Le roi prend comme il se déplace ; il peut donc prendre toute pièce adverse non protégée (par une autre pièce adverse) en se déplaçant sur la case qu'elle occupe, et la pièce prise est retirée de l'échiquier.
Il se déplace comme le fou et la tour, en ligne verticale ou horizontale et en diagonale, mais que d'une seule case à la fois. Il ne peut pas sauter par dessus une autre pièce. Le roi est la seule pièce qui ne peut pas être prise.
On ne peut pas manger (prendre) le Roi aux échecs car, lorsque le Roi d'un joueur est attaqué (c'est-à-dire lorsqu'il est en échec), ce joueur doit obligatoirement parer l'échec. S'il n'a aucun coup pour parer l'échec, on dit qu'il est échec et mat et la partie est perdue.
Lorsque le roi peut être pris au coup suivant, il est en échec. Le joueur devra obligatoirement parer cet échec. S'il n'existe aucun coup permis pour soustraire le roi à l'échec, le roi est alors en échec et mat et la partie est perdue par le joueur dont le roi a été mis en échec et mat.
Le roi se déplace d'une seule case à la fois, (sauf pour le roque). Les rois ne peuvent se mettre en échec, donc ils ne peuvent être l'un à côté de l'autre. Pour prendre, le roi, comme les autres pièces, se place sur la pièce adverse, qui est alors retirée du plateau.
Le roi se déplace horizontalement, verticalement et diagonalement d'une seule case. Il peut prendre les pièces et les pions adverses en les remplaçant sur leur case. Lorsque le roi est en prise, il est en échec.
La prise n'est pas obligatoire. Le pion ne peut pas prendre une pièce vers l'arrière ou vers le côté. Dans le diagramme ci-contre, les points blancs indiquent les possibilités de prise des pions blancs, les points noirs celles des pions noirs. Les pions blanc b2 et noir c3 peuvent se prendre l'un l'autre.
Oui, le roi peut « manger », c'est-à-dire capturer, des pièces en diagonale. Le déplacement du Roi est facile à retenir. Le roi a la capacité de se déplacer d'une seule case à la fois. Cependant il peut le faire dans toutes les directions : en avant, en arrière, latéralement, et en diagonale.
« Damer » est un terme synonyme et tombé en désuétude. La promotion n'est pas limitée aux pièces déjà capturées, un joueur peut donc avoir deux dames ou plus sur l'échiquier (certains jeux haut de gamme fournissent deux dames de chaque couleur).
Le Roi se déplace horizontalement, verticalement et diagonalement d'une seule case. Comme la Tour, le Fou, le Cavalier et la Dame, le Roi prend les pièces et les pions adverses en les remplaçant sur leur case.
Aux échecs une partie peut se terminer par l'abandon de l'un des deux joueurs.
De plus, le roque est interdit si vous êtes déjà en échec, si la case sur laquelle le roi doit arriver est en position d'échec ou si l'une des cases que le roi doit traverser est en échec.
Le nom des pièces d'échecs
Le premier à gauche est le Roi, reconnaissable à sa croix. La suivante est la Dame (et non la Reine). Ensuite viennent la Tour, le Fou, le Cavalier (et non le cheval ou le chevalier) et le pion.
C'est ce qu'on appelle la promotion du pion. La promotion est un processus de transformation. Lorsqu'un pion avance à travers l'échiquier et arrive à la dernière rangée, il a la capacité de se convertir en n'importe quelle autre pièce, à l'exception du roi.
Le mouvement de la Dame aux échecs
Pour être tout à fait complet, sachez qu'elle ne peut pas passer au-dessus de ses pièces ou des pièces adverses.
Les Blancs jouent le premier coup de la partie. On dit de celui qui doit jouer qu'il a le trait, et jouer est une obligation (on ne peut pas « passer » son tour).
Comment prennent les pions aux échecs : Le pion peut-il manger en arrière ? Voilà également une question qu'on nous pose souvent ! Et bien non, un pion ne recule jamais et ne peut donc pas revenir vers l'arrière pour la prise. Encore une différence avec le jeu de Dame qui peut mener à des confusions !
La règle du déplacement du pion aux échecs
Un pion ne recule jamais et si une pièce ou un pion se trouve juste devant lui, il est bloqué. Les pions peuvent prendre un pion ou une pièce adverse si celui-ci se trouve à juste une case en diagonale. Il vient alors remplacer le pion pris sur sa case.
La dame (ou reine) est la pièce la plus puissante du jeu. Peu importe la situation, elle peut se déplacer comme la tour ou le fou, c'est-à-dire en ligne droite, verticalement, horizontalement ou en diagonale, mais dans une seule et même direction à la fois.
Une pièce féerique est une pièce qui n'existe pas dans le jeu d'échecs traditionnel, mais qui est utilisée dans certaines variantes du jeu d'échecs et/ou dans des problèmes d'échecs féeriques.
Un pion arrivé au bout de sa course doit se transformer. Il peut devenir une dame, une tour, un fou ou un cavalier, mais jamais un roi. La pièce qu'il devient n'a pas besoin d'avoir déjà été capturée.
Par exception, lorsqu'un pion se déplace pour la première fois, il peut avancer de deux cases tant qu'il n'y a pas de pièces qui l'en empêchent devant lui. Un pion ne peut pas prendre une pièce directement devant lui, mais seulement en diagonale en se dirigeant vers l'avant.
Un sage nommé Sissa
D'après la légende, l'inventeur présumé des échecs indiens serait un brahmane nommé Sissa. Il aurait inventé le chaturanga pour distraire son prince de l'ennui, tout en lui démontrant la faiblesse du roi sans entourage.
Cependant, il possède des capacités qu'aucune autre pièce n'a, il peut sauter par-dessus les pièces ! Pour retenir cela, imaginez un cheval qui saute les obstacles ! En effet, le cavalier a cette capacité de mouvement très forte qu'aucune autre pièce n'a, hormis la tour et le roi lorsqu'ils roquent.