En revanche, à cet âge, on peut pratiquer une autre forme de punition : la gronderie. Il s'agit de lui signifier en prenant une grosse voix et en faisant les gros yeux que ce qu'il a fait n'était pas bien et qu'il ne doit pas recommencer.
Il y a d'autres façons de punir un enfant de 20 mois : le mettre au coin ou imposer une privation (mais toujours avec une discussion sur la raison de cette punition), lui faire demander pardon à un autre enfant qu'il aurait frappé et lui faire un bisou.
Expliquez votre décision.
Dites, par exemple : « Non, on ne peut pas aller au parc parce que c'est l'heure du souper et qu'ensuite il va être trop tard. » Votre enfant acceptera mieux votre refus s'il le comprend. Trouvez avec votre enfant une autre solution ou offrez-lui un choix pour l'aider à accepter un refus.
Apprenons à bébé à s'exprimer autrement que par des gestes incontrôlés ou violents. Il aura le temps d'apprendre à gérer sa colère par la suite. Et mon astuce préférée : jouons la carte du changement d'idée, souvent beaucoup plus efficace que le bras de fer, et bien meilleure pour l'humeur générale .
C'est entre 8 à 12 mois qu'on peut commencer à gronder son bébé car c'est durant cette période qu'il commence à grandir, à acquérir des connaissances et à comprendre certains mots. Ses capacités de mémoire s'accroissent et c'est donc cette raison qu'on peut commencer à le gronder puisqu'il s'en souviendra par la suite.
Les tirades de réprimandes et d'injures peuvent avoir un impact sur la croissance mentale de votre enfant, lui nuisant psychologiquement . Si vous êtes quelqu'un qui menace de le quitter s'il ne vous écoute pas ou refuse de lui parler parce qu'il ne se comporte pas bien, vous voudrez peut-être réévaluer votre méthode de discipline.
Par conséquent, en tant que parent, vous devez être conscient des effets psychologiques néfastes des réprimandes. Comme les adultes, des réprimandes constantes font qu'un enfant se sent humilié, craintif, coupable, honteux, anxieux et stressé .
C'est vrai : les enfants d'un an sont comme des chiots… à cet âge, ils ne peuvent ressentir des émotions que sous des formes simples, ce qui équivaut à des formes primitives d'affection, de jalousie, de sympathie et d'anxiété. [1] Ajoutez à cela : ils n’ont pas beaucoup de contrôle émotionnel, voire aucun . Ils voudront peut-être simplement être détenus TOUT le temps.
Les crises de colère chez les tout-petits et les enfants sont normales sur le plan du développement . Ces crises de cris, de coups de pied et de pleurs font partie du développement typique et permettent à nos enfants de communiquer leur mécontentement et/ou leur frustration face à un événement ou une réponse, généralement lorsqu'ils n'obtiennent pas ce qu'ils veulent ou quelque chose qu'ils veulent.
Aidez votre enfant à exprimer ses émotions par des mots et à vous dire comment il se sent. En l'encourageant à parler de ce qu'il ressent, vous pouvez l'aider à mieux contrôler ses émotions et à ne pas se laisser dépasser par celles-ci. Faites preuve de patience et faites des efforts pour maîtriser votre frustration.
Le cerveau enregistre alors cette réaction en chaîne entre son sourire et celui de l'autre, précise-t-elle. Alors quand l'enfant est en situation de stress, il enclenche ce réflexe conditionné et expérimenté dès la naissance. Il y a ici une recherche un peu implicite de désamorcer l'interlocuteur.»
Conseils pour les parents
Encouragez votre enfant à dire « Bonjour » et « Au revoir ». Félicitez votre petit quand il y arrive, car cela peut favoriser son développement social et émotionnel. Félicitez votre enfant quand il répète des mots ou essaie d'en prononcer d'autres.
