Ils peuvent se traduire par de l'agitation, de l'agressivité, des troubles obsessionnels compulsifs (TOC), des désordres alimentaires (anorexie, boulimie…), de l'hyperactivité, de l'addiction (alcool, tabac, autres drogues, jeu, travail, sexe, écrans…) ou des phobies ».
La thérapie comportementale – sous la forme de la formation en gestion parentale ou d'une thérapie individuelle ou familiale – peut être un moyen très efficace de gérer les troubles du comportement. La pharmacothérapie peut contribuer à traiter les troubles sous-jacents ou concomitants.
Schizophrénie. La schizophrénie touche environ 24 millions de personnes – soit une sur 300 – dans le monde (1). Les personnes qui en sont atteintes ont une espérance de vie de 10 à 20 ans inférieure à celle de la population générale (4).
Accompagnez le malade dans ses rendez-vous, engagez-vous sur le long terme pour l'aider au mieux. Attention, si vous ne parlez que de sa maladie avec votre proche, il risque de vous repousser. N'hésitez pas à lui parler d'autre chose ou à lui faire faire des activités qui sortent de son quotidien.
La dépression, les addictions et les troubles liés à la consommation de drogues ou d'alcool, l'anxiété et les phobies, les troubles de comportement alimentaires, les troubles schizophréniques, bipolaires ou borderlines sont des exemples de troubles psychique.
Les comportements difficiles peuvent inclure l'emploi d'un mauvais langage, les comportements agressifs ou violents, les dommages aux biens, le mensonge, le vol et le refus de coopérer aux tâches quotidiennes (comme s'habiller le matin, faire ses devoirs ou aller au lit le soir venu).
Les comportements sont de différents types : publics, privés, innés, acquis, associatifs.
Le trouble schizo-affectif se caractérise par la présence de symptômes liés à l'humeur, tels qu'une dépression. La dépression consiste en un sentiment de tristesse et/ou une perte d'intérêt ou de plaisir pour les activités habituelles ; elle devient... en apprendre davantage ou une manie.
sentiment de bonheur et de plaisir très intense ou, au contraire, d'irritabilité excessive; hyperactivité, agitation et énergie débordantes; estime de soi démesurée ou idées de grandeur.
Bien souvent, les solutions proposées sont la prescription de psychotropes sur le long terme sans réévaluation, la mise en sécurité en hôpital psychiatrique, le retour au domicile des parents, la contention physique momentanée ou prolongée...
Elle correspond à un ensemble de symptômes cliniques caractéristiques d'ordre psychologique, comportemental ou relationnel. A l'heure actuelle, le terme de maladie tend à être remplacé par celui de « trouble ».
Le trouble émotionnel est une maladie qui présente au moins une des caractéristiques suivantes sur une longue période et dans une mesure marquée qui nuit au rendement scolaire d'un enfant : 1) une incapacité d'apprendre qui ne peut être expliquée par des facteurs intellectuels, sensoriels ou de santé ; 2) une ...
Le trouble explosif intermittent (TEI) est un trouble comportemental caractérisé par des expressions extrêmes de colère, souvent au point de violence, disproportionnées par rapport à la situation qui survient (voir aussi à la définition de Seb Bouyer).
L'aidant propose, tente, essaye et voit son action se heurter au refus de la personne aidée. La relation aidant/aidé est une relation duelle où chacun est ancré dans son propre positionnement. La relation nécessite ce positionnement, réciproque, consenti, où, idéalement, l'un donne et l'autre reçoit à tour de rôle.
Les symptômes les plus fréquents sont : Modifications dans les perceptions : hallucinations auditives et visuelles ; Modifications dans la pensée et les croyances : délire, propos incohérents ; Modifications du comportement : désorganisation, bizarrerie.
La logorrhée est un symptôme souvent présent dans les maladies psychiatriques et neurologiques chroniques. La personne ne se rend pas compte de son trouble, c'est pourquoi il est important de lui expliquer régulièrement ce qui lui arrive pour essayer de contenir son flux verbal.
Les troubles psychotiques affectent le fonctionnement du cerveau en modifiant les pensées, les croyances ou les perceptions. Une personne présentant un trouble psychotique peut, par exemple, être convaincue d'être épiée ou suivie, entendre des voix ou avoir l'impression que d'autres personnes manipulent ses pensées.