« S'il-vous plaît » peut aussi traduire « merci » en Belgique ! Bref, il est utilisé à toutes les sauces !
Dank u wel, mevrouw!
1. La drache. « La drache » est peut-être le mot le plus important à apprendre quand on va en Belgique.
Les belges sont un peuple enthousiaste et trouvent tout « très chouette ! », et disent tout le temps « ça va » au lieu de OK. Quand ils te disent au revoir, ils te disent « à tantôt ! », quand ils te parlent de ce qu'ils ont fait il y a quelques heures, ils disent « tantôt » aussi !
Ici, une baise est un petit bisou affectueux, une bise, à une lettre près !
Non, peut-être : expression bruxelloise pour dire « oui, bien sûr » !
Il drache : il pleut à verse
« T'as vu comment il drache dehors ? Je n'ai même pas mon parapluie… »
« Comme des diables »
Et si les Belges n'ont pas toujours évolué en rouge dans leur histoire, leur petit surnom s'y est adapté : les Diables Blancs dans les années 1970 ou encore les Diables Noirs au début des années 2000.
(Familier) Personne qui manque de compétence, de savoir-faire.
La plus célèbre expression belge, celle que les Français portent au pinacle du "parler belge" est celle de l'invitation à son fils d'un père souhaitant les explications de celui-ci: Arrivez une fois, fiske ! Pour faire court, "Une fois" signifie tout ce que vous voulez, sauf une fois (p.r. à deux fois ou plus).
Bonjour (durant la matinée) = Goedemorgen. Bonjour (à midi) = Goedemiddag. Bonjour (en soirée) = Goedenavond.
La soirée commence à 18 h, heure à partir de laquelle on se salue avec goedenavond (bonsoir). Contrairement au français, goedenacht (bonne nuit) ne s'utilise pas uniquement pour dire au revoir ou aller se coucher, mais aussi pour saluer quelqu'un au cours de la nuit (entre minuit et 5 h 59 au sens strict).
Mais que dire à son partenaire pour lui témoigner de son amour ? Dans ce cas, la traduction de « Je t'aime » en flamand est « 'K zien je geeren ». Une expression incontournable dans une vie de couple flamande. N'hésitez pas à en abuser si votre chéri(e) est « flamandophone ».
D'origine arabe, l'expression « c'est la hass » veut dire que c'est « trop la galère » et beaucoup d'autres dérivés comme « c'est la crise », ou encore « c'est la misère » et parfois même « c'est la honte ». Un mot délicat à utiliser donc.
Kazakh : « Rahmet » Khmer : « Akun » Kikongo : « Matondo » Kinyarwanda : « Murakoze »
Quiévrain est un village frontalier. L'expression "passer outre-Quiévrain" signifie simplement passer la frontière, le village ayant été pendant des années le lieu de cantonnement des douaniers belges et français sur la ligne de chemin de fer Bruxelles-Lille-Paris (enfin, Paris-Lille-Bruxelles pour vous).
Née d'une séparation violente motivée en partie par un différend linguistique, la Belgique, on ne s'en étonnera point, fit de la langue française la langue du nouveau royaume indépendant. Dès le 16 novembre 1830, le gouvernement provisoire avait proclamé le français langue officielle du pays.
patatkraam ; frietkraam [Bel.] ; frietkot [Bel.] ; frituur [Bel.] exp. nf.
Si vous êtes amateur/amatrice de bière, vous connaissez peut-être déjà le cocktail demi-pêche. Ce cocktail à base de bière et au sirop de pêche est tellement bon qu'il mérite qu'on vous partage la "recette" !! Verser le sirop en premier dans le verre, puis verser la bière.
Pourquoi parle-t-on de pinte ? L'origine de la pinte est anglo-saxonne, et remonterait à la toute fin du XVIIe siècle. C'est à cette époque qu'un nouveau système d'unités impérial est mis en place en Angleterre, visant à standardiser les mesures et à encadrer le débit d'alcool servi dans le pays.
(Argot bruxellois) Pénis.
En Belgique, on utilise le mot “slache” pour désigner des chaussures d'intérieur, comme des claquettes, des tongs, des mules ou des chaussons.
On prononce donc « bru-sèl », et non « bruk-sèl ». L'habitant de la capitale le « bruxellois » se prononce donc logiquement « bru-sè-loi » et « bruxelloise » : « bru-sè-loiz » pour les filles.