Nous savons ainsi aujourd'hui que la température doit être en permanence maintenue entre 34°C et 35°C, et l'humidité relative entre 50 et 70%.
La chaleur monte et un simple couvre-cadres en bois n'est pas suffisant comme isolant. Placez sous le toit de la ruche une grosse plaque de Styrodur de la taille du couvre cadres. Le styrodur est un matériau isolant utilisé dans la construction pour isoler les murs des maisons.
Soit en plaçant la ruche près d'un point d'eau naturel : étang, lac, rivière... Les abeilles pourront s'y abreuver et y récupérer de l'eau pour ventiler la ruche. Soit en plaçant un récipient rempli d'eau à côté de la ruche, dont l'accès peut être facilité en ajoutant quelques brindilles.
D'après des chercheurs, lorsque les températures sont trop élevées, les abeilles se donnent la mort en expulsant spontanément leur abdomen.
Beaucoup présument que les abeilles ne souffrent pas. Pourtant, toutes les preuves dont nous disposons indiquent qu'au même titre que d'autres invertébrés disposant d'un système nerveux central, elles sont capables de ressentir le plaisir et la douleur.
Les abeilles ne trouvent pas de quoi se nourrir, les végétaux sont brûlés par la sécheresse et la chaleur. Les abeilles ont besoin d'eau pour survivre et elles ont également besoin de nectar produit par les fleurs pour se nourrir, lequel se fait rare en période de canicule.
- en régions tempérées, à l'automne, avec la plaque d'hivernage, - ou au 15 janvier (indication pour la Franche-Comté, région de l'Est de la France) avec le tiroir pour plateau de récolte (percé de 5 trous Ø 3,5 mm). La plaque ou le tiroir devront être retirés à la pause de la deuxième hausse à miel.
Au printemps, la ruche reprend son essor.
Les abeilles sortent de la ruche quand la température extérieure atteint 11 à 12 °C. Elles recommencent à butiner dès les premières floraisons. La reine reprend ses pontes : peu à peu, de jeunes générations d'abeilles remplacent celles de l'hiver.
Dix fois plus isolant que le bois, le polyuréthane permet de maintenir les ruches à une température constante. Il améliore ainsi la rentabilité de ces dernières.
Protéger la ruche contre le froid : pour la ruche comme pour la maison ou l'humain, le gros de déperdition de chaleur se fait par le haut. Il est recommandé d'installer un isolant thermique sous le toit de la ruche. Protéger la ruche contre le vent : le toit de la ruche doit être bien fixé et étanche.
À l'avant, un panneau gaufré(copeaux de bois pressés)est ajouté afin de protéger la ruche de l'ardeur des prédateurs (moufette et raton laveur) Page 4 Il est préférable d'isoler avec les copeaux de bois plutôt que de la laine isolante en fibre de verre. Les copeaux de bois absorbent mieux l'excès d'humidité.
isoler de l'humidité extérieure
Pour éviter l'entrée de l'humidité extérieure, la première chose à faire est de surélever la ruche d'environ 30-40cm. En effet, il y a un "microclimat" les premiers décimètres du sol. L'air est plus humide et il fait souvent plus froid la nuit et plus chaud la journée.
Même si on voit désormais des ruches sur les toits, mieux vaut les protéger en leur permettant d'être à l'ombre. N'oublions pas que la température de fusion de la cire d'abeille est entre 62 et 65 ° ! Or, en plein été, un toit en bitume peut atteindre entre 60 et 88° et un toit recouvert de gravier entre 50 et 60°.
Absence de nectar et de pollen dans les cadres. Le couvain n'est plus entouré par la couronne pollen-miel. Ils sont « secs » et légers. Les cadres de rive sont vides.
Réduire les entrées
En été et au printemps, les entrées doivent être béantes pour faciliter les allés et retours des abeilles. Cependant, cela doit être le contraire en automne où l'on prépare l'arrivée de la saison froide. Il est donc nécessaire de réduire les entrées de la ruche.
Du 15 juillet au 30 août, c'est le moment le plus difficile à traverser pour les abeilles des apiculteurs de loisir car c'est là qu'hélas se prépare leur mortalité hivernale. En effet, le fléchissement des rentrées alimentaires va provoquer une baisse tout comme à l'opposé, un surcroît des réserves.
C'est pour cela que l'apiculteur procède au printemps ou en début d'automne au nourrissement de la ruche. Pour renforcer les réserves, l'apiculteur nourrit les abeilles en utilisant un sirop à forte concentration en sucre, ou des plaques de Candi durant l'hiver.
Le nourrissement stimulant est à faire un mois et demi avant la « date-cible » choisie – rappel : il faut 42 jours pour faire une butineuse – et se fait par apport successifs et réguliers d'un sirop léger (50/50) tous les 3 à 4 jours en faible quantité (environ 0.5 l) pendant deux à trois semaines.
L'opération doit se faire par beau temps, en début d'après-midi avec des températures d'au moins 17°c. Les meilleures conditions sont souvent réunies fin avril / début mai, pendant les grandes miellées de printemps.
Afin d'éviter ces indésirables, il faut installer des pièges à la période d'éclosion des fondatrices, au printemps. Cette période s'étendra de février à mai selon les régions.
Lorsque le dard est retenu, l'abeille ne peut se libérer qu'en se séparant de tout son appareil venimeux. Ainsi éviscérée, elle mourra quelques heures après. L'individu se sacrifie alors pour protéger la colonie.
A mon avis beaucoup d'abeilles inactives sur la planche d'envol signifie qu'il va y avoir un essaimage. Regardes bien tu dois trouver une CR peut être bien cachée surtout s'il y a beaucoup d'abeilles sur les cadres et sous les cadres quand tu les sort. L'activité de cette ruche a dû diminuer ces derniers jours.
pour éviter d'être attaqué Les apiculteurs passent la plupart de leur temps avec les abeilles, ils ne sont donc pas à l'abri des piqûres. Les abeilles ne sont pas des insectes agressifs mais si elles se sentent menacées, utiliser leur dard est leur meilleur moyen de défense.