Un hâfiz (en arabe : حافِظ [ḥāfiẓ], gardien ; conservateur, pl. حُفاظ [ḥuffāẓ], variante Hafez, Hafiza au féminin) est une personne qui connaît le Coran par cœur et qui souvent aussi en récite au moins des parties à des occasions précises. On estime le nombre de hâfiz à 10 millions dans le monde.
Approche de chercheurs
Cette idée repose sur les convictions que le Coran n'a qu'un seul auteur, qu'il n'a aucun rédacteur, et qu'il reflète l'expérience d'une communauté ayant existé autour de Muḥammad, à la Mecque et à Médine, entre 610 et 632 ».
Mahomet et les débuts de l'islam.
A en croire l'Etat islamique, qui va jusqu'à brûler des instruments de musique, la réponse est clairement oui : l'islam interdit la musique.
Bien que le mot "musique" ne soit jamais cité dans le Coran, elle est considérée comme impure par les djihadistes ainsi que par certains musulmans ultra-conservateurs.
Quels sont donc ces instruments proscrits et pourquoi? Il s'agit de la lyre, dont le prophète demande la destruction. Sa fonction est alors thérapeutique. Utilisée pour repousser les esprits mauvais qui possèdent les individus, elle aurait un pouvoir sur le monde invisible, d'où l'idée de l'interdire.
Moussa est également le seul des prophètes à avoir entendu directement Dieu lorsqu'il reçoit les tables de la Loi sur la montagne, un apanage qui lui vaut le titre de kalîm Allah — « interlocuteur de Dieu ».
— La pratique musulmane a déterminé quels sont ces beaux noms sous lesquels il faut invoquer Dieu, et elle a admis qu'il y en a quatre-vingt-dix-neuf, complétés par un centième qui est simplement Allah, ou bien, conformément à la tradition juive, le nom ineffable.
Muhammad Abû Hâmid Al-Ghazâlî aussi appelé La preuve de l'islam en reconnaissance de son savoir et sa sagesse, est mieux connu en Occident sous le nom d'Al-Gazal. Il naît et meurt à Tûs dans le Khorâsân (Iran actuel) en 450H/1058EC.
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On présente d'abord la naissance, au VIIe siècle, de l'islam, une nouvelle religion monothéiste qui se développe en Arabie. Son prophète, Mahomet, transmet la parole de Dieu, conservée dans le Coran.
2) la Zakât (aumône légale) ; 3) le pèlerinage à La Mecque ; 4) le jeûne (du mois de Ramadan) ; 5) la prière (qui doit être faite cinq fois par jour).
Allah dans la tradition islamique. L'islam croit en un dieu unique, créateur de toute chose et maître du jour du Jugement Dernier. Le Coran ayant été rédigé en langue arabe, c'est donc naturellement le terme Allah qui est utilisé pour désigner le dieu unique, créateur, omniprésent et omniscient.
Le mazdéisme (de Mazda, Dieu, dans la langue perse) est la religion traditionnelle de l'ancienne Perse. Cette religion est l'un des premiers monothéismes et, pour la première fois dans l'Histoire humaine, promet à tous les hommes l'immortalité de l'âme sous réserve du jugement dernier.
Selon les récits traditionnels, le calife Abū Bakr (r. 632-634) est le premier compilateur du Coran. Sur les conseils d'Umar et craignant la disparition des témoins et mémorisateurs du Coran, il aurait chargé l'un des scribes de Mahomet, Zayd b.
Al-Baqara — Wikipédia.
Nom arabe désignant le Dieu unique, adopté par les musulmans et aussi par les chrétiens arabophones. Le nom d'Allah vient de al-Ilah, qui signifie le Dieu ; dès avant l'islam, il paraît avoir désigné le dieu suprême à La Mecque.
Il est affirmé dans les hadiths qu'Allah a un nom plus grand, et que s'il est supplié par lui, il l'exauce, et s'il est appelé par lui, il répond. Il est l'un des beaux noms de Dieu.
Récit coranique
Maryam bint Imrân (Marie, fille de Joachim) est importante dans l'islam : seule femme nommée du Coran, la sourate 19 porte son nom.
Dans la Bible, voir Dieu est affirmé comme un acte impossible pour des humains ; pourtant, certains attestent qu'ils l'ont vu et Dieu lui-même accepte de se laisser voir.
Dieu a réellement parlé à Moïse » (sourate 4, verset 164). L'évocation de ces nombreuses figures prophétiques dans le Coran ne peut se comprendre sans une mise en relation avec le discours que ce même texte promeut au sujet de Muhammad.
La musique s'est révélée un moyen d'assurer la continuation esthétique de la civilisation musulmane. Et cette musique se nourrit de la dimension orale du Coran, qui est parole de Dieu transmise oralement.
Manger, boire, fumer, avoir des relations sexuelles sont interdits aux musulmans pendant la journée au cours du mois du ramadan qui a commencé vendredi 1er avril. Cette période doit être consacrée à la prière.
(Tite 3:9 – Psaumes 12:3 – Proverbes 10:31 – 1 Pierre 3:10). Beaucoup de musiques séculières (mondaines) vont en ce sens. Des artistes parlent sans honte de dépravation sexuelle, de rébellion à l'autorité, de médisance, etc. Il est donc évident qu'un chrétien ne devrait pas écouter de tels chants.