rit beaucoup avec ses parents et avec ses copains.
Un enfant épanoui a un visage souriant, il rit beaucoup et spontanément. Son sommeil est calme et paisible, il mange bien. Il est curieux de plein de choses et est animé par une belle confiance en lui : il ose aller vers les autres, partir en voyage scolaire sans ses parents…
Au lieu de dire « tu es agressif », vous pouvez essayer de dire quelque chose comme « je me sens blessée quand tu me parles comme ça ». Il n'y a pas de mal à dire de temps en temps clairement ce que vous ressentez.
Cédez votre place
Malheureusement nous ne les utilisons pas à 100%. Nous nous estimons bien élevé si notre journée se termine avec une moyenne de 50-60%. Cela laisse tout de même une belle marge de progression !
Dans le cas du mensonge défensif, l'ado peut réagir ainsi pour échapper à une discipline trop sévère, à une attitude culpabilisante ou à des réactions trop émotives de la part de son parent. C'est le manque de confiance de l'ado envers la capacité du parent à réagir sereinement à son erreur qui l'amène à mentir.
Il faut aussi dire que l'insolence peut devenir un mécanisme de défense lorsque l'ado ne se sent pas respecté par l'adulte. Les ados possèdent un sens aigu de la justice même à leur très jeune âge. Lorsqu'une punition, une humiliation, un hurlement, lui paraît injustifié, il peut se renfermer et devenir insolent.
Pour Michel Fize, le sociologue, l'adolescence démarre dès 8 à 9 ans et dure jusqu'à 14 à 15 ans. « Oui, à 8 ans on devient un « petit ado », car on veut copier les plus grands. C'est une histoire de comportements, de goûts qui changent et s'affirment. L'adolescence, c'est le stade du conformisme au groupe.
On fait le geste qu'on refuse que l'enfant fasse." L'alternative : "Le mieux est de passer par la parole. S'il dit des gros mots, on exige qu'il les remplace par des mots qui ne sont pas vulgaires. Quand il ne dit pas "bonjour" ou "au revoir", on lui demande le "mot magique"."
Exemple de punitions éducatives
Le fait de raconter, j'espère, la fait réfléchir ". L'isolement dans la chambre ou dans le couloir reste le moyen le plus simple de faire comprendre à un tout-petit qu'il agit mal.