Les accords de Genève mettent fin à l'Indochine française en 1954, mais les Américains ne ratifient pas ce traité : cela débouchera sur la guerre du Vietnam. Au nord Vietnam, la route coloniale 4 (RC 4) devient le symbole d'une importante défaite des troupes françaises.
Lorsque commence, en 1946, la guerre d'Indochine, le déséquilibre des forces est flagrant. Le corps expéditionnaire français est important, doté de matériel moderne, face à des nationalistes sans grands moyens. Pourtant, la guerre révolutionnaire menée par le général Giap a conduit la France à la défaite.
Bataille de Diên Biên Phu, une sombre défaite pour la France
Le 1er mai, face aux nouvelles attaques, l'armée française doit s'incliner à cause du manque de munitions, épuisées pendant cette bataille. Le 7 mai, l'ordre de cessez-le-feu est donné par la France.
Pour justifier cette guerre coloniale devant l'opinion publique mondiale en général et du gouvernement américain en particulier, les autorités françaises la définissent davantage comme une lutte anticommuniste que comme une guerre coloniale.
Le bilan est lourd, les pertes militaires françaises s'élèvent à 47 000 tués, auquel il faut ajouter les 28 000 autochtones morts en servant dans le CEFEO et 17 000 tués dans les armées des Etats associés de l'Indochine. Le Viêt-minh estime lui que ses pertes s'élèvent à environ 500 000 morts.
Ainsi, l'Indochine française regroupait ces trois pays de l'Asie du Sud-Est que sont aujourd'hui le Cambodge, le Laos et le Vietnam, sans oublier une portion de territoire chinois située dans l'actuelle province du Guangdong, le Kouang-Tchéou-Wan.
La guerre d'Indochine s'est déroulée de 1946 à 1954. Le régime colonial imposé par la France à plusieurs pays asiatiques est à l'origine de ce conflit, qui a fait plus de 500.000 victimes et a notamment conduit à la scission du Vietnam.
La guerre d'Indochine est un conflit qui a opposé la France au Vietminh de 1946 à 1954. La défaite de la France entraîne la fin de l'Indochine française et la division du Vietnam : la République démocratique du Vietnam et le Sud-Vietnam.
L'économiste français Thomas Piketty explique que les Etats-Unis ont perdu le Vietnam pour deux raisons principales. D'abord, la guerre a coûté une fortune. D'autre part, le pays a perdu un des plus grands producteurs de pétrole au monde.
L'Indochine française a disparu entre 1946 et 1954 pour faire place aux États indépendants du Cambodge, du Laos et du Viêt-nam, le territoire de Guangzhouwan ayant fait retour à la Chine dès 1943.
La guerre d'Indochine est un conflit qui a opposé la France au Vietminh de 1946 à 1954. La défaite de la France entraîne la fin de l'Indochine française et la division du Vietnam : la République démocratique du Vietnam et le Sud-Vietnam.
Quelques jours après la signature de la paix, le 28 juin, la cérémonie est à la fois un hommage aux 1 400 000 hommes tombés en quatre ans et une célébration de la victoire, celle de la France. L'armée française a joué un rôle capital dans la victoire sur l'Allemagne durant la Première Guerre mondiale.
C'est la chute de Saigon, capitale du Sud-Vietnam, qui met un terme définitif aux affrontements entre les troupes vietnamiennes. Le 30 avril 1975, le camp soviétique prend Saigon et gagne la guerre du Vietnam.
À la suite de la guerre d'Indochine et de l'échec de la France pour se maintenir en Indochine à la suite de la victoire du Việt Minh à la bataille de Diên Biên Phu le 7 mai 1954 , les accords de Genève divisèrent le pays en deux par une zone démilitarisée au niveau du 17e parallèle nord.
C'est l'un des noms de groupes français que l'on évoquerait en premier. Mais au fait, pourquoi Nicola Sirkis et Dominique Nicolas ont-ils choisi de s'appeler Indochine ? "Grâce à Marguerite Duras dont j'étais un grand fan. Elle ressentait les mêmes choses que moi et a vécu en Indochine.
Bien que le Vietnam ait été une colonie française de 1885 à 1946, soit durant une soixantaine d'années, c'est depuis le XVIIe siècle que la France était présente dans cette région.
Les Etats-Unis ont « perdu » la guerre menée pendant 20 ans en Afghanistan. C'est ce qu'a admis mercredi le chef d'état-major américain Mark Milley devant une commission parlementaire, un mois après la fin chaotique de l'intervention américaine dans ce pays.
Comme ceux de la plupart des armées révolutionnaires du monde, les combattants du Viêt-cong étaient équipés du célèbre fusil d'assaut soviétique AK-47, une kalachnikov rustique et imprécise.
Les Américains justifient leur intervention militaire au Viêt Nam par la théorie des dominos, selon laquelle il fallait éviter le basculement d'un pays vers le communisme, car les pays voisins basculeraient à leur tour. Le but est de prévenir une future domination communiste du sud-est asiatique.
Le 14 mars 1967, Il préside la cérémonie de départ de ces dernières du camp de Saint-Germain-en-Laye. A 16 heures, sous l'œil des photographes et caméras visibles au premier et à l'arrière-plan de cette image, les drapeaux français et américains sont descendus devant des détachements de militaires des deux pays.
Le renforcement de la présence américaine avait commencé en 1964, mais c'est en 1965 que le président Johnson décida officiellement d'un engagement direct de son pays dans la guerre, avec l'envoi massif de troupes et de matériel, et que commencèrent des opérations militaires sur le territoire du Nord-Viêt Nam.
La guerre froide prend fin avec la disparition de l'un des principaux protagonistes, et laisse la place à une unique super-puissance : les Etats-Unis, pour un nouvel ordre mondial.
Victoire des Alliés : Chute du Troisième Reich et occupation alliée de l'Allemagne et de l'Autriche. Chute de l'empire du Japon et occupation du pays par les États-Unis.
En 1954, après neuf ans de guerre, les accords de Genève mettent fin à l'Indochine française. Le Vietnam est alors partagé entre le Nord, sous domination communiste et soutenu par la Chine et l'URSS, et le Sud, sous influence occidentale. Les deux États s'engagent dans une guerre civile féroce.