Le nahash, de l'hébreu נָחָשׁ (nāḥāš), est un terme hébreu qui désigne un serpent dans la Bible. Nahash est notamment le terme utilisé pour désigner le serpent de la Genèse, qui entraîne la chute d'Adam et Ève.
Dans le livre de la Genèse, Dieu place Adam et Ève dans un jardin merveilleux, l'Éden. Il leur permet de manger de tous les fruits, sauf un. Mais un serpent leur fait croire que s'ils goûtent ce fruit, ils seront puissants et n'auront plus besoin de Dieu ! Ève goûte et fait goûter Adam.
De l'Egypte ancienne aux civilisations amérindiennes, de la Chine ancienne à l'Europe méditerranéenne, le serpent est une divinité, un symbole de fertilité, de renaissance, de désir ou de sexualité.
Tout d'abord, c'est Dieu lui-même qui ordonne à Moïse de fabriquer un serpent d'airain. En second lieu, ce serpent d'airain a un rôle thérapeutique. Il est destiné à guérir les Israélites mordus par les serpents «brûlants».
3 :1 Le serpent était le plus rusé ('arum) de tous les animaux des champs, que l'Éternel Dieu avait faits. Il dit à la femme : Dieu a-t-il réellement dit : Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ? 2 La femme répondit au serpent : Nous mangeons du fruit des arbres du jardin.
Dans la Bible, le serpent est associé à la divinité Yahweh et à la magie. Dans Exode 4.1-5, le nāḥāš est le signe de la puissance de Yahweh. La transformation magique du bâton en serpent est le signe que Yahweh s'est révélé à Moïse.
Ainsi, selon les interprétations, le fruit défendu serait une pomme, une poire, une figue ou une grenade (principalement en Arménie). La référence fréquente à la pomme pourrait être due au fait qu'en latin, pomum signifie « fruit », le terme propre pour désigner les pommes étant malum, mala.
Pour punir les Hébreux de leur faute, Dieu leur a envoyé des serpents à la morsure brûlante ! Mais après la confession de leur faute et l'intercession de Moïse, ce dernier a façonné un serpent de bronze et l'a fixé sur un étendard. Ceux qui se tournaient vers lui étaient guéris.
Istanbul revendique posséder plusieurs reliques de Moïse : la salle des reliques (Has Oda) du palais de Topkapı abriterait des Reliques Sacrées, dont le bâton de Moïse.
Nous en avons un bon exemple avec l'histoire des « serpents brûlants », des serpents venimeux qui s'en prenaient aux Israélites quand ils étaient dans le désert. Tu as probablement déjà entendu cette histoire.
L'imaginaire populaire, surtout à partir du Moyen Âge, a rendu familière la représentation du diable sous forme de bouc, célébré lors des réunions de sorcières, mais le démon connaît également d'autres représentations thériomorphes, telles que la vipère ou encore les volatiles nocturnes comme le hibou ou la chouette.
La symbolique du mal la retrouve comme une constellation expressive, équivoque mise à l'épreuve du sens et de la valeur d'une existence malmenée. Elle reconnaît la dimension sociale, culturelle, éthique et métaphysique du « vivre la maladie » et du soin.
Le caducée d'Esculape
Le serpent est symbole du savoir : le serpent, en s'insinuant dans les fissures de la Terre, était sensé connaître tous les secrets, les vertus des plantes médicinales, les mystères de la mort. On raconte qu'Esculape avait vu venir à lui un serpent, la gueule menaçante.
Ève (aidée d'un serpent), tente Adam et lui fait commettre l'irréparable: croquer dans le fruit, une pomme. Dieu, constatant le péché et furieux. Il décide donc de les chasser du Paradis et de les mettre sur terre pour qu'ils deviennent mortels.
Ève succomba à la tentation du serpent. Elle mangea le fruit défendu et s'assura qu'Adam en fasse autant. « Et ensuite, dit la Genèse, leurs yeux se sont ouverts et ils se sont vus nus » (Genèse 3: 7). Pour cette transgression, ils furent expulsés du paradis.
Est-elle visible chez la femme et chez l'homme ? Contrairement aux idées reçues, les femmes ont bel et bien une pomme d'Adam. "Elle est plus petite chez les femmes que chez les hommes, et surtout le cartilage est plus ouvert, donc nous voyons moins la protubérance", souligne le Dr Mailly.
Menus brins de bouleau, d'osier, de genêt, etc. avec lesquels on fouette. J'ai reçu des Juifs, cinq différentes fois, trente-neuf coups de fouet ; j'ai été battu de verges par trois fois , Sacy, Bible, St Paul, 2e épît.
Définition de sceptre
Moïse nous incite à prier avec la même ardeur que Jésus, à intercéder pour le monde, à nous souvenir que celui-ci, malgré toutes ses fragilités, appartient toujours à Dieu. Tous nous appartenons à Dieu.
L'orvet (Anguis fragilis) fait partie des reptiles mais ce n'est pas un serpent avec lequel on craint toujours de le confondre. En réalité, il s'agit d'un lézard sans pattes : comme lui, sa queue peut se casser pour servir de leurre à un prédateur qui l'attaquerait !
Sorti d'Egypte, le peuple d'Israël a erré quarante ans dans le désert, parce qu'il avait douté de Dieu au seuil de l'entrée en Terre promise. Ce temps d'épreuve passé, la génération incrédule a disparu, et les Israélites sont prêts à prendre possession du pays tant convoité.
Le jardin d'Éden, réputé proche des sources du Tigre et de l'Euphrate, devrait se situer selon des narrateurs originels établis dans la terre de Canaan (selon la tradition juive, Adam et Ève sont enterrés dans la caverne de Makhpela, à Hébron) dans les monts Taurus, en Anatolie.
Le péché originel est une doctrine de la théologie chrétienne qui décrit l'état dégradé de l'humanité depuis la Chute, c'est-à-dire la désobéissance d'Adam et Ève, premiers êtres humains créés par Dieu : dans le Livre de la Genèse, ils mangent le fruit défendu de l'arbre de la connaissance du bien et du mal.
L'arbre de la connaissance est une histoire biblique. Dieu ayant créé le jardin d'Éden interdit à Adam et Ève de manger des fruits de l'arbre de la connaissance. Le fait qu'Ève puis Adam mangent le fruit défendu de l'arbre de la connaissance du bien et du mal est appelé « péché ».
C'est l'hippotame.