Il est recommandé de ne pas fumer, de modérer sa consommation d'alcool, d'avoir une alimentation diversifiée et équilibrée, de surveiller son poids, de pratiquer une activité physique régulière et d'éviter l'exposition aux rayonnements UV.
Les régimes riches en légumes non féculents, comme le brocoli, les épinards et les haricots, peuvent aider à protéger contre les cellules cancéreuses du cancer de l'estomac et de l'œsophage. Manger des oranges, des baies (myrtilles, etc.), des pois, des poivrons, des légumes verts à feuilles foncées (choux kale, etc.)
des antécédents de cancer du sein; des antécédents familiaux de cancer des ovaires; l'apparition tardive de la ménopause – l'interruption du cycle menstruel après l'âge 55 ans accroît le risque de cancer du sein; le tabagisme et la consommation régulière d'alcool.
Le stress peut être à l'origine de comportements individuels qui contribuent à l'augmentation du risque de cancer : alimentation défavorable à la santé, consommation de tabac, d'alcool, etc.
Chez la femme, trois cancers sont responsables du plus grand nombre de décès par cancer : sein (12 000), poumon (10 000) et colorectal (8 000). L'évolution de la mortalité (taux standardisé) par cancer entre 1990 et 2018 est marquée par une diminution dans les deux sexes, plus prononcée chez les hommes.
Le tabagisme, la consommation d'alcool, une mauvaise alimentation, un manque d'activité physique et la pollution de l'air sont autant de facteurs de risque de cancer (et d'autres maladies non transmissibles).
Le cancer colorectal, un cancer silencieux
Bien souvent, le cancer colorectal se développe de manière silencieuse, sans symptôme. C'est principalement le cas des cancers localisés au niveau du côlon droit et transverse.
L'étude « Face », menée en partenariat avec la Société Française de Psycho-Oncologie (SFPO), confirme le rôle essentiel de l'entourage : 82 % des patientes atteintes d'un cancer du sein peuvent compter sur le soutien moral de leur noyau familial qui fait bloc contre la maladie.
L'imagerie médicale. L'imagerie médicale est un ensemble de techniques permettant d'obtenir des images des parties internes du corps. Elles permettent aux médecins de vérifier la présence d'une tumeur, sa taille, sa forme, son activité métabolique et sa localisation exacte.
La sédentarité, L'absence d'activité physique, le surpoids et l'obésité Tous ces facteurs sont associés à une augmentation du risque de développer certains cancers.
Certaines formes de cancers du sein, de l'ovaire, du côlon, mais aussi des glandes endocrines, du rein, de l'utérus, de la rétine, de l'estomac, de la peau ou de la prostate sont connues pour être liées à une prédisposition génétique familiale.
Le sucre, ennemi numéro 1, serait donc accusé de nourrir le cancer. Régulièrement, de nouvelles études alertent le grand public.
Parmi tous les fruits et légumes que l'on trouve sur le marché, certains possèdent de plus grandes propriétés anti-cancer que d'autres et méritent qu'on leur attribue une place de choix dans nos menus quotidiens. Ce sont les fruits rouges, les agrumes, les crucifères, les alliacés et la tomate.
Il est recommandé de ne pas fumer, de modérer sa consommation d'alcool, d'avoir une alimentation diversifiée et équilibrée, de surveiller son poids, de pratiquer une activité physique régulière et d'éviter l'exposition aux rayonnements UV.
Les biomarqueurs sanguins
La présence de marqueurs sanguins particuliers peut être recherchée. Il s'agit en général de protéines produites de manière anormalement élevéepar les cellules cancéreuses. Leur présence est simplement un indice pour le diagnostic, car elle peut également signer des pathologies non malignes.
Il est parfois aussi appelé cancer primitif occulte ou cancer d'origine primitive inconnue. Les médecins tentent de déterminer le siège primitif à l'aide d'examens et, souvent, ils réussissent à le trouver. Dans la plupart des cas, il s'agit du poumon ou du pancréas.
Un test sanguin qui permettrait de dépister la présence ou non d'une tumeur chez les personnes à risque. Il y a donc un réel besoin d'identifier de nouveaux marqueurs tumoraux qui pourraient aider au diagnostic et au suivi de l'efficacité des traitements.
changements ou manifestations physiques : changement inhabituel d'un sein, perte de poids inexpliquée, nouveau grain de beauté ou modification d'un grain de beauté, apparition d'une grosseur ou d'un gonflement, voix rauque ou enrouée, difficultés à avaler, importantes sueurs nocturnes.
La probabilité pour un individu d'avoir un cancer au cours de sa vie est actuellement évaluée, sur la base de l'incidence 1988-1992, à 46,9 % pour les hommes (soit près d'un homme sur 2), et 36,6 % pour les femmes (soit plus d'une femme sur 3) (Ménégoz et Chérié-Challine, 1998).
Un cancer du poumon ou de la prostate peuvent provoquer des douleurs nociceptives au niveau du dos en cas de métastases vertébrales. La tumeur peut siéger au niveau d'un nerf. Elle occasionne des douleurs neuropathiques.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
Ainsi, pour les cancers de pronostic favorable 5 ans après le diagnostic, on observe à 20 ans une survie nette relativement stable quel que soit l'âge. C'est le cas des cancers du testicule (survie nette à 20 ans supérieure à 90 %), des mélanomes cutanés (> 80 %) et des cancers du sein (> 63 %).
L'imagerie médicale permet l'examen des organes à travers l'utilisation de rayons X (radiographie et scanner), d'ultrasons (échographie), d'ondes magnétiques (IRM) ou de radioactivité (médecine nucléaire).