Pour gazéifier la bière, il faut prévoir de diluer 3 cuillères à soupe de miel dans 12 cl d'eau, placer le mélange dans la marmite puis y déverser le moût.
En utilisant cette méthode, la bière doit être aussi froide que possible. Débrancher la sortie de la bière du fût. Pour ajouter du gaz au fût, fixez le dispositif de déconnexion rapide “Gas-In” et ouvrir la bonbonne de Co2. Secouer le fût assez vigoureusement jusqu'à ce que vous n'entendiez plus le gaz entrer.
On refroidit ce moût en y ajoutant des levures : elles vont boulotter tout l'oxygène et quand ce sera fini, elles s'attaqueront au sucre. Le résultat de leur digestion, c'est l'alcool et le gaz carbonique, qui fait les bulles.
Il est normale d'observer un temps de latence de 6h minimum jusqu'à parfois même 18h avant d'observer les premières bulles. Il est donc nécessaire d'attendre 24h avant de s'inquiéter de l'absence de bulles dans le barboteurs. Ceci démontre aussi l'importance d'une bonne aération du moût avant l'inoculation.
Placez le fût au réfrigérateur et retirez le tuyau CO2. Laissez reposer la bière pendant quelques heures. Ensuite, sélectionnez la pression souhaitée et réglez votre régulateur de pression. Laissez échapper toute pression excessive restant dans le fût, puis reconnectez le tuyau CO2.
Il sert également à stériliser le moût, tuer toutes les bactéries indésirables ou les levures sauvages qui peuvent être présentes. Le processus d'ébullition provoque également une réaction chimique appelée isomérisation, qui aide à stabiliser les composés du houblon et à les rendre plus solubles dans la bière finie.
En termes simples, la carbonatation de la bière consiste à ajouter du dioxyde de carbone à la bière, de sorte que le dioxyde de carbone soit dissous dans la bière. Afin de maintenir le dioxyde de carbone gazeux dans le liquide, une pression est nécessaire.
Maintenir à la bonne température
Plus la température est chaude, plus la fermentation sera rapide. Cependant, il est important de noter que si la température est inférieure à 15°C, la fermentation sera très lente et si elle est supérieure à 30°C, la fermentation sera trop rapide et pourrait donner de mauvais résultats.
Tu peux te fabriquer un barboteur maison, il suffit que tu fasses un petit trou dans le couvercle de la cuve. Tu glisses dans le trou un petit flexible sans l'immergé (de façon hermétique), puis l'autre bout du flexible immergé dans une bouteille d'eau.
Les barboteurs sont utilisés en brasserie et par les vignerons, ils sont placés sur les cuves où fermente le moût. Ils permettent de suivre le processus de fermentation et empêchent les corps étrangers et l'air extérieur d'entrer dans la cuve, tout en permettant de laisser sortir les gaz du moût en fermentation.
Souvent utilisé dans les lagers légères et les ales crémeuses, le maïs ajoute un peu de sucré et de moelleux à la bière. Permettant d'atténuer le goût malté, il est aussi utilisé pour alléger, notamment les bières de style anglais. Le maïs donne une couleur plus clair et jaune pour ensoleiller ta journée!
On a tous déjà tenté de mettre une cuillère dans le goulot, avant de la remettre au réfrigérateur. « Et pourtant, cela ne sert strictement à rien, assure David Cicéron, caviste aux Caves Pierre Noble de Rouen (Seine-Maritime). Le seul moyen de conserver les bulles, c'est de la reboucher… ou de la boire entièrement ! »
Boire une bière à température ambiante, c'est rarement une réussite. Mais si la notre s'est un peu réchauffée, mieux vaut éviter de mettre des glaçons dedans : l'eau va se diluer dedans et en altérer considérablement le goût.
Elle permet de faire des bières plus propres en réduisant les faux goûts liés à la production d'esters et en diminuant le risque d'oxydation. Produire plus vite donne également la possibilité de brasser plus de bières. En fait, fermenter sous pression vous donne plus de contrôle sur le produit finit.
Plusieurs possibilités : La date de consommation limite de la bière est peut-être dépassée. Vérifiez la date limite de vente inscrite sur le fût et si ce dernier est ouvert depuis plus de 30 jours grâce à l'indicateur de fraîcheur sur l'écran LCD.
La pression sur les manomètre se règle à l'aide de la vis sur le manomètre. Plus la température ambiante est élevée, plus la pression doit être élevée afin de contenir la bière et de l'empêcher de mousser. Retenez qu'à 20°C, la pression affichée doit être de 2.2 bars.
Une autre solution est de remplacer le barboteur par un tuyau plongé dans un bocal rempli d'eau au pieds du fermenteur, ce système est appelé "blow off".
Quel liquide mettre dans le barboteur ? L'eau fonctionne très bien. Certains mettent un peu de vodka ou du désinfectant.
Le barboteur en forme de serpentin est le modèle le plus avantageux pour le processus de fermentation de bière de moins de 50 litres. Contrôlez régulièrement le barboteur s'il a besoin d'être rempli, car l'eau s'évapore avec le temps.
Maintenir à la bonne température
Plus la température est chaude, plus la fermentation sera rapide. Cependant, il est important de noter que si la température est inférieure à 15°C, la fermentation sera très lente et si elle est supérieure à 30°C, la fermentation sera trop rapide et pourrait donner de mauvais résultats.
Déplacer le fermenteur dans une pièce plus chaude ou remonter la température pour que les levures puissent reprendre leur activité. Agiter légèrement le fermenteur si besoin sans trop oxygéner pour relancer les levures.
La macération et la fermentation à température contrôlée sont des étapes cruciales de la vinification du vin rouge. La macération permet d'extraire la couleur, les tanins et les arômes des raisins, tandis que la fermentation transforme les sucres en alcool et préserve les arômes délicats.
En France, le sucre le plus répandu est du sucre de betterave. On se base généralement sur ce sucre (ou le sucre de canne) pour l'étape de refermentation en bouteille. On parle parfois de sucre Candi qui est relativement similaire car produit à partir de sucre de betterave ou de sucre de canne.
Pour réparer la carbonatation, mieux vaut faire appel à des entreprises reconnues. Elles enlèveront le béton fragilisé jusqu'à l'armature avant d'en ôter la rouille. Elles mettront ensuite une ou deux couches de primaire et/ou d'enduit, après quoi le spécialiste colmatera les trous à l'aide de mortier.