Pour réussir le résumé de texte, il faut : - sélectionner les idées essentielles ; - reformuler les idées essentielles en utilisant des synonymes, des mots englobants ; - respecter l'enchainement logique ; - respecter le volume (le tiers du texte initial) ; - rester fidèle au texte : n'ajouter aucune nouvelle idée, ...
Résumer un texte, c'est se mettre à la place de l'auteur et reprendre – en son nom – l'argumentation en la réduisant au quart des mots utilisés. Pour faire le résumé d'un texte, il faut donc le réduire. Cela implique deux choses : l'abandon de certaines idées et la reformulation abrégée de celles qui sont essentielles.
L'essentiel doit se trouver dans la première phrase, celle-ci doit éveiller l'intérêt des lecteur·rice·s. Par exemple, il est possible de commencer par évoquer un personnage central avec la présence de mots-clés. Ces mots-clés donnent une indication aux lecteur·rice·s sur le genre du livre.
Le plan à suivre dans le résumé doit être, en principe, le même que celui du texte, au moins dans ses grandes lignes. Il est cependant difficile de donner, sur ce point, des conseils absolus. En effet, chaque texte pose un problème particulier compte tenu de sa nature et de sa complexité et du style de l'auteur.
Attisez la curiosité du lecteur dès le début du résumé
La première ligne doit être percutante et donner envie de lire la suite. Les premiers mots doivent interpeller le lecteur, soit en le questionnant, soit en l'intriguant. Pour cela, oubliez les phrases à rallonge ou les phrases trop descriptives.
objectivité et neutralité : le résumé de texte n'est ni une analyse, ni un commentaire. Il ne doit comprendre ni critiques, ni approbations. Et, bien entendu, aucune digression.
Pour trouver l'idée principale, il faut trouver la phrase qui a un lien avec toutes les autres et qui les englobe. Il est possible de créer un schéma pour mieux la repérer. Souvent, l'idée principale est placée au début ou à la fin du paragraphe, mais ce n'est pas toujours le cas.
À l'heure où de nombreux Français se disent submergés par le nombre d'informations à assimiler chaque jour, l'outil Resoomer apporte une solution efficace en proposant de résumer les textes pour n'en retenir que les idées principales.
le passé simple (et l'imparfait) pour raconter les événements contemporains du moment qui sert de repère ; le passé antérieur et le plus-que-parfait pour raconter les événements qui se situent avant ce moment repère ; le futur du passé pour raconter les événements qui se situent après ce moment repère.
La conclusion doit comporter trois étapes et remplir les fonctions suivantes : – récapituler : il faut, en quelques phrases, résumer la démonstration, en rappelant les différents axes du développement ; – donner son avis, en prenant clairement position par rapport à la question posée dans le sujet.
Comment compter les mots ? La règle de base pour le résumé repose sur une définition visuelle : un mot est une unité typographique isolée par deux blancs. Exemple : Jean de La Fontaine = 4 mots ; Charles de Gaulle = 3 mots. Tous les « petits mots » (articles, conjonctions, pronoms) comptent pour un mot.
Le compte-rendu de texte présente les idées les plus importantes d'un texte. Vous devez contracter un texte T1 en un texte T2 en mettant en relief l'idée principale exprimée et en relatant les autres idées. Il s'agit de rendre compte des pensées de l'auteur tout en restant objectif.
La règle traditionnelle en contraction de texte permet une marge de 10% en plus ou en moins. Par exemple 400 mots à 25% = 100 mots, donc de 90 à 110.
Les idées secondaires sont des faits, des données, des exemples ou des contre-exemples qui appuient l'idée principale. L'idée principale contient peu de détails. Les idées secondaires sont en lien avec l'idée principale. Toutes les autres phrases devraient s'y rattacher de près ou de loin (idées secondaires).
Le résumé doit se placer après la préface ou les remerciements et avant le sommaire (la table des matières). Enfin, le résumé d'un mémoire doit être rédigé au présent simple.
Dégager le thème de l'histoire. Surligner les indices de temps et de lieu. Identifier les personnages principaux et leurs rôles. Faire le schéma narratif de l'histoire (sans mentionner la situation finale, pour ne pas dévoiler la fin).
Certains mots servent à bien marquer cet enchaînement et à indiquer qu'il s'agit bien d'une conclusion : Au bout du compte, mais, c'est, enfin, telle est… Compte tenu de leur clarté, de leur pertinence et de leur cohésion, à la correction du Ministère, cette conclusion et l'introduction réunies ont reçu la cote A.
L'ouverture figure souvent sur la partie finale de la conclusion. Elle doit transmettre un message clair pour tous les auditeurs cibles. C'est là que poser des questions pas encore répondues ou résolues est de mises pour donner une réflexion.
Résumer un texte est une activité à la fois utile et formatrice. Produire un résumé aide à mieux comprendre le texte, à mieux en retenir le contenu et à développer ses habiletés de lecture et d'écriture. C'est pourquoi ce genre d'écrits est couramment demandé en milieu scolaire.