- Elle est introduite par une conjonction de subordination : lorsque, comme, quand, ou par une locution conjonctive : parce que, après que. - On peut coordonner plusieurs propositions conjonctives circonstancielles : Lorsque je vais sur la jetée, et que je regarde le bout du ciel, je suis déjà de l'autre côté.
Proposition subordonnée conjonctive circonstancielle
Elle est introduite par une conjonction de subordination (quand, si, comme, etc.) ou une locution conjonctive (si bien que, avant que, même si, etc.). La proposition subordonnée conjonctive circonstancielle est facultative.
La proposition conjonctive est une subordonnée introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si et quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…). Nous avons exigé qu'il soit présent à notre prochaine rencontre.
On l'appelle conjonctive, parce qu'elle est introduite par une conjonction de subordination, ou une locution conjonctive. On l'appelle circonstancielle parce qu'elle sert à préciser les circonstances de l'action verbale.
- Elle est introduite par une conjonction de subordination : lorsque, comme, quand, ou par une locution conjonctive : parce que, après que. - On peut coordonner plusieurs propositions conjonctives circonstancielles : Lorsque je vais sur la jetée, et que je regarde le bout du ciel, je suis déjà de l'autre côté.
L'herbe est sèche, pas parce qu'il a fait chaud, mais parce que je ne l'ai pas arrosée. Dans l'exemple, "pas parce qu'il a fait chaud" est une proposition subordonnée circonstancielle de cause qui rejette une cause.
Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif).
Une proposition subordonnée circonstancielle a pour fonction d'être complément circonstanciel. Ainsi, elle peut être déplacée ou supprimée (sauf s'il s'agit d'une circonstancielle corrélative).
Une proposition subordonnée peut être complément circonstanciel du verbe principal. On dit alors qu'elle est circonstancielle. Ex. : [Quand minuit a sonné], nous nous sommes embrassés sous le gui. Quand minuit a sonné est complément circonstanciel de temps du verbe nous sommes embrassés.
Selon les grammairiens, la liste des compléments circonstanciels diffère, mais ceux qui sont le plus couramment représentés sont les compléments circonstanciels de temps, de lieu, de manière, de moyen, de cause, de conséquence, de but, d'accompagnement, de comparaison, d'opposition, de concession et de condition.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
Une proposition subordonnée conjonctive est une proposition subordonnée introduite par une conjonction de subordination : "comme", "quand", "lorsque", "quoique", "si", "puisque", "parce que", "que" et ses composés ("après que", etc.). Elle peut être : Complétive. Pure.
Les subordonnées conjonctives circonstancielles de temps peuvent exprimer : la simultanéité ; Le fait exprimé par la principale se situe alors en même temps que celui exprimé par la subordonnée. Tandis que nous parlions, une vitre se brisa.
La proposition subordonnée circonstancielle de cause "parce qu'elle était fatiguée" exprime la raison pour laquelle "elle" est partie. J'espère que tu viendras. La proposition subordonnée complétive "que tu viendras" complète le verbe "espère" en exprimant le contenu de ce que j'espère.
- Une proposition est composée d'un verbe, en général conjugué, qui peut être accompagné d'un sujet et de compléments. Ex. [Il ne viendra pas] : [il prépare son exposé]. : propositions indépendantes juxtaposées. ou ● coordonnées (=reliées par une conjonction de coordination ou un adverbe de liaison).
-> La complétive par 'que' complète un verbe. Exemple : J'ai su que vous viendriez. -> La relative par 'que' complète un nom. Exemple : La photo que je regarde est belle.
Lorsque « que » est un pronom relatif, on peut le remplacer par un nom. Il se rattache à un nom et introduit une proposition subordonnée relative, qui fait partie du GN et est complément de l'antécédent. Lorsque « que » est une conjonction de subordination, on ne peut pas le remplacer.
« Mais », « ou », « et », « donc », « or », « ni », « car » : voilà quelles sont, en langue française, les conjonctions de coordination.
Voici une sélection des principales prépositions classées par ordre alphabétique : à, après, avant, avec, chez, dans, de, depuis, derrière, dès, dessus, devant, en, entre, envers, hors, jusque, malgré, outre, par, parmi, pour, sans, sauf, selon, sous, sur, vers.
La subordonnée circonstancielle de temps permet d'indiquer une donnée temporelle (simultanéité, antériorité, postériorité, etc.). Conjonctions de subordination et locutions conjonctives : quand, lorsque, au moment où, pendant que, après que, depuis que + indicatif.
les conjonctions : quand, lorsque, comme ; les locutions conjonctives : tandis que, pendant que, en même temps que, au moment où, tant que, dès que, aussitôt que, chaque fois que, toutes les fois que, à mesure que. On emploie en général l'indicatif, au même temps que celui de la principale (ou à un temps équivalent).
1 LA SUBORDONNÉE CIRCONSTANCIELLE DE CAUSE
Subordonnants : comme, du moment que, d'autant plus que, parce que, puisque, sous pré- texte que, etc. Comme il est malade, il ne s'est pas présenté à l'examen. L'élève est absent parce qu'il aurait la grippe.