« Ce sont les vacances » est une construction grammaticalement correcte, mais celle-ci a laissé place à « c'est les vacances » au gré de l'évolution de la langue française.
- On écrit "c'est" devant un nom singulier, et "ce sont" devant un nom pluriel.
La réponse simple
La forme « ce sont » est composée du pronom démonstratif ce suivi du verbe être conjugué à la 3e personne du pluriel à l'indicatif présent : Ce sont mes enfants. « se sont » est suivi du participe passé du verbe à la forme pronominale : Elles se sont inscrites à la médiathèque.
Le nombre (singulier/pluriel) de l'attribut n'importe pas. Dans le premier cas, « les vacances » est « complément du présentatif » ; et « c'est » équivaut à « ceci est ». Dans le second cas, « les vacances » est « attribut du sujet neutre » ; et « c'est » équivaut à « il est », « il y a ».
Quand écrit-on « est-ce que » ? On écrit « est-ce que » pour poser une question. La phrase se termine par un point d'interrogation. L'expression « est-ce que » relève du langage familier et est donc à employer plutôt à l'oral.
Vous avez le choix. Soit vous dites : « Est-ce que le repas est prêt ? », soit vous dites : « Le repas est-il prêt ? », mais n'associez pas les deux tournures, « est-ce que » + inversion du sujet.
Quelle (ou quelles au pluriel) est l'adjectif interrogatif ou exclamatif. Il s'accorde avec le nom qu'il accompagne (quel, quelle, quels, quelles). Par contre, on écrit qu'elle (ou qu'elles au pluriel) quand il s'agit de la conjonction que + le pronom sujet elle(s) PRONOMS SUJETS.
- « c'est » remplace « cela est, ceci est ». Il s'utilise lorsqu'on annonce ou présente quelque chose. Exemple : C'est bien dommage. (Cela est bien dommage.)
« C'est » + adjectif masculin ou c'est + adverbe.
Vous devez accorder c'est, quand il est suivi d'un nom ou d'un pronom au pluriel : Ce sont Paul et Marie. Ce sont eux. quand le verbe est suivi de nous ou vous : C'est nous qui avons raison.
Tout d'abord, le mot vacance signifie ce qui est vacant ou disponible. Ce mot a été formé au XIIIe siècle et est un dérivé du verbe latin vacare, qui a comme sens « qui est vide, inoccupé ». À cette époque, on parlait alors de vacance quand il n'y avait plus de roi en poste pour occuper ses fonctions.
C'est : Cette expression est formée de c' un pronom démonstratif et du verbe être à la troisième personne du singulier est. S'est : Cette expression se forme de s', la forme contractée de se, le pronom personnel réfléchi et de est, troisième personne du singulier du verbe être.
Accorder un verbe (sous forme de participe passé ou non) avec le sujet, est obligatoire quelle que soit la place du sujet, bien sûr ! Comment s'est passée ta journée ? Elle s'est bien passée !
Les verbes pronominaux se conjuguant avec l'auxiliaire « être », leur participe passé s'accorde le plus souvent avec le sujet : Elle s'est évanouie. Ils se sont enfuis.
Ses est un adjectif possessif ADJECTIFS POSSESSIFS, qui marque l'appartenance. Il aime ses chiens. Ces est un adjectif démonstratif ADJECTIFS DEMONSTRATIFS, qui sert à designer quelqu'un ou quelque chose. Tu as vu ces gens ?
On écrit « s'est » devant un verbe. Lorsqu'il est possible de le remplacer par « cela », on écrit alors « c'est ». Il est employé pour désigner quelque chose.
On écrit « c'est moi qui fais » et non pas « c'est moi qui fait » « C'est moi qui fais » ou « c'est moi qui fait » ? On écrit « c'est moi qui fais » avec un « s » à la fin du verbe et non pas « t » puisque celui-ci s'accorde avec l'antécédent du pronom relatif « qui ».
Ces expressions, construites avec le pronom 'ce' (ou de son abrégé c') et le verbe être, sont dites impersonnelles. Le pronom 'ce' est le sujet apparent du verbe être, mais le sujet réel est un mot ou bien un groupe de mots situé après le verbe.
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
« il » 'et « ce » sont les sujets apparents. . La proposition qui suit est sujet réel. « Il » est un pronom impersonnel. « ce » semble* remplir la même fonction ici.
II Décrire avec il est ou elle est. Quand on veut décrire une personne, un animal ou une chose, on emploie il est ou elle est. On doit employer il est avec un nom masculin singulier. On doit employer elle est avec un nom féminin singulier.
Rien n'est moins sûr... On l'a tous appris à l'école: le mot le plus long de la langue française qui arbore fièrement ses 25 lettres est «anticonstitutionnellement». Avec un préfixe, un suffixe et des consonnes doublées, il faut dire ce que mot devenu célèbre en raison de sa taille a une belle allure de champion.
Quelle(s) est un adjectif interrogatif ou exclamatif, au féminin QUEL ADJECTIF. Quelles sont les nouvelles ? Quelle belle barbe ! Qu'elle(s), c'est que + elle(s).
On l'emploie quand on écrit tu es le bienvenu , tu es sûre ? , tu n'es pas obligé , est-ce que tu es disponible ? Quand on inverse l'ordre du sujet et du verbe dans une question, le verbe garde la même orthographe. On ajoute seulement un trait d'union entre les deux mots : on écrit es-tu .
Est-ce que est est une particule invariable que l'on utilise pour poser une question sans commencer par le verbe.