Avant un an, plus précisément entre 8 et 12 mois, les bébés sont capables de prononcer des mots composés de deux syllabes telles que "papa", "mama", ou encore "gato" s'il a faim. Lorsqu'il vous demande un objet ou qu'il vous réclame à manger, n'hésitez pas à reprendre sa phrase en lui disant "Tu veux du gâteau ?
Parler avec tendresse et empathie, cela baisse le niveau de stress du parent et de l'enfant. Puis enchainer, en pratiquant l'écoute, avec un petit peu d'explication. Se dire que c'est un mauvais moment à passer et que l'enfant va forcément finir par se calmer afin de pouvoir en reparler avec lui tranquillement.
De 9 à 12 mois, votre tout-petit commence à affirmer son caractère. Côté psychomoteur, il fait ses découvertes à son rythme. L'un passera beaucoup de temps assis à manipuler ses petits jouets et ne sera pas pressé de marcher, un autre n'aura de cesse de grimper, de se tenir debout.
Comment punir positivement ? Punir positivement, c'est comme guider quelqu'un vers la bonne direction au lieu de simplement pointer du doigt les erreurs. Plutôt que de se concentrer sur ce qui ne va pas, on met l'accent sur les comportements désirés en renforçant positivement les actions correctes.
Les bébés « fondent » le plus souvent lorsqu'ils sont frustrés, fatigués, affamés, malades, trop stimulés ou ne peuvent pas obtenir ce qu'ils veulent . Par exemple : Une crise de colère peut survenir lorsque votre bébé veut jouer avec votre montre. S’il n’obtient pas ce qu’il veut, il risque de s’allonger par terre en pleurant.
Bien avant d'accueillir leur premier enfant, les parents entendent souvent parler des deux ans et des trois ans comme les âges où les enfants sont les plus compliqués à gérer.
Voici quelques solutions à tester pour calmer les pleurs du soir d'un bébé agité : S'isoler dans un endroit calme avec bébé, l'installer à plat ventre sur l'avant-bras d'un de ses parents puis le bercer en lui parlant doucement. Le porter en écharpe.
Ils peuvent se montrer plus craintifs que d'habitude. Vous pourrez aussi remarquer des problèmes de sommeil avec des cauchemars, un endormissement difficile, des allers-retours entre le lit et les parents pour des demandes multiples, voire un besoin excessif ou inhabituel d'être rassuré.
La réprimande doit se faire sur un ton le plus calme et posé possible. Et, selon l'âge de l'enfant, elle doit être argumentée et doit éviter d'imposer quelque chose. Être grondé doit inviter le petit à réfléchir sur ce qu'il a fait pour qu'il soit capable de le voir par lui-même et ainsi de modifier son comportement.
Vers 6 mois, votre bébé commencera à comprendre « non » au ton de votre voix lorsque vous le dites . C'est un mot puissant qui peut l'arrêter net lorsqu'il se dirige vers une situation dangereuse. De nombreux experts préviennent cependant que le fait d’utiliser le « non » trop fréquemment peut diminuer son pouvoir, voire décourager la curiosité.
Il est important de ne pas donner de fessée, de frapper ou de gifler un enfant, quel que soit son âge . Il est particulièrement peu probable que les bébés et les jeunes enfants soient capables de faire un lien entre leur comportement et les châtiments corporels. Ils ne ressentiront que la douleur du coup. Et n'oubliez pas que les enfants apprennent en regardant les adultes, en particulier leurs parents.
Placez-vous à sa hauteur afin de pouvoir le regarder dans les yeux. Exprimez fermement et calmement votre désaccord. Dites-lui par exemple : « Je n'accepte pas que tu tapes ton frère. Dans notre famille, on ne frappe pas » ou « Tu as le droit d'être en colère, mais je ne vais pas te laisser me faire mal ».
Le tout-petit prononce, en général, son premier mot entre 12 et 16 mois. Les mots qu'il apprend à dire par la suite désignent habituellement les gens et les objets familiers. Ils sont aussi souvent liés aux routines, comme « dodo » ou « allo ».