Les effets du stress chronique sur le sommeil
Plusieurs études ont montré que cette augmentation du cortisol était source d'hyperactivité du système d'éveil et donc de plus nombreux éveils nocturnes fragmentant la nuit de sommeil et diminuant le caractère restaurateur du sommeil.
Les rêves s'inspirent de la vie, du passé, de la mémoire, pour se créer un décor. Nos relations, les choses que l'on fait, les situations auxquelles on assiste, les films que l'on voit ou les lectures que l'on fait sont autant d'éléments qui peuvent se retrouver mélangés entre eux dans un rêve.
L'étape du sommeil qu'on appelle sommeil paradoxal est le moment où vous avez tendance à avoir le plus de rêves. Le manque de sommeil entraine un sommeil paradoxal plus court. Essayez de dormir entre huit et neuf heures par nuit. Cela augmente votre capacité à influencer vos rêves X Source de recherche .
En conclusion, le sommeil serait le meilleur remède naturel contre le stress et les troubles anxieux. Le sommeil profond rétablit le mécanisme préfrontal du cerveau qui régule nos émotions, réduit ainsi la réactivité émotionnelle et empêche l'escalade de l'anxiété.
On reconnaît également le stress aux symptômes ayant trait aux émotions comme l'agitation, l'irritation, l'indécision et la baisse de libido, l'anxiété, la mélancolie, la dépression et une faible estime de soi etc.
En effet, le manque de sommeil aggrave l'anxiété, l'irritabilité, et provoque d'autres problèmes de santé : c'est un cercle vicieux qui se met alors en place. En outre, plus les crises d'angoisse nocturnes sont récurrentes, plus le moment du coucher devient une source d'anxiété, par crainte de vivre une nouvelle crise.
Les rêves se produisent à n'importe quel stade du sommeil.
Les rêves peuvent survenir à n'importe lequel de ces stades du sommeil. Tandis qu'on glisse dans le sommeil, les images et les pensées de la journée peuvent faire surface dans nos esprits. Ceci est une forme de rêves.
Mobiliser tous ses sens en même temps afin de mieux mémoriser. Dormir avant la formation et après l'apprentissage pour retenir son contenu. Bouger car l'activité physique participe à la bonne santé des neurones et à la neurogenèse. Connecter les informations et les répéter pour mieux mémoriser.
C'est grâce à lui que nous rêvons. S'ils n'ont pas de lien direct avec la réalité, les rêves reflètent nos conflits intérieurs, nos peurs, nos angoisses et nos désirs. Nous rêvons plusieurs fois par nuit, mais la plupart du temps nous n'en gardons que très peu de souvenirs, voire aucun.
Il permet de réinitialiser le cerveau, et en particulier les fonctions cognitives : l'humeur, la mémoire, l'attention, etc. Autrement dit, plus l'on rêve – plus l'on cauchemarde (puisque 80 % des rêves sont désagréables) –, et plus on est en position de se refaire une bonne santé psychique.
En tant que réalité naturelle, le rêve n'a pas d'autre justification que d'être. Il nous est donc nécessaire, et utile si l'on considère qu'il peut nous permettre de mieux nous connaître et par la même occasion de connaître le monde nous rendant ainsi plus apte a connaître la vérité qui est le but de toute philosophie.
Les effets du stress peuvent donc être positifs : il nous aide à mettre notre cerveau en alerte. Cette hausse de la vigilance contribue à de meilleures capacités intellectuelles et nous rend plus efficaces : performances cognitives améliorées, concentration et mémoire stimulées, capacités d'apprentissage décuplées.
Le manque de sommeil peut aussi créer de l'anxiété
Parallèlement, les centres émotionnels plus profonds étaient, quant à eux, hyperactifs. Le professeur Walker estime ainsi que « sans sommeil, c'est presque comme si le cerveau pesait trop lourd sur la pédale d'accélérateur émotionnel, sans assez de freins ».
troubles psychologiques : irritabilité, impulsivité, dépendance affective, difficulté à se concentrer, baisse des performances intellectuelles, incapacité à faire des projets, désintéressement du quotidien, vision négative de l'avenir, peur irrationnelle et sans fondement...
Pour pratiquer, rien de plus simple ! Il suffit de choisir une ou deux phrases, et de se les répéter plusieurs fois par jour, à l'oral comme à l'écrit ! Le but est de noyer votre cerveau de pensées positives, de les affirmer comme vraies : à force de les répéter et d'y croire, elles finiront par devenir réalité.
Une des activités le plus efficace qui stimule notre cerveau, est la lecture, mais aussi l'écriture, et les jeux de société.
Selon Marina Chiche "le fait d'aller courir, de marcher ou autre convoque le rapport corporel, et dans le mouvement, on va mieux gérer les idées invasives. Rester actif d'un point de vue corporel permet de développer un cercle vertueux dans le cerveau pour optimiser le repos dont il a besoin".
ONIROPHRÉNIE, , subst. fém.
La signification des rêves est liée à des croyances et à des théories reprises par la psychanalyse. Ces rêves nocturnes peuvent impressionner du fait de leur mise en scène imaginaire par rapport à la vie réelle.
C'est dans le dernier cycle du sommeil, appelé « paradoxal », que se produisent les rêves. « Ces messages venant de notre inconscient s'expriment par symboles, explique Simone Berno, psychothérapeute (1). Ils sont en étroite relation avec notre actualité et révèlent nos désirs, nos frustrations. »
Pour calmer une crise d'angoisse, le relâchement musculaire est très efficace. En début de crise, prenez une grande inspiration puis contractez les muscles de votre corps pendant 10 secondes. Relâchez ensuite cette tension en expirant profondément. Renouvelez l'exercice pendant au moins 3 minutes.
Les troubles anxieux constituent une maladie psychique fréquente qui s'exprime sous diverses formes (anxiété généralisée, phobies, trouble panique...) et perturbe fortement la vie quotidienne. De nombreux facteurs psychologiques, biologiques et environnementaux peuvent favoriser leur survenue.
Le traitement d'une crise d'angoisse aiguë consiste à éloigner la personne de la situation anxiogène. Si l'attaque de panique est forte, il peut lui prescrire un médicament contre l'anxiété. Le trouble panique nécessite une psychothérapie prolongée, voire un traitement médicamenteux.