À l'époque de la conquête de la Gaule, l'actuelle Bretagne portait le nom d'
La Bretagne est une région administrative française composée des départements des Côtes-d'Armor, du Finistère, d'Ille-et-Vilaine et du Morbihan. Sa préfecture et sa plus grande ville est Rennes.
À l'époque romaine, le mot « Bretagne » désignait la grande île qu'on appelle aujourd'hui la Grande-Bretagne. À la fin du Ve siècle siècle, des tribus quittent cette île pour s'installer dans la Bretagne actuelle, et lui donnent le même nom que leur île. Ils y renforcent les coutumes et la langue celtique (le breton).
Vous savez certainement que Bretagne en breton se dit “breizh”.
En effet, tour à tour, Troyens, Romains, Gaulois et Celtes, Phéniciens, ont été désignés comme les lointains ancêtres des Bretons. Au xviiie siècle, nombre de lettrés et d'antiquaires, gagnés par une celtomanie mystificatrice, attribuèrent aux Gaulois/Celtes dolmens et menhirs et toutes les antiquités pré-romaines.
Les premiers Bretons d'Armorique[modifier | modifier le wikicode] Les Bretons étaient un peuple celte qui habitait en Grande-Bretagne actuelle. Eux aussi avaient été envahis par les Romains mais, à l'inverse des Gaulois, ils avaient gardé leur langue. À partir du Ve siècle, leurs terres sont envahies par les Saxons.
À l'époque de la conquête de la Gaule, l'actuelle Bretagne portait le nom d'Armorique : en latin Aremorica ou Armorica. Ses habitants étaient les Armoricains. Ce nom gaulois désigne le peuple qui vit près (are) de la mer (mor).
« Je t'aime » se dit « Da garan » en breton.
Da garout a ran ! Da garan ! Me zo sod ganit ! (expression privilégiée spontanément par les bretonnants)
Mais il est vrai que l'on ne remercie pas pour tout et rien, en témoigne la signification de la principale traduction français breton de « merci » en breton : Trugarez.
Dire bonjour en breton
En allant souvent à l'essentiel : mont a ra ? / mat ar jeu ? / mat an traoù ? / mat ac'h a ? / penaos emañ ?…
La Grande-Bretagne (en anglais : Great Britain), officiellement appelé le Royaume-Uni de Grande-Bretagne (United Kingdom of Great Britain), est un ancien État souverain situé sur l'île de Grande-Bretagne, en Europe du Nord, qui a existé du 1er mai 1707 au 31 décembre 1800.
La Loire-Atlantique a été séparée administrativement de la région Bretagne par un décret signé le 30 juin 1941 par le Maréchal Pétain... lequel aurait pourtant préféré une Bretagne historique à cinq départements.
Ne croyez pas que Vikings, Celtes et Bretons soient des entités différentes. Bien au contraire, ils ont une origine commune qui est d'ailleurs inscrite profondément dans le patrimoine et la géographie de la France actuelle. : Indo-Aryenne, elle-même fille d'une branche plus lointaine.
En anglais, le terme Britain est couramment employé pour parler de la « grande Bretagne », alors que Brittany désigne la Bretagne continentale.
Le Finistère arrive en tête, ce que le site justifie très scientifiquement : "Parce que Brest, les falaises, Morlaix, les monts d'Arrée, le kouign-amann, les Bretons, la Bretagne. Best département ever".
Le Triskell est un symbole celtique à trois branches.
"Papa" se dit tadig. C'est le mot affectueux pour "père", ou tad. "Bonne fête des pères" en breton s'écrit gouel laouen tad.
En Breton, le mot pour dire « oui » est « ya ». C'est l'équivalent du « oui » en français.
heizez — Wiktionnaire, le dictionnaire libre.
BRAV(IG) /& -K (parf. iron.), anc. jolif (nf.) (cf.
KOANTENN & bih. -IG b. -ed jolie fille.
BRAVO (excl.) BRAV ! (& n.)
Pendant 700 ans, Nantes fait donc partie de ce territoire breton. Plus grande ville du duché, elle n'en est pas la capitale car les ducs se déplacent et les instances du pouvoir se dispersent au gré de cette itinérance.
Plus on zoome, plus on s'approche des communes : à Saint-Renan (Finistère), on trouve la chanteuse Nolwenn Leroy, à Lorient (Morbihan), l'homme politique Jean-Yves Le Drian, le navigateur Jacques Cartier à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), le cycliste Bernard Hinault à Yffiniac (Côtes-d'Armor).
Le nom de Bretagne commence à apparaître dans la seconde moitié du V e siècle. Le christianisme, bien que déjà apparu au III e siècle, se renforce durant la période d'émigration.