Comptez jusqu'à 10, respirez profondément ou buvez un verre d'eau. Rappelez-vous un moment de bonheur ou de tendresse vécu avec votre enfant. Ce souvenir libère dans votre cerveau de la dopamine et de l'ocytocine, des hormones de bien-être qui vous calmeront. Donner un câlin à votre tout-petit produit le même effet.
Pour garder votre calme et votre sang froid, rien de mieux que de vous initier à des techniques de relaxation comme la méditation. Grâce au travail sur la respiration, comme la cohérence cardiaque, vous pouvez également mieux gérer les pensées négatives qui vous assaillent.
Nous avons des émotions bloquées et les voir chez nos enfants nous exaspère/frustre. Nous nous interdisons d'exprimer nos émotions et ne supportons donc pas celles de nos enfants. Nous ressentons une émotion à la place d'une autre : la colère se déclenche pour cacher une ancienne tristesse par exemple.
Expliquez votre décision.
Dites, par exemple : « Non, on ne peut pas aller au parc parce que c'est l'heure du souper et qu'ensuite il va être trop tard. » Votre enfant acceptera mieux votre refus s'il le comprend. Trouvez avec votre enfant une autre solution ou offrez-lui un choix pour l'aider à accepter un refus.
Avant l'âge de 2 ans, un enfant n'est pas capable de comprendre ce qu'est une punition. Il comprend qu'il se passe quelque chose, mais ne peut pas faire le lien entre l'action et sa conséquence. Il est donc inutile de gronder ou de réprimander un bébé. De 12 à 36 mois, l'enfant se développe.
Pour désamorcer une crise, tentez de changer de sujet ou de lui proposer des solutions. Si c'est un jouet qui ne fait pas ce qu'il veut, par exemple, montrez-lui comment l'utiliser adéquatement. Si c'est plutôt à cause d'une de vos décisions qui ne l'arrangent pas, changez-lui les idées.
Modifiez le dialogue dans votre tête. Par exemple, au lieu de penser : « Je ne suis plus capable! », dites-vous plutôt : « Je vais me calmer avant de réagir. » Comptez jusqu'à 10, respirez profondément ou buvez un verre d'eau. Rappelez-vous un moment de bonheur ou de tendresse vécu avec votre enfant.
De façon générale, si l'on a trop tendance à crier sur nos enfants, c'est souvent parce que l'on est par ailleurs soumis(es) à beaucoup de pression. Cela peut être utile de se demander comment réduire notre charge mentale pour éviter le burn-out, et si besoin, ne pas hésiter à se faire accompagner.
Les cris, les insultes et les menaces sont en effet considérés comme une forme de violence verbale et psychologique qui a un effet négatif sur le sentiment de sécurité que l'enfant peut ressentir en présence de ses parents.
Commencez par quelques minutes par jour à écouter de la musique, à lire, à méditer, à prendre une marche, à faire un peu de stretching entre deux tâches. Tous les moyens sont bons pour montrer à votre mental que vous voulez prendre du temps pour vous dans le but de rester calme et patient avec vos enfants.
Les psychoses notamment, comme la schizophrénie, la paranoïa ou les troubles bipolaires peuvent engendrer de grosses crises d'énervement. Diverses maladies neurodégénératives, dont l'Alzheimer, sont aussi souvent responsables. Enfin, il peut être lié à un dérèglement hormonal.
Il n'est pas recommandé de laisser pleurer un bébé, même s'il n'est plus un nouveau-né. Un bébé ne pleure jamais pour manipuler. Son cerveau n'est pas encore assez développé pour lui permettre de manipuler ses parents. Il ne possède pas non plus la capacité de gérer ses émotions.
Comment savoir si mon bébé développe un lien d'attachement sécurisant? Pour le parent, les premiers signes d'attachement sont extrêmement gratifiants : À 4 semaines, votre bébé réagira à votre sourire, par exemple par une expression du visage ou un mouvement. À 3 mois, il vous sourira en retour.
À mi-chemin entre les deux courants de pensée qui consistent, d'un côté, à laisser pleurer un enfant et, de l'autre, à répondre à chacune de ses sollicitations, cette méthode s'adresse aux bébés en âge de faire leur nuit, c'est-à-dire vers 3 ou 4 mois.
La préadolescence, période compliquée pour les parents
C'est donc entre 11 et 12 ans que les parents vivraient le plus mal la grande aventure de la parentalité. Pour en venir à ces affirmations, les chercheurs ont interrogé 2200 mères d'enfants de tous âges, aussi bien nourrissons que majeurs.
Des clés pour avoir plus de patience
Écoutez avec amour ce qu'ils veulent vous dire et cherchez une manière de leur expliquer les choses avec douceur. Être cohérent dans ses actions. Les enfants n'apprendront pas vraiment de ce qu'on leur dira être correct ou non, mais plutôt de ce que nous ferons.
Effectivement, le syndrome de KiSS est un blocage de la jonction crânio-cervicale, c'est à dire de la première articulation entre la base du crâne et la première vertèbre cervicale. Cette dysfonction articulaire a pour conséquence, une adaptation posturale de l'ensemble du corps.
L'irritabilité est parfois un signe de constipation, de douleurs abdominales, d'un mal aux oreilles ou d'une infection virale ou bactérienne. Il se peut que votre bébé soit tout simplement irritable car il est constipé, mais cela peut également signifier quelque chose de plus grave.