Cela implique d'utiliser le langage corporel, l'intonation de la voix, et de toucher les sentiments de la personne pour lui montrer l'importance et la valeur du dialogue. Questions Ouvertes et Écoute Active : Poser des questions ouvertes encourage l'autre à s'exprimer davantage et à explorer ses pensées et sentiments.
Le refus d'entendre la parole de l'autre peut avoir plusieurs raisons. Cela peut être dû à une forme d'orgueil, de mépris ou de peur. Certaines personnes peuvent considérer que leur point de vue est le seul valable et refuser de prendre en compte celui des autres.
La solution : Accueillez le silence de l'autre comme une forme d'expression sans chercher à l'interpréter. Et puis laissez faire ! Ne vous braquez-pas de l'attitude de l'autre ! Enfin prenez ce silence imposé pour vous, c'est vrai, comme une occasion de prendre du recul dans une discussion.
Contrairement aux idées reçues, le silence est bien une forme de communication ! Mais comme son sens est très profond et variable, on ne l'interprète pas toujours comme il faut.
En effet, lorsque l'on a l'impression que quelqu'un fuit une discussion, il est assez probable qu'on l'abordera dans un état d'esprit stressé ou négatif… qui va donner l'envie de fuir à votre interlocuteur.
Accueillir une éventuelle souffrance
Il faut trouver un mode d'approche, être capable de recevoir la réaction de l'autre, même négative, et questionner sans être intrusif. Si un taiseux met en place cette attitude, il se place en position de défense. Son comportement devient un signal à prendre en compte.
La perte de parole peut être un symptôme de la dépression, de l'anxiété ou d'autres problèmes de santé mentale chez les personnes âgées. Il est donc important de fournir un accompagnement psychologique et social à la personne en question.
Écoutez ce qu'il a à dire.
C'est important qu'il ait une bonne raison de ne pas vous parler ou qu'il essaye juste de vous contrôler. Donnez-lui l'occasion d'expliquer pourquoi ou comment vous lui avez fait du mal (si c'est le problème).
Il faut donc y aller en douceur et avec empathie. Même si vous avez tendance à être plus volubiles que lui, il faut vraiment laisser cette facette de votre personnalité de côté lorsque vient son tour de s'exprimer. Il ne faut pas, par exemple, terminer ses phrases ou le contredire tout le temps.
Tenez compte des sentiments de votre interlocuteur et choisissez une approche aimable, et non menaçante. Utilisez des mots constructifs, en particulier si vous donnez des conseils ou demandez à quelqu'un de faire un changement. Validez ce que la personne ressent, évitez de l'accabler, et évitez de porter des jugements.
[Mon amour/ surnom tendre donné/ prénom], tu es la seule personne qui peut susciter en moi tant de passions, je donnerais ma vie pour toi, et c'est pourquoi je suis capable d'aller aussi loin dans mes paroles. Nous vivons dans une telle osmose que le moindre désaccord me paraît une montagne et j'en perds mes moyens.
Pour bien se réconcilier, il faut d'abord comprendre le nœud du conflit, prendre le temps de fouiller, de gratter là où ça fait mal, de faire sortir ce qu'on refuse de s'avouer. Rien de tel qu'un bilan à froid pour amorcer une réconciliation efficace.
Aborder l'autre avec bienveillance
La douceur et la bienveillance doivent donc prendre le pas sur la colère. En utilisant des mots doux, tendres non teintés de colère, vous ferez fondre la glace et vous pourrez alors entamer de nouveau la conversation.
Le mutisme est une manière de fuir un conflit lorsqu'on n'est plus en capacité d'exprimer ce qu'on pense ou ce qu'on ressent. C'est peut-être une manière de se protéger dans la relation. Je vous invite à ne pas essayer de communiquer avec lui lorsqu'il n'y est visiblement pas enclin.
Dites-lui que vous accordez une très grande importance à votre relation. Lorsque l'on se dispute avec son partenaire, il est facile d'oublier que l'on s'aime vraiment. Écrivez-lui donc un doux message du genre pour lui rappeler qu'elle est votre priorité. « Je tiens plus à notre couple qu'à n'importe quelle dispute.
De base, la durée du SR tourne autour de 3 à 4 semaines. Il peut être prolongé, mais ne doit pas dépasser les 3 mois. Un laps de temps assez long (mais pas trop) durant lequel votre ex se posera des questions et se demandera ce qui se passe. C'est l'effet psychologique du silence radio.
Entendons-nous bien, garder le silence ne signifie pas rester muet face à une attaque. Garder le silence en revient à s'isoler intérieurement, prendre le temps de la réflexion, et permettre à l'autre soit d'en faire de même soit de s'inquiéter de ce sur quoi vous êtes en train de réfléchir.
On dit souvent que le silence est bruissant de parole. Ce proverbe signifie qu'il n'est pas toujours nécessaire de parler pour s'exprimer.