Le projet LST est un programme de prévention en milieu scolaire d'une durée de trois ans. Il cible l'usage de tabac, d'alcool et de marijuana, en offrant aux étudiants l'opportunité de briser la progression allant de la consommation de ces substances à l'abus d'autres drogues.
Le manque de connaissances est la cause principale de la consommation de ces substances chimiques synthétiques en milieu scolaire. En effet, 65% des élèves, qui n'en connaissent pas les méfaits, sont curieux et essaient à titre expérimental, 27% sont influencés par les autres.
Les dangers encourus :
Les risques somatiques respiratoires et cardio-vasculaires liés au fait de fumer doivent être pris en compte sur le long terme (une cigarette de cannabis produit en moyenne 5 fois plus de monoxyde carbone inhalé qu'une cigarette de tabac).
Échecs répétitifs sentimentaux, amicaux et scolaires. Accès de boulimie ou amaigrissement. Ces signes doivent alerter l'entourage. Ils ne signifient pas forcément que l'enfant se drogue, mais qu'il vit une période difficile et qu'il a besoin de soutien.
Un sevrage ambulatoire ou hospitalier peut être mis en place mais aussi une réflexion sur la place que la drogue a pris dans votre vie et les raisons ayant entrainé cette consommation. Une prise en charge globale est essentielle, la consommation de drogue n'étant jamais un problème isolé dans la vie d'une personne.
Nous préférons instaurer un débat et un échange d'opinion plutôt qu'un monologue moralisateur dont le message aurait du mal à passer. A l'aide d'images chocs, de vidéos et de récits d'expériences vécues et authentiques, le formateur amènera les élèves à douter de ce qu'ils pensent savoir sur les drogues.
Les conduites addictives interviennent dans 30 % des décès avant 65 ans. C'est ce que l'on appelle la mortalité prématurée. En outre, l'usage de la drogue a des incidences sociales du fait des comportements anti-sociaux, des handicaps et de la souffrance psychologique qu'elle entraîne.
Faire respecter la loi, en particulier renforcer l'effectivité de l'interdiction de vente aux mineurs de l'alcool, du tabac et des jeux d'argent. Assurer la sécurité au quotidien dans tous les quartiers et réduire l'offre de produits stupéfiants.
On ne dispose à l'heure actuelle d'aucun moyen permettant d'identifier les personnes qui deviendront dépendantes. La dépendance à la drogue est un trouble d'ordre médical, et non un manque de volonté ou de force de caractère. La dépendance à la drogue et les maladies mentales touchent souvent les mêmes personnes.
Des doses importantes ou une consommation chronique entraînent une grande nervosité, une fatigue intense, ainsi que des problèmes d'équilibre et de coordination, des troubles psychiques (instabilité d'humeur, crises de panique), des pertes de mémoires, des troubles du sommeil.
Abordez calmement le sujet avec lui alors qu'il n'est pas sous l'effet de l'alcool ou d'une autre drogue. Dites-lui que vous le soupçonnez de consommer ou de jouer ou, si c'est le cas, que vous savez qu'il prend de l'alcool ou d'autres drogues ou qu'il joue à des jeux de hasard et d'argent.
La meilleure façon de cesser de tricher, c'est de ne jamais vous en donner l'occasion. Souvenez-vous des conséquences qu'il y a à se faire attraper. Souvenez-vous qu'il est possible que cela arrive et que vous perdiez la confiance de vos parents et de vos professeurs toutes les fois où vous trichez.
C'est aussi la malhonnêteté d'ordre moral ou intellectuel. La tricherie en milieu scolaire, est le fait pour un apprenant de ne pas chercher à travailler pour réussir lui-même, un travail qui repose sur une organisation et la prise de conscience.
Les chercheurs constatent également une augmentation significative de l'appréciation mutuelle et une meilleure intégration des étudiants, ainsi qu'une diminution du racisme, du sexisme, de la délinquance et de la violence.
Vous pouvez sensibiliser votre enfant à l'environnement en posant vous-même des gestes concrets comme donner des vêtements et jouets, cuisiner davantage, composter, utiliser moins la voiture, etc. Votre tout-petit sera content de participer à certains gestes, comme le recyclage ou le compost.
Les effets recherchés lors de la consommation d'une drogue ou d'un médicament psychotrope varient en fonction de chacun, mais sont notamment d'ordre anxiolytique (euphorie, bien-être, apaisement…), stimulant (toute-puissance, disparition de la fatigue, indifférence à la douleur…), ou encore hallucinatoires ( ...
Le GHB est un dépresseur du système nerveux central qui cause la somnolence et réduit le rythme cardiaque. Il sert à traiter les troubles du sommeil, mais peut être dangereux en cas d'abus.
L'anxiété, les problèmes relationnels, les traumatismes du passé et le mal-être ressenti sont souvent à l'origine de ces usages. Ces consommations sont propices à ce qu'une dépendance s'installe et que la situation de l'usager se dégrade.
L'héroïne
L'étude de Nutt démontre que l'héroïne est la drogue la plus addictive de toutes, avec un score maximal de 3/3. Il s'agit d'un opiacé qui entraîne une augmentation de 200 % du niveau de dopamine dans le système de récompense du cerveau comme l'ont prouvé les expériences menées sur des animaux de laboratoire.
Une institution scolaire est une structure sociale et politique destinée à l'éducation, dans le premier degré (écoles maternelle, écoles élémentaire, enfants handicapés) et le second degré (collèges, lycées). (En France).
Parmi les conséquences néfastes qu'entraînent l'usage et l'abus des drogues chez les jeunes, on peut citer la dépendance, les surdoses, les accidents, les dommages physiques et psychologiques et, parfois, un décès prématuré.