Restez en appui sur vos jambes, gardez le dos droit, vos mains sur le guidon sans trop vous crisper pour conserver la souplesse de votre motocyclette et une meilleure maniabilité. Le regard est essentiel aussi pour prendre sa trajectoire.
Avant et pendant l'examen, évitez de communiquer votre stress et surtout de vous laisser contaminer par le stress des autres. Il vaut mieux éviter de trop parler avec les autres candidats. Il faut s'isoler, rester dans sa bulle, se concentrer sur sa performance.
Tout d'abord, en position assise, lever un pied du repose-pied, bouger la jambe, la tendre, la plier, vers l'avant puis vers l'arrière, la détendre jusqu'à ce que le pied frôle le sol. Faire de même avec l'autre pied. Puis les deux pieds en même temps. Ensuite, on se met debout sur les repose-pieds et on lève un pied.
Le point essentiel est de rouler « serré en bas, relâché en haut ». Tout le bas du corps doit être au plus près de la moto : pieds, genoux, cuisses, bassin. Vous devez multiplier les points de contact avec la machine, la serrer entre vos jambes, pour mieux la sentir et influer sur elle.
Sur la durée de votre permis moto, qu'il soit l'examen du plateau ou l'examen de circulation, votre relativisation ainsi que votre préparation feront la différence quant aux sensations dues au stress. Pensez à bien respirer, vous concentrer et vous rappeler que vous ne jouez pas votre vie si vous ratez une épreuve.
Révisez vos fiches théoriques bien avant l'examen
Vous savez que quoi qu'il vous demande, vous aurez une réponse ou du moins, vous vous y connaîtrez assez pour bien argumenter vos propos. Mais surtout, le fait de savoir qu'on maîtrise la partie théorique, ça rassure et ça donne confiance en soi !
Au moment de se pencher, le motard doit appuyer sur le pied gauche et incliner le genou droit vers le cadre de la bécane. Ça permet de bien sentir son centre de gravité. Quand le virage à gauche est très accentué, il faut également veiller à ne pas exposer sa tête sur la voie en sens inverse.
C'est ce qu'on appelle déhancher, ce qui sert à repousser au maximum sa moto vers le haut et déplacer son centre de gravité pour la garder le plus perpendiculaire possible du sol, offrant ainsi un meilleur grip du pneu, plus de sécurité et plus de vitesse.
Un phénomène naturel. La peur à moto est un phénomène tout à fait naturel, que tous les motards connaîtront à un moment ou à un autre de leur vie à deux roues. Généralement, l'appréhension est plus présente chez les jeunes motards qui n'ont pas encore accumulé beaucoup de kilomètres.
Pour cela, braquez le guidon à fond vers la droite et gardez serré le levier de frein avant. La moto va pencher à gauche. Ensuite, décollez le pied droit du sol, sans le monter trop haut. Trouvez le point d'équilibre, en pensant à regarder loin droit devant vous.
S'aider du repose-pied
Le réflexe naturel du motard, habitué à monter et descendre par la gauche de sa moto, sera donc de poser le pied gauche sur le repose-pied gauche, les deux mains sur le guidon, avec le guidon droit ou braqué vers la droite, en position d'accueil.
En cas de faute éliminatoire, l'inspecteur coche la lettre E inscrite devant la compétence concernée. Une erreur éliminatoire notée signifie un résultat défavorable.
effectuer un slalom : effectuer un slalom à une vitesse d'au moins 40 km/ h puis effectuer un demi-tour ; effectuer un évitement : accélérer à au moins 50 km/ h ; puis effectuer un évitement à une vitesse de 50 km/ h puis effectuer un freinage de précision dans un emplacement de stationnement.
Il existe trois catégories du permis moto : A1, A2 et A. Ces catégories requièrent différents examens et définissent la taille de la cylindrée autorisée à être conduite.
Il faut bien plier le coude côté intérieur du virage. Pour m'aider à faire cela au départ, je gardais en tête de tendre le plus possible l'autre bras, celui à l'extérieur posé sur le réservoir de la moto. Une fois que ton coude est bien plié il faut essayer de le tirer vers l'avant et vers le sol.
Le dernier effet, c'est le fait de sortir le maximum du corps de la moto, afin d'offrir le plus de surface possible au vent, et donc diminuer l'aérodynamisme et ralentir la moto.
Point 6 : Gérez votre vitesse en douceur
Simple bon sens, même avec la position la plus parfaite, à 5 km/h, il ne se passera pas grand chose entre le slider et le bitume. Mais pas besoin de rouler à 150 km/h non plus pour prendre le bon angle, en particulier dans les courbes les plus serrées.
si le vent est latéral à gauche en permanence, se placer à gauche permet en cas d'écart de ne pas se retrouver sur un bas-côté rendu glissant (en cas de pluie et vent). si le vent est latéral à droite en permanence, on se place plutôt sur la droite pour éviter de se faire déporter sur la voie d'en face.
sur le tiers droit (trace de passage des pneus de voiture de droite), sur le tiers gauche (trace des pneus de voiture de gauche), à l'extrême bord droit (près du bord de la route, de la ligne de rive), à l'extrême bord gauche (au milieu de la route, près de la ligne médiane).
Pour passer une porte, il vaut mieux la prendre de face pour ne pas fermer l'angle des prochains passages. Pour le plateau moto lent, plus vous arrondissez l'itinéraire, plus longtemps vous serez sur le circuit et moins vous aurez de risque de poser le pied à terre. Position : elle doit être souple.
V/ l'évitement
Le slalom doit se faire à une vitesse supérieure à 40 km, la vitesse est prise au point C7. Arrivé en bout de piste, le candidat fait demi-tour pour revenir le long de la piste pour faire l'évitement. Il doit arriver à une vitesse minimum de 50 Km.
Au retour, la vitesse mesurée doit être égale ou supérieure à 50 km/h, sans marge technique pour les permis A2, avec une marge de 5 km/h pour les permis A1.