Chez certains actinoptérygiens, le mâle libère les gamètes mâles dans le milieu, la femelle libère les gamètes femelles également dans le milieu, la rencontre des gamètes se fait dans l'eau. La fécondation est donc externe à l'appareil reproducteur femelle.
Les deux types de gamètes sont mis en contact lors d'un rapport sexuel ou éventuellement lors d'une fécondation in vitro. L'union des deux gamètes (fécondation) peut donner lieu à la formation d'un embryon.
Lorsque la gamétogenèse des deux sexes est assurée, il faut et il suffit qu'un spermatozoïde (n chromosomes) pénètre dans un ovule (n chromosomes) pour que les 2 noyaux fusionnent et rétablissent une première cellule diploïde : c'est l'œuf, à 2n chromosomes.
La fécondation est le stade de la reproduction sexuée consistant en une fusion des gamètes, en général un gamète mâle et un gamète femelle en une cellule unique nommée zygote.
De nombreux mécanismes permettent de favoriser la reproduction sexuée comme : – Le rapprochement des deux partenaires. Les individus peuvent être attirés l'un vers l'autre grâce à l'émission de molécules (bombyx) ou par leur comportement (parade nuptiale chez le paon). – Le rapprochement des cellules reproductrices.
Chez les grenouilles et crapauds, il y a accouplement mais fécondation externe dans l'eau. En effet, les mâles ont des pelotes rugueuses aux pattes pour pouvoir s'accrocher aux femelles lors de l'accouplement et déposer leurs spermatozoïdes au fur et à mesure de la ponte de la femelle.
Comment les êtres humains se reproduisent-ils ? Pour faire un bébé, il faut qu'il y ait la rencontre entre un ovule et un spermatozoïde. On appelle cela la fécondation. L'ovule fécondé par le spermatozoïde devient un œuf qui se transforme en embryon.
La rencontre du spermatozoïde et de l'ovocyte a lieu dans la partie supérieure des trompes. Ainsi, les spermatozoïdes émis dans le vagin (200 à 300 millions) doivent passer notamment le col de l'utérus obturé par la glaire cervicale qui présente en période d'ovulation une structure favorable (maillage large...).
LA RENCONTRE DES GAMETES D'UNE PLANTE A FLEURS
Le gamète mâle, contenu dans le grain de pollen, produit par les étamines. Les gamètes femelles, les ovules, sont contenus dans l'ovaire à la base du pistil.
Lors d'un rapport sexuel, 100 à 400 millions de spermatozoïdes sont déposés dans le vagin. Quelques centaines seulement vont traverser l'utérus pour atteindre la trompe. En parallèle, l'ovule libéré par un ovaire est acheminé jusque dans la trompe grâce aux cils.
Rôle et fonction des gamètes
Les gamètes sont des cellules spécialisées dont la fonction est d'assurer la reproduction sexuée. Pour que la fécondation ait lieu, il faut donc qu'un spermatozoïde entre en contact avec l'ovule et fusionne avec celui-ci.
«C'est un battement oscillatoire assez rapide (environ 2 battements par seconde) du flagelle qui pendant deux minutes va faire osciller la tête du spermatozoïde en la plaquant sur l'ovocyte pour induire la fusion», explique Éric Perez, un des membres de l'équipe.
Le gamète femelle s'appelle l'oosphère. C'est une cellule comprenant un seul noyau haploïde et qui constitue, avec deux autres cellules haploïdes (les synergides), l'organe reproducteur femelle.
Au début du cycle, la température est assez basse et relativement stable ; puis, on remarque une petite chute de température, c'est l'ovulation ; ensuite, il y a une nette augmentation avec un second plateau plus élevé que le premier, cela marque la fin de l'ovulation.
Il est possible de déceler les tout premiers signes d'une grossesse, à partir de la fécondation, mais surtout de la nidation. Les femmes qui analysent leur courbe de température peuvent supposer que la fécondation a eu lieu si la température reste plus élevée à la fin de leur cycle (au-dessus de 37 °C).
Le processus qui conduit à la formation des gamètes est appelé la gamétogenèse. Selon les espèces, la spécialisation cellulaire conduisant à la formation des gamètes inclut ou non une division cellulaire particulière, la méiose, qui permet le passage de l'état diploïde à l'état haploïde.
Les gamètes (ovules chez la femme, spermatozoïdes chez l'homme) contiennent 50% de l'information génétique de l'individu qui les a produit. Ceci est le résultat de la méiose qui sépare les deux chromosomes de chaque paire pour fabriquer des gamètes "haploïdes" avec 23 chromosomes.
Habituellement, le sperme d'une seule éjaculation contient de 20 millions à 200 millions de spermatozoïdes. La durée de vie des spermatozoïdes est de 72 à 120 heures dans les voies génitales de la femme, et de seulement quelques secondes à l'extérieur.
Certaines femmes remarquent que l'œuf fécondé s'est implanté dans l'utérus. Elles ressentent des symptômes comme une sensation de tiraillement et de crampe ou une légère douleur dans l'abdomen, bien que celle-ci soit plus légère et plus courte que pendant les règles.
Cet ovocyte a une durée de vie de 12 à 24 heures après son expulsion de l'ovaire tandis que le spermatozoïde reste fécondant 24 à 72 heures après éjaculation. Le moment propice pour qu'un coït aboutisse à la fécondation se situe entre trois jours avant l'ovulation et au maximum 24 heures après cette dernière.
Lors d'un rapport sexuel, les spermatozoïdes sont déposés au fond du vagin (1) Ils gagnent alors rapidement la glaire cervicale (2), un milieu dans lequel les spermatozoïdes peuvent vivre jusqu'à 3 jours. Les spermatozoïdes vont entamer leur progression dans l'utérus (3) puis dans les trompes de Fallope (4).
La parthénogenèse est courante chez les petits invertébrés tels que les abeilles, les guêpes, les fourmis et les pucerons, qui alternent entre reproduction sexuée et reproduction asexuée, mais l'on trouve des cas de parthénogenèse chez d'autres espèces, comme les reptiles, les poissons et dans une moindre mesure ...
Mais un petit sous-ensemble d'animaux est capable de se reproduire sans pour autant avoir à s'accoupler. Le processus, appelé parthénogenèse, permet à certaines créatures, des abeilles domestiques aux serpents à sonnette, d'avoir ce qu'on appelle des « naissances vierges ».
Faire un bébé toute seule, c'est possible. C'est notamment le cas des espèces comme les phasmes, les requins-marteaux ou encore les dindons, qui n'ont pas obligatoirement besoin de mâles pour se reproduire. Cela s'appelle la parthénogenèse.