L'obéissance se développe en même temps que la capacité de l'enfant à réaliser des choses. Il prend du plaisir dans ce que vous lui demandez de faire. Il sera donc plus enclin à vous obéir. Si vous lui demandez : « Peux-tu ranger ce jouet dans ta chambre s'il te plaît ? », et qu'il s'exécute, félicitez-le.
La punition, ça commence à quel âge ? La punition doit être proportionnelle à l'âge et à la gravité de la bêtise de l'enfant. Quand il s'agit d'un bébé, il faut être ferme et expliquer ! À cet âge, il n'y a pas de punition.
Expliquez votre décision. Dites, par exemple : « Non, on ne peut pas aller au parc parce que c'est l'heure du souper et qu'ensuite il va être trop tard. » Votre enfant acceptera mieux votre refus s'il le comprend. Trouvez avec votre enfant une autre solution ou offrez-lui un choix pour l'aider à accepter un refus.
Lorsque l'enfant se dispose à réaliser quelque chose qui est interdit, par exemple prendre un objet avec lequel il ne doit pas jouer, vous devez vous rapprocher, vous mettre à son niveau, le regarder dans les yeux et sans vous énerver lui dire fermement « non ».
Avant l'âge de 2 ans, un enfant n'est pas capable de comprendre ce qu'est une punition. Il comprend qu'il se passe quelque chose, mais ne peut pas faire le lien entre l'action et sa conséquence. Il est donc inutile de gronder ou de réprimander un bébé. De 12 à 36 mois, l'enfant se développe.
À 11 mois, bébé est tout à fait à même de comprendre un certain nombre de choses, et en particulier les instructions (comme un NON ou un STOP).
Laisser l'enfant choisir certaines choses lui permet de se sentir concerné par les décisions de la famille. Mais attention tout de même à lui proposer un éventail de choix "fermé". Par exemple, au moment du choix du dessert, au lieu de lui demander ce qu'il désire, vous pouvez lui dire "Un yaourt ou un fruit ?".
Cela se produit souvent entre 18 mois et 2 ans. Pour aider votre enfant à développer son langage, soyez à l'écoute de ses signaux de communication et répétez ce qu'il dit correctement en ajoutant des mots.
Modifiez le dialogue dans votre tête. Par exemple, au lieu de penser : « Je ne suis plus capable! », dites-vous plutôt : « Je vais me calmer avant de réagir. » Comptez jusqu'à 10, respirez profondément ou buvez un verre d'eau. Rappelez-vous un moment de bonheur ou de tendresse vécu avec votre enfant.
Comment savoir si mon bébé développe un lien d'attachement sécurisant? Pour le parent, les premiers signes d'attachement sont extrêmement gratifiants : À 4 semaines, votre bébé réagira à votre sourire, par exemple par une expression du visage ou un mouvement. À 3 mois, il vous sourira en retour.
Pour désamorcer une crise, tentez de changer de sujet ou de lui proposer des solutions. Si c'est un jouet qui ne fait pas ce qu'il veut, par exemple, montrez-lui comment l'utiliser adéquatement. Si c'est plutôt à cause d'une de vos décisions qui ne l'arrangent pas, changez-lui les idées.
La fessée et les autres punitions corporelles, comme secouer, gifler, taper ou pincer, ont des effets négatifs sur le développement psychologique et social d'un enfant. Pour bien se développer, l'enfant a besoin de vivre un sentiment de sécurité physique et psychologique.
A partir de quel âge un enfant peut être capricieux ? On situe cet âge critique aux environs des 18 mois. Avant cet âge, un bébé pleure uniquement par besoin ; il peut avoir faim, froid ou avoir besoin d'être rassuré ou changé, par exemple. On ne parle de caprices qu'aux alentours des 2 ans.
Il vous faut surtout comprendre pourquoi ces colères. Vous dites quand on ne fait pas ce qu'elle veut. Il vous faut donc évaluer si ce qu'elle veut est légitime. Jouer avec quelque chose de fragile, ne pas vous tenir la main dans la rue, prendre un jouet sur un étalage, refuser d'aller au lit quand c'est le moment etc.
Il améliorera en s'amusant sa capacité à les attraper et les tenir avec le pouce et l'index. Faites-lui la « conversation ». Votre bébé de 13 mois ne parle probablement pas encore beaucoup, mais cela ne veut pas dire que vous ne pouvez pas avoir de « conversations » avec lui pour l'aider à apprendre à parler.
Il ne faut pas crier mais se faire comprendre. Il est essentiel de se mettre à la hauteur de l'enfant pour lui parler et de capter son regard même si cela implique de lui tenir le visage. Chez les plus jeunes, il ne faut pas uniquement punir. L'apprentissage des règles passe surtout par des explications.
Vers 7-8 mois, l'enfant va imiter un geste qui est fait devant lui "coucou" ou "bravo".
Avant de réussir à parler, un enfant développe d'abord sa compréhension du langage. Ainsi, il peut souvent comprendre certains mots ou certaines phrases, même s'il ne les dit pas. Par exemple, lorsqu'un bébé dit seulement « maman » et « papa », il comprend sûrement plusieurs autres mots, comme lait, dodo et bye-bye.
L'enfant dit généralement ses premiers mots entre 12 et 16 mois.
Votre bébé reconnait son prénom à partir du 3e mois (si vous avez l'habitude de l'appeler par son prénom plus que par un doux nom), mais il ne le prononce que plus tard … entre 2 et 3 ans, avec un “diminutif” si le prénom est dur à prononcer : Elisabeth et plus complexe à prononcer que Léa par exemple.