Enrouler tous 2 jours les tiges autour des ficelles. Le melon grimpe à plus de 2 mètres de hauteur. Couper 2 feuilles derrière chaque melon formé pour le faire grossir. Supprimer les fruits et tiges qui se développent derrière le premier melon (signe de bonne de santé).
faire des apports en potassium.
Le potassium permet, entre autres, de mieux conduire l'eau dans toute la plante et d'augmenter son immunité. On peut utiliser des engrais riches en potasse ou tout simplement de la cendre ou du compost.
Afin d'avoir une bonne production de melons, apporter un engrais riche en potasse. L'arrosage doit être régulier mais limité (à raison de deux fois par semaines). Pour conserver l'humidité au pied du melon, pailler avec de la paille.
Le soleil est indispensable pour le bon développement des feuilles puis des fruits donc mettez-les en place sur un emplacement 100% ensoleillé. Tant que la température de l'air ne dépasse pas 12°C, conservez-les au chaud. C'est cette chaleur qui va produire de bons et beaux melons.
Une moyenne de deux arrosages copieux par semaine est un minimum pour le melon. En zone très chaude et en période de sécheresse, il peut être nécessaire d'arroser tous les deux jours. Dans le cas d'un arrosage automatique, préférer une mise en route journalière et nocturne pendant au moins deux heures.
Culture et entretien du melon
Pensez à pailler pour garder une certaine fraicheur au niveau des pieds. Pour accélérer la mise à fruits, il est important de tailler vos plants de melon. Lorsque les plants possèdent 3 ou 4 feuilles, pincez au-dessus de la 2ème feuille et coupez la tige d'un coup sec.
L'arrosage régulier des melons en été est impératif, à raison de 2 fois par semaine environ.
Le melon a besoin d'être arrosé régulièrement, surtout en période de sécheresse. Pour conserver fraîcheur et humidité à son pied, vous pouvez mettre un paillage. Il est important de lui assurer un bon apport en eau sans quoi, il risque de flétrir et surtout de ne pas se développer complètement.
Une grande partie des variétés de melons doivent être pincées (supprimer l'extrémité d'un jeune rameau) ou tailler au printemps pour vous apporter un meilleur rendement lors de vos récoltes. Cette particularité commune à toutes les plantes coureuses du potager semble parfois complexe pour les néo-jardiniers.
Les melons et pastèques ont besoin d'un sol riche et bien ameubli pour nourrir leurs nombreux fruits. Au besoin, fertilisez le sol avec un engrais biologique potager au moment de la plantation. Evitez les sols sableux qui se dessèchent rapidement.
Où et quand planter ? Le melon est frileux ; on lui préfère une exposition chaude, ensoleillée et à l'abri du vent. Il apprécie un sol frais, riche, drainé et supporte bien le calcaire. On le sème sous abri dès mars et on installe les plants en pleine terre entre avril et mi-juin.
L'application de Top K pour augmenter le calibre des fruits peut s'effectuer par voie foliaire avec d'autres traitements phytosanitaires ou par voie radiculaire à travers l'eau d'irrigation.
Comme la fraise, ils contiennent aussi des petites graines susceptibles d'irriter les intestins et donc d'entraver le sommeil. Qu'il s'agisse du melon ou de la pastique, les fruits trop riches en eau sont à limiter le soir. "Ils sont dits diurétiques et augmentent le volume des urines.
Pour les melons, les fleurs mâles se situent sur la tige principale et les fleurs femelles ne poussent que sur les tiges secondaires. Près de ces fleurs femelles, plusieurs fleurs mâles se développent également.
Pourquoi ? Ce sont les fleurs mâles. Hormis les hybrides, les melons produisent d'abord des fleurs mâles sur les branches charpentières, puis des fleurs femelles sur les branches secondaires.
Distançage : Dans le rang : 80 cm dans le rang. Entre les rangs : 100 à 120 cm entre les rangs. Profondeur : 1 cm de profondeur.
La qualité du melon est généralement le résultat d'une fertilisation bien équilibrée (potassique surtout, donnant le goût sucré au fruit), de l'absence de maladies et d'attaques de parasites. Le rendement moyen est de l'ordre de 25-30 T/ha pour le charentais, 30-40 T/ha pour la Galia et 20-25 T/ha pour le jaune canari.
Le purin de pissenlit
Riche en potasse et en phosphore, il aide à la croissance des plants de tomates, de melon, de concombres, de courgettes par exemple, stimule les semis et peut même être utilisé après le rempotage sur les plantes d'intérieur.
Plantez le melon au soleil, dans une zone du jardin protégée des vents et des courants d'air, et dans une terre bien préparée. Attendez la fin des gelées, le melon ne résiste pas à des températures inférieures à 0°. Ce fruit est gourmand en éléments nutritifs.
L'arrosage du melon doit être maîtrisé afin de favoriser la fructification. Il doit être fait régulièrement, mais avec parcimonie. Il a des besoins importants en eau : un arrosage deux fois par semaine est nécessaire.
Le melon charentais multiplie les atouts. Riche en vitamines C, vitamines A et potassium, il est, en plus, mondialement reconnu pour avoir les meilleures valeurs gustatives ! Charentais, Galia, Canari, Piel del Sapo ou Brodé américain, les types de melon ne manquent pas. Mais, en France, un seul compte : le Charentais.
Pincez une deuxième fois
Après la taille d'étêtage, le plant de melon forme deux rameaux latéraux dits « rameaux de première génération ». Laissez ces rameaux se développer jusqu'à ce que chacun porte 5 feuilles. Pincez ou taillez alors chaque rameau après la troisième feuille.
Pour faire mûrir un melon, rien ne vaut l'efficacité du soleil. Mais si le fruit est ramassé trop jeune, il existe des techniques pour accélérer le processus de maturation. Il s'agit de renforcer l'action de l'acétylène, un composant contenu dans le fruit, qui participe à sa maturation.