L'histoire de la llorona («la pleureuse») est celle d'une femme mexicaine pauvre, mariée avec un riche homme d'origine espagnole. Après avoir eu des enfants, l'homme commença à perdre de l'intérêt pour sa femme et avait honte de s'être marié avec une femme sans prestige.
Comment faire trembler vos lecteurs à tous les coups ? Rassurez-vous, il y a plusieurs moyens de faire ressentir la peur à vos lecteurs. De les faire frissonner, trembler. De faire palpiter leur coeur et rendre leurs mains moites lorsqu'ils vous liront.
Soyez concis. Votre légende ne doit pas faire plus d'un paragraphe et en réalité, une seule phrase devrait suffire, tout au plus. En fait, les légendes n'ont même pas besoin de comporter des phrases entières.
Écrivez un premier paragraphe dynamique
Le début doit donc préciser les trois dimensions du récit : quand, où, et qui. Pour captiver le lecteur, il est conseillé d'entrer directement dans le vif du sujet avec une première péripétie qui présente le contexte de l'histoire (son intrigue, ses personnages, etc;).
Chaque épisode raconte un conte célèbre comme Aladin, La Belle et la Bête, La petite fille aux allumettes, Hansel et Gretel, Le chat Botté, Poucette, Pinocchio, Cendrillon, La Belle au bois dormant, La Petite Sirène, Blanche-Neige ou encore Le petit chaperon rouge...
10 conseils pour raconter une histoire
Identifier et clarifier l'objectif de l'histoire. Construire une trame narrative en conséquence. Déterminer les rôles marqués et marquants. Fixer les points d'entrée et de sortie de chaque rôle dans l'histoire.
La peur est une émotion viscérale, qui prend aux tripes. Pour rendre une telle scène vibrante, on peut la décrire telle que la ressent le personnage dans sa chair, avec tous ses sens. Le souffle coupé, un bruit de pas qui se rapprochent, la peau qui frissonne, un goût de peur sur la langue …
De la même façon, ne dites pas qu'un personnage est triste, décrivez plutôt ses yeux larmoyants et ses lèvres tremblantes. En peignant des images avec les mots plutôt qu'en disant, les écrivains sont mieux à même de déclencher les émotions des lecteurs en leur permettant d'expérimenter ce que ressent le personnage.
Interagir et communiquer avec les autres est aussi une bonne façon d'améliorer son humeur quand on se sent moins bien et d'augmenter la probabilité de ressentir des émotions positives. La plus longue étude longitudinale menée sur des adultes (la Grant Study) l'a clairement démontré.
Candyman ou Candyman, le spectre maléfique au Québec est un film d'horreur américain écrit et réalisé par Bernard Rose, sorti en 1992. Il s'agit de l'adaptation de la nouvelle The Forbidden de Clive Barker et du premier film de la franchise du même nom.
Slender Man ou Slenderman (de l'anglais « homme élancé », « homme mince » ou encore « homme svelte ») est un personnage de fiction issu d'un mème Internet, créé sur le forum Something Awful (en) par Victor Surge en 2009. Il est rapidement devenu à son tour un mème Internet et a été repris dans de nombreuses créations.
Bienvenue sur Histoires d'horreur
Tu te trouves ici dans un endroit qui va certainement t'intéresser. Enfin seulement si tu es un adepte des histoires d'horreur, si tu aimes te faire peur. Tu pourras ici retrouver toute une série d'histoires terrifiantes qui te mettrons mal à l'aise. Des histoires flippantes…
Qu'est-ce qu'une bonne histoire ? Inventer et raconter une bonne histoire n'est pas qu'un don que les fées accordent à certains humains. C'est avant tout respecter les bonnes pratiques, les conventions qui donneront une forme identifiable, familière et accueillante à l'écoute.
Les 5-6 ans peuvent commencer à entendre certains contes des Frères Grimm, comme Dame Holle, Blanche Rose et Rose Rouge, et ainsi de suite.
Pour créer l'empathie avec le personnage principal, il faut d'abord établir un lien avec la victime. Le lecteur doit se sentir désolé pour celle-ci. Pour qu'il partage la même indignation que le personnage principal, il doit vouloir que la même justice soit rendue à la victime.
L'épilogue (du grec "ἐπίλογος", lui-même étant issu des mots ἐπί (epi) : sur, au-dessus et λόγος (logos) : discours) est la dernière partie, la conclusion d'une œuvre (discours, roman, film, pièce théâtrale, etc.). Il désigne plus particulièrement au théâtre classique un discours récapitulatif à la fin de la pièce.