Comment en sortir ? La seule manière de sortir de ce type de sentiment à ce jour est : d'accepter nos émotions, c'est-à-dire de se donner le droit de vivre de la colère, de la rancune, de la haine, de vouloir se venger, …
Une bonne façon de moins penser à la personne que vous détestez est de passer plus de temps avec les personnes que vous appréciez. Même si vous êtes du genre à détester presque tout le monde, il doit bien y avoir au moins une ou deux personnes dans votre entourage que vous appréciez réellement.
Éliminez le pouvoir que cette personne a sur vous en choisissant de lui pardonner et de passer à autre chose. Faites preuve de compassion envers vous-même. Si vous avez pardonné à cette personne, vous devez aussi vous pardonner à vous-même. Donnez-vous la même politesse que vous donnez aux autres.
Elle provient d'attentes non réalistes envers une personne ou un groupe de personnes qui devraient, selon nous, nous aimer ou montrer leur amour, différemment. Il faut beaucoup d'amour pour haïr. Une personne indifférente ne peut pas haïr. La haine découle donc d'un sentiment de rejet ou d'abandon.
Savoir accepter sa haine pour mieux la gérer
Idéaliser l'amour que l'on a pour l'autre, c'est se voiler la face et penser que les émotions négatives n'ont pas leur place dans la relation. Pourtant, ce sont aussi ces émotions qui nous caractérisent. Il ne faut donc pas craindre la haine qui apparaît parfois en amour.
Une deuxième raison pour laquelle nous blessons celui que nous aimons le plus est que cette personne est là, tout simplement. Son énergie est disponible et nous nous en servons selon nos besoins. En lui prenant son énergie, nous le faisons souffrir. Voler l'énergie à quelqu'un revient à le blesser.
Ne pas aimer n'est pas haïr : la haine n'est pas le contraire de l'amour, mais quand elle s'amorce, entre en jeu, se déclare à cœur ouvert ou agit en sourdine, entre deux personnes unies par un lien amoureux, elle transforme ce lien en son contraire, c'est-à-dire en inimitié.
L'important est de ne surtout pas dramatiser ou théâtraliser l'événement qui a conduit au traumatisme. Il fut montrer ses sentiments, ses peurs et faire comprendre à son enfant que la souffrance est normale. Seul cette attitude peut l'aider à se reconstruire.
sympathie. bonne disposition envers quelque chose (un film, un livre, une idée...)
L'ennui et le sentiment de passer à côté de sa vie sont des signes forts d'une haine de soi que l'on ne reconnaît pas. Pour s'accommoder de ses frustrations, on s'est habitué à croire que dans la vie on ne fait pas toujours ce que l'on veut.
Faites l'effort de découvrir quelle est sa réelle personnalité. Trouvez des choses que vous avez en commun et partez de là. Montrez-vous respectueux. Posez les questions de base lorsque la personne vous rend visite, à l'image de « As-tu faim ? » « Voudrais-tu boire quelque chose ? » ou « As-tu froid ? »
La haine est un sentiment personnel de détestation, d'hostilité ou d'exécration très forte à l'égard de quelque chose ou de quelqu'un. Elle peut conduire à des comportements ou des actes malveillants, voire à commettre des assassinats.
Un sentiment de haine de soi peut également être le résultat d'un problème de santé mentale comme la dépression ou l'anxiété. La dépression, par exemple, peut provoquer des symptômes tels que le désespoir, la culpabilité et la honte, qui peuvent vous donner l'impression que vous n'êtes pas assez bien.
Après l'amour, pourquoi tant de haine ? Les blessés de l'amour souffrent d'un mal lié à leur objet d'amour. Sans l'objet, ils se sentent seuls abandonnés (hilflosigkeit), délaissés voire désespérés ou plus simplement déprimés. Le sujet est ainsi en crise, dans une blessure du souvenir, de la mémoire.
Qui sème la haine récolte la violence, la vengeance, la mort. . ."
La haine dans le couple se développe souvent sur base de blessures préexistantes de rejet, d'abandon. A chacun de les prendre en charge.
On peut aimer et haïr la même personne ? Bien sûr ! Éprouver en même temps et pour une même personne des sentiments opposés, c'est ce qu'on appelle l'ambivalence.
Certains humains manifestent du mépris envers cet autre, inconnu ou différent. Ils le dévaluent, discriminent, négligent, voire haïssent. Le sujet stigmatisé peut alors s'identifier à celui qui le rejette en attaquant son moi. C'est la haine de soi.
Se sentir en permanence en colère peut également être le signe d'un mal être que l'on ne reconnait pas ou que l'on ne veut pas reconnaitre. Comme il faut bien que cela s'exprime à un moment, cela passe par une émotion vive et forte.
Il existe des méthodes simples pour se calmer lorsque l'on est énervé, parmi lesquelles vous pourrez piocher si besoin : sortez de chez vous et allez faire un tour, faites du sport, du yoga, défoulez-vous et réfugiez-vous dans l'effort et la résilience afin d'évacuer votre colère.
Concentrez-vous sur des images qui vous détendent pendant que vous respirez, par exemple une plage ou un lieu de votre enfance que vous aimiez. Visualisez les émotions négatives qui s'éloignent à chaque expiration. Lorsque quelqu'un vous fait du mal, il peut être difficile de l'oublier.
La compassion, un des sentiments qui ressemble à de l'amour. La compassion est un autre de ces sentiments qui ressemblent à de l'amour sans en être. Elle se définit comme la capacité à s'identifier à la douleur d'autrui, à la comprendre et même à la ressentir.
"Je ne sais où va mon chemin mais je marche mieux quand ma main serre la tienne." "Je t'aime parce que tout l'univers a conspiré à me faire arriver jusqu'à toi". "Il n'y a rien de plus précieux en ce monde que le sentiment d'exister pour quelqu'un." "Il n'y a qu'un bonheur dans la vie, c'est d'aimer et d'être aimé."