Le présupposé présent dans un sujet peut bien sûr être accepté ou refusé, mais il faut toujours commencer par l'admettre et traiter le sujet tel qu'il est formulé. C'est seulement dans une dernière partie qu'il est éventuellement possible (voire parfois nécessaire) de le contester.
Apprendre à identifier ce qu'en logique on appelle les présupposés relève du même projet et de la même méthode. Là aussi, l'enjeu est de saisir la trame de fond, le « ce qu'on pense déjà », l'évident, le « ce qui va sans dire ». À l'identifier, on peut alors vérifier s'il est toujours – voire a jamais été – valable.
Un présupposé est une affirmation impliquée par une proposition, et sans laquelle elle ne pourrait être valide. Il y a un lien logique entre un présupposé et la notion ou la thèse qu'il permet de poser ou soutenir.
L'amorce ou l'accroche
Une bonne accroche doit introduire non seulement le sujet, mais aussi le problème soulevé par ce sujet. Elle peut suggérer une première réponse au sujet : soit sous forme d'un exemple pouvant être réfuté immédiatement en émettant un doute, soit en utilisant une citation pertinente liée au sujet.
Le but de l'introduction est claire: amorcer le sujet, présenter ses enjeux et montrer qu'il existe un débat, un paradoxe, un problème philosophique réel autour du sujet, pour aboutir à un plan qui se proposera d'argumenter autour de ce débat et de le résoudre dans la mesure du possible.
Pour être efficace, une introduction se déroule en 4 étapes : l'approche, l'explication du sujet, la formulation de la problématique, et enfin l'annonce du plan. L'accroche peut se faire notamment par le biais d'une citation ou d'un fait d'actualité.
Exemples d'annonce de plan
“Afin de répondre à la problématique susmentionnée, nous verrons premièrement [une description de la situation]. Ensuite, notre réflexion se dirigera deuxièmement sur [une analyse des causes]. Enfin nous étudierons [les solutions ou analyses conséquences]. “
présupposé
Ce qui, dans un énoncé, est une supposition préalable nécessaire à sa validité logique. (Par exemple, l'énoncé Le roi de France est chauve a pour présupposé « Il existe un roi de France » et pour posé « Il est chauve ».)
Admettre en préalable. Synonyme : conjecturer, induire, poser, postuler, supposer.
− Affirmation surprenante en son fond et/ou en sa forme, qui contredit les idées reçues, l'opinion courante, les préjugés. 1. Proposition qui, contradictoirement, mettant la lumière sur un point de vue pré-logique ou irrationnel, prend le contrepied des certitudes logiques, de la vraisemblance.
être sous-entendu
Être implicite, ne pas être exprimé, mais pouvoir être facilement supposé, rétabli : Phrase où le verbe est sous-entendu.
La PNL vous enseigne les compétences et la flexibilité nécessaires pour que le message que vous envoyez corresponde à celui qu'ils reçoivent). Iln'y a pas d'échec, seulement un retour d'information (ce qui semblait être un échec peut être considéré comme un succès qui s'est arrêté trop tôt).
On distingue deux sortes d'implicites : le présupposé et le sous-entendu. Le présupposé : est une information implicite qui se déduit d'un mot ou de plusieurs mots présents dans l'énoncé ; ex. : Ils étaient dix d'Agatha Christie est un roman policier captivant.
Plus l'accroche est proche du sujet, plus il est facile de passer à la suite de l'introduction. Une remarque étymologique peut faire une bonne accroche. Une question sur le (ou les) sens d'un mot du sujet aussi. On enchaîne ensuite de façon fluide vers la définition des termes et l'exposé de la problématique.
Formules de conclusion En conclusion / En somme, on peut constater ... Pour conclure, je dirais que ... / Finalement, ... Je touche maintenant à la fin de mon exposé… Pour terminer, on peut dire que ...
Comment formuler la problématique ? – Par quoi commencer sa phrase ? Deux tournures sont très utiles pour lancer le débat : "En quoi ?" et "Dans quelle mesure ?" Les tournures "Par quels moyens... ?", "Pourquoi... ?" ou "Doit-on considérer que... ?" lancent également le débat.
Pour attirer un lecteur, il faut le prendre par la main tout en étant entraînant. L'idée, c'est de l'embarquer dans ton univers (ou celui de ton sujet) et de lui donner envie de découvrir la suite de ton message. Rien de tel qu'une phrase d'accroche interrogative ! C'est pareil pour la première phrase d'un roman !
Vous pouvez utiliser les formules suivantes pour débuter votre conclusion : en conclusion, nous retiendrons que … ; Pour conclure rappelons que … ; Concluons en rappelant que … ; Arrivés au terme de notre démonstration, nous pouvons conclure que …
Une bonne introduction éveille l'intérêt du lecteur.
Doivent y figurer le contexte, la justification du sujet, la problématique abordée, la méthodologie ou encore le plan du texte. De quelques lignes à plusieurs pages, les introductions s'adaptent au texte dont elles font la présentation.
✌️ Les mots de liaison d'addition sont cruciaux pour élargir une idée ou fournir des informations supplémentaires dans un texte. Par exemple, dans une argumentation : L'utilisation de "et" permet d'ajouter une idée à celle déjà présentée, renforçant ainsi l'argument.
L'amorce ou entrée en matière se doit d'être originale et de susciter l'intérêt du lecteur. Vous pouvez utiliser un fait marquant, des statistiques, une citation ou un ouvrage. Évitez absolument les amorces du type : « De tous le temps, les hommes se sont intéressés à… ».
2. L'accroche basée sur des mots-clés. Exemple : "Mes qualités : organisé(e), optimiste, déterminé(e), flexible et toujours souriant(e)." On retrouve souvent cette accroche sous la forme d'un encadré, encore une fois juste en-dessous du titre du CV pour respecter la mise en page classique du document.