vant la fête, mangez des aliments riches en matière grasse, qui ralentissent l'absorption de l'alcool, et pensez à manger régulièrement tout au long de la fête pour ralentir le passage de l'alcool dans le sang, en évitant les aliments trop salés qui donnent soif.
Si l'on boit un verre assez lentement pour qu'il dure une heure, il est peu probable que l'on s'enivre. Mais dès que l'on boit davantage, ou la même quantité mais plus rapidement, le foie est débordé. L'excès d'alcool se retrouve dans le sang et imprègne chaque organe du corps, y compris le cerveau.
N'oubliez pas de boire régulièrement de l'eau et de manger pendant vos soirées. Donnez-vous un nombre maximum de verres à ne pas dépasser ou fixez-vous une heure à laquelle vous arrêtez de boire. Parlez à quelqu'un de confiance qui peut vous soutenir dans votre intention de modifier votre consommation d'alcool.
Ces verres d'eau intermédiaires permettent en effet de lutter contre l'effet « déshydratant » de l'alcool, qui est l'une des causes de la gueule de bois. Étant diurétique, l'alcool provoque une élimination excessive d'eau via les urines : l'équivalent d'un litre d'eau pour quatre verres d'alcool, en moyenne.
– Alcools de base: gin, vodka, whisky ou bourbon, tequila, rhum, cognac,… N'hésitez pas à vous créer une «to do list» avec une dizaine de cocktails que vous avez envie d'essayer. Il vous faudra ensuite acheter environ 4-5 spiritueux de base, 2-3 liqueurs, un ou deux bitters, 1 ou 2 sirops, et des fruits et herbes.
Avoir du poids en plus veut dire avoir aussi de l'eau en plus. Du coup, lorsque l'alcool se propage, il est moins présent dans le sang. Si les gros buveurs tolèrent mieux l'alcool, c'est tout simplement car leur corps s'est habitué, et donc adapté.
Le saviez-vous ? : le champagne rendrait ivre plus vite que d'autres alcools. C'est la science qui le dit. C'est scientifiquement prouvé : boire des boissons alcoolisées à bulles procurerait une ivresse plus rapide qu'après la consommation de boissons « plates » avec le même volume d'alcool.
Selon une étude publiée dans Clinical Psychology Science et relayée par nos confères du New York Post, l'état d'ébriété d'un individu révèle sa réalité et sa vraie personnalité. Un test a été effectué sur un groupe de 156 participants volontaires.
Une cuillère d'huile d'olive avant de boire
"Les molécules de gras peuvent ralentir l'absorption d'alcool, mais cela ne vas pas éviter d'avoir mal à la tête le lendemain.
Des pâtes feront parfaitement l'affaire, on peut aussi choisir du riz ou encore des pommes de terre. Cela évitera que l'alcool n'épuise toutes les réserves d'énergie que l'on a dans notre corps. Et pour finir, pour être sûr de bien tenir toute la soirée, on ajoute à notre repas des légumes riches en vitamine B.
Pendant la soirée, il est important de boire lentement, d'alterner boissons non alcoolisées et alcool, de limiter sa consommation à un verre d'alcool par heure pour laisser le temps au foie d'éliminer, et de privilégier les alcools blancs ou clairs (vin blanc, vodka, rhum blanc) plutôt que colorés (vin rouge, cognac, ...
Au-delà de 40 g d'alcool consommé, soit quatre verres, le pic est atteint après 2 heures. Là encore, la vitesse d'élimination de l'alcool dans l'organisme est fonction du sexe : Femme : entre 0,085 g/l et 0,10 g/l par heure. Homme : entre 0,10 g/l et 0,15 g/l par heure.
La dilution avec de l'eau permet une diminution du degrés d'alcool par unité de volume. Mais si vous absorbez le verre dans sa totalité, la quantité d'alcool absorbé sera identique! C'est à dire qu'un volume de ricard absorbé avec ou sans eau, augmentera de manière identique le taux d'alcool dans le sang.
L'éthanol est le principal ingrédient qui nous fait entrer en état d'ivresse. Celui-ci se forme lorsque la levure fermente avec le sucre des plantes. Par exemple, le sucre présent dans l'orge malté produit la bière, celui des raisins crée le vin, et le sucre des pommes de terre permet de concevoir de la vodka.
« La tolérance reflète la souffrance cérébrale : plus une personne présente une tolérance élevée, plus le cerveau subit des modifications neuronales qui lui permettent de résister à l'alcool ». Et à un moment donné, lorsque la résistance cède, c'est tout l'organisme qui s'effondre.
Une intolérance à l'alcool arrive rarement sans raison, c'est souvent très en lien avec l'état psychologique dans lequel on se trouve lorsque l'on consomme. D'autres facteurs peuvent être mis en cause, comme la fatigue ou le stress,mais nous ne sommes pas compétents pour vous donner un avis médical.
Une déficience génétique
Il s'agit en fait d'une mutation génétique qui touche jusqu'à 1/3 de certaines populations asiatiques, chez qui le gène permettant de métaboliser l'alcool est déficient. « Au départ, on a tous un gène qui permet de se débarrasser de l'alcool, qu'on appelle déshydrogénase (ADH).
Le Code de la santé publique sur les jeunes et l'alcool est précis : « aucune boisson alcoolique ne peut être vendue ou offerte à un mineur de moins de 16 ans », peut-on lire. De même, il est interdit de recevoir dans un débit de boissons un mineur de moins de 16 ans non accompagné d'une personne majeure.
Le Code de la santé publique définit les boissons alcoolisées en fonction de leur degré d'alcool : Boisson sans alcool : moins de 1,2°. Boissons fermentées non distillées (vin, bière, cidre) : de 1,2 à 3°. Vins, vins doux et bières : de 3 à 18°.
Les chiffres montrent également qu'1 jeune homme (18-24 ans) sur 5 (4) connaît au moins 10 ivresses dans l'année, contre 7 % des filles. Autre fait : le verre de vin ne fait pas partie des rituels de la génération Y ! Les jeunes préfèrent les alcools forts (67,3 %) (3) ou la bière (63,5 %) au vin (35,9 %).