Le principe est simple : de l'eau salée est introduite via une narine dans les fosses nasales, circule dans les cavités et ressort par l'autre narine. Ce faisant, l'eau emmène le mucus lorsque celui-ci est en excès ainsi que les particules diverses (allergènes, bactéries, virus, poussières).
Utiliser un vaporisateur nasal salin doux ou des gouttes trois à quatre fois par jour peut aider à enrayer l'écoulement nasal et faciliter la respiration. La solution saline apaisera les membranes muqueuses à l'intérieur du nez.
Au milieu, on va trouver la cloison nasale qui est formée de deux parties : une partie cartilagineuse en avant et une partie osseuse en arrière avec l'os appelé le vomer et une autre lame osseuse qu'on appelle la lame perpendiculaire de l'ethmoïde qui est à cheval entre le vomer et le cartilage.
Les lavages nasaux avec de l'eau salée (de type eau de mer ou sérum physiologique) sont recommandés pour maintenir une bonne hydratation et faciliter le nettoyage de la cavité nasale. Si le nez est douloureux, l'emploi d'un vaporisateur doux est recommandé.
Si des allergies sont responsables de l'écoulement dans l'arrière-nez, on peut utiliser des antihistaminiques disponibles en vente libre (par ex. la loratadine, la desloratadine, la cétirizine et la fexofénadine) pour enrayer les symptômes.
Les écoulements dans l'arrière gorge (en anglais ils appellent ceci le "post-nasal drip") sont habituellement associés avec les sinusites. La congestion nasale peut facilement devenir une sinusite, c'est-à-dire une inflammation et une infection des sinus.
Il filtre les microparticules présentes dans l'air pour protéger nos poumons. Quand tout va bien, on en avale près d'un litre par jour sans le remarquer ! Mais en cas d'infection comme un rhume ou une rhinopharyngite, la muqueuse de notre nez gonfle et produit plus de mucus pour évacuer le virus.
Il est préférable d'éviter le lavage de nez à l'eau du robinet. Privilégiez plutôt l'usage d'une solution neutre respectant la muqueuse nasale : une solution salée à la même concentration que notre sérum sanguin, pour créer une solution dite « isotonique ».
Le lavage de nez peut se faire avec du sérum physiologique, une solution saline disponible en pharmacie ou de l'eau salée que l'on confectionne soi-même. Pour cela, laver et rincer soigneusement un récipient en verre d'un litre environ. Le remplir avec une bouteille d'eau minérale ou du robinet, sans faire bouillir.
La congestion des sinus, l'écoulement nasal et la pression avec douleur faciale ou maux de tête peuvent indiquer un rhume. Mais si l'écoulement nasal est jaune ou décoloré, cela indique probablement une infection des sinus.
Symptômes. Classiquement la sinusite se présente sous la forme d'un écoulement nasal aggravatif associé à une douleur d'un ou de plusieurs sinus augmentée par l'effort et la position penchée en avant. Elle s'accompagne plus ou moins de maux de tête, d'une toux, d'éternuements, d'une perte d'odorat et de fatigue.
Les « crottes de nez » proviennent en fait du mucus nasal. « Le mucus – et plus largement le nez – sert à humidifier et réchauffer en permanence l'air inspiré.
Nouveau en France, le procédé consiste à élargir le canal de drainage des sinus à l'aide d'un cathéter à ballonnet pouvant se gonfler à haute pression, un peu comme dans les artères du cœur pour les déboucher. L'écoulement normal des sinus est alors rétabli. Ce traitement peu invasif ne provoque pas de saignements.
Il est donc conseillé de cracher ce mucus, ces glaires pour en éliminer un maximum. Pendant des années, vous avez avalé des saletés qui se sont accumulées dans votre organisme.
Elle consiste à mélanger un litre d'eau du robinet, deux à trois grosses cuillerées de sel gris (le sel blanc contient des additifs qui peuvent être irritants pour les muqueuses) et une cuillerée à café de bicarbonate de soude.
Les compresses d'eau chaude
La chaleur est un allié incontournable pour déboucher les voies nasales, la vapeur aidant à décongestionner les muqueuses. Allongez-vous, et placez une compresse d'eau chaude sur vos sinus en laissant vos narines libres. Répétez cette expérience autant de fois que necessaire.
Prendre 1 litre d'eau en bouteille, ajouter une cuillère à soupe rase de gros sel (10 g) et une cuillère à café rase de bicarbonate de sodium. Bien mélanger et attendre que le sel soit bien dissout. On verse un peu de sérum dans un verre que l'on aspire avec une seringue pour faire le lavage.
Dans quel cas le médicament PIVALONE est-il prescrit ? Ce médicament d'usage local contient un corticoïde qui possède une activité anti-inflammatoire marquée sur les muqueuses, notamment celles du nez. Il est utilisé dans le traitement des rhinites d'origine allergique ou inflammatoire.
Il n'est pas utile de chercher comment vider les sinus maxillaires, ils se dégageront tout seuls. Utilisez des traitements simples pour soulager les symptômes de votre sinusite maxillaire : Prenez du paracétamol ou un autre médicament anti-inflammatoire (ibuprofène ou aspirine) pour calmer la douleur.
Recette de solution saline (eau salée) pour le nez
Ajouter 10 ml (2 c. à thé rases) de sel et 2,5 ml (½ c. à thé) de bicarbonate de soude à 1 litre (4 tasses) d'eau bouillie refroidie. Conserver cette solution dans un contenant de verre avec un couvercle étanche jusqu'à 7 jours au réfrigérateur.
La recette du sérum phy
Portez à ébullition 1L d'eau, Lorsque l'eau bout, ajoutez 9g de gros sel et maintenez l'ébullition pendant 10 minutes, Transvasez dans un contenant propre et désinfecté, Attendez qu'il ait totalement refroidi avant de l'utiliser.
L'évacuation des glaires est normale et nécessaire pour nettoyer les bronches. Mais une expectoration excessive peut être le signe d'une maladie des voies respiratoires.
Courante en cas d'allergie, la rhinite peut provoquer la sensation de gorge qui gratte et un écoulement nasal dans l'arrière de la gorge, qui va accentuer la toux allergique à l'heure du coucher. Un traitement anti-allergique peut vous être prescrit par un médecin.
Des symptômes tels que mal de gorge, dysphagie (impression de gêne au cours de la déglutition), dysphonie (troubles de la voix), aphte persistant, ganglion cervical, saignement de nez, obstruction nasale, otalgie (douleur de l'oreille)… doivent alerter.