Concrètement, réaliser un plan-séquence suppose que la caméra filme en continu durant le tournage de l'ensemble de la séquence. Dans le cas d'un dialogue, il n'y aura pas de champ-contre-champ pour dynamiser la séquence.
Vous situez la scène que vous étudiez : où se trouve-t-elle ainsi que la période où se déroule l'action. Enfin, vous présenterez le décor ( lieux, décors naturels ou fabriqués… ), les personnages avec leur caractérisation (aspects physiques, acteurs, vêtements… ) et leur relation (qui sont-ils, que veulent-ils ?).
Le plan séquence permet donc une identification plus forte aux personnages. Le spectateur est plongé dans son univers, il colle à la peau du héros. Le plan séquence donne aussi une impression de temps réel, ce qui accentue l'immersion du spectateur.
Une séquence comporte plusieurs plans (images enregistrées en une seule prise de vue entre la mise en marche et l'arrêt de la caméra) que vous devez identifier. Aucune coupe. Il forme une séquence à lui seul. Plan très large.
Elle se définie par la qualité d'une séquence qui dure souvent quelques secondes. Cette séquence se compose elle-même de différents plans de caméra et de prises de vue. Un plan est ce moment précis entre deux coupures de caméra. De ce fait, on appellera plan-séquence, ce champ filmé en continu sans effet, ni raccord.
Un plan dure généralement quelques secondes ou quelques dizaines de secondes et constitue l'unité de base du langage cinématographique. Lors du montage, un plan doit être raccourci pour prendre harmonieusement sa place au sein d'autres plans.
Selon lui, la séquence est « un ensemble de scènes unies, connectées par une idée, un motif, une situation, une action. » Quant à la scène, c'est « une unité narrative plus dense, plus courte que la séquence. Quelque chose de spécifique y survient ou s'y passe.
Privilégiez un scénario de récit, avec une unité d'action et de lieu, plutôt qu'un scénario de tournage. Montre et décrivez plutôt que d'expliquer. Pour ce qui est du style littéraire, choisissez un vocabulaire simple et des phrases courtes : sujet + verbe + complément.
analyser : décomposer le film en ses éléments constituants, puis établir des liens entre ces éléments isolés et chercher à comprendre comment ils s'associent pour faire surgir un tout signifiant porteur des intentions du cinéaste-réalisateur.
Au cinéma, un plan-séquence est un plan qui consiste en une prise de vues unique se déroulant en plusieurs endroits d'un même lieu ou successivement en plusieurs lieux reliés l'un à l'autre.
Un « master plan », ou plan directeur en Français, est un document de planification urbaine dynamique à long terme pour guider la croissance et le développement futurs d'une ville.
Une séquence a son propre début, milieu et fin. Il s'agit d'une partie autonome du texte, habituellement de 10 à 15 pages ou minutes, et elle appartient généralement à un seul personnage. Une séquence peut contenir entre trois et sept scènes, avec une tension à court terme qui fait avancer l'histoire.
L'analyse filmique consiste à présenter une œuvre audiovisuelle en explicitant le scénario, le découpage des séquences ou encore les enjeux socio-culturels et le message du film. Une bonne étude d'œuvre audiovisuelle doit aussi porter un regard critique et technique sur l'esthétisme de la production étudiée.
Après avoir visionné l'extrait 2 ou 3 fois, posez une problématique en rapport avec la séquence étudiée. Elle doit être claire et engager un raisonnement logique. Soyez précis, vous devrez répondre à cette problématique dans votre analyse. Elle sera à la base de votre argumentaire.
De manière générale, le scénariste utilisera Arial, Times New Roman ou le Courrier pour écrire son scénario. Vous trouverez ces polices dans la plupart des logiciels de traitement de texte comme Pages, Word ou OpeOffice.
Le titre de votre scénario écrit en lettres majuscules, centré horizontalement sur la page, commençant à environ un quart ou un tiers du haut de la marge de 1,0". Une ligne de crédit, à environ deux interlignes du titre, commençant par "par" ou "écrit par". Nom de l'auteur (ou des auteurs)
Comment faire trembler vos lecteurs à tous les coups ? Rassurez-vous, il y a plusieurs moyens de faire ressentir la peur à vos lecteurs. De les faire frissonner, trembler. De faire palpiter leur coeur et rendre leurs mains moites lorsqu'ils vous liront.
Le roman d'horreur cherche à susciter chez le lecteur l'angoisse et l'effroi, ou à tout le moins à le mettre mal à l'aise (l'inquiétante étrangeté par laquelle on a parfois cherché à définir le fantastique est ici exacerbée).
Le générique peut apparaître au début d'une œuvre (« générique d'ouverture » ou « générique de début ») ou à la fin (« générique de fin » ou « générique de fermeture »).
Le terme « bout à bout » désigne un premier montage sans raccord ni retouche des scènes du film ou de la production, dans l'ordre que prévoit le scénario.
Un fondu image est une technique d'enchaînement, une marque de ponctuation, entre deux situations ou flux d'informations, en l'occurrence, vidéos et/ou sonores.