Constituer ou rejoindre une association qui se chargera de défendre l'intérêt de l'édifice, de mobiliser l'opinion et les donateurs pour sa restauration, et de pourvoir, si besoin, à sa valorisation, une fois la restauration accomplie.
L'État et ses établissements publics financent dans ce cadre à 100 % les travaux d'entretien, de réparation et de restauration ».
Les communes propriétaires sont tenues d'entretenir et de rénover l'extérieur de leurs églises. Cala concerne donc des travaux de gros œuvre, pour préserver la structure de l'édifice : les murs, la toiture, la charpente ou encore les sols. D'importantes rénovations qui s'élèvent souvent à plusieurs millions d'euros.
Sauvegarde du patrimoine cultuel non protégé : Taux de subvention : 25 % du coût des travaux HT. Subvention plafonnée à 20 000 € par commune et par Programme d'Aide au Développement des Communes.
Une église comporte différentes parties qui ont des utilisations particulières : La salle principale est la nef. Dans les églises importantes il y a deux bas-côtés (ou collatéraux) de part et d'autre de la nef (qui alors forme le vaisseau central).
Le chœur est la partie de l'église réservée au clergé, quelquefois appelée chœur liturgique ou chœur des chantres pour la distinguer du chœur architectural qui comprend l'ensemble de la nef située autour du chœur liturgique (collatéral du chœur).
Le rôle décisif de l'Église est ainsi celui d'annoncer sa relation unique au Christ et (pour cela même) la réconciliation du monde (vécue emblématiquement en son sein).
Ces édifices appartiennent au domaine public de la commune. Cette domanialité publique est liée à l'affectation de ces églises à l'usage du public.
La commune peut prendre en charge les dépenses de chauffage de l'église, afin notamment de garantir la conservation du bâtiment et la sécurité publique.
En cas d'avis favorable de la Commission Régionale du Patrimoine et des Sites, le préfet de région décide d'inscrire ou de classer votre bien. Dans le cas du classement, votre dossier sera transmis au ministère de la Culture. Si votre dossier est rejeté, il vous sera possible de le reproposer ultérieurement.
Curé et équipe pastorale
En Bretagne, le curé est plus souvent appelé recteur et c'est son vicaire qui est appelé curé. Le curé est avant tout responsable de la pastorale et de l'exercice du culte, mais cela le charge aussi de préoccupations d'ordre temporel à l'égard de ses paroissiens (pratiquants ou non).
En France, le patrimoine religieux appartient pour une large part aux communes. Cette spécificité résulte de la Révolution française qui a nationalisé les biens du clergé et de la loi de 1905 de séparation des Églises et de l'État.
Celui qui a le soin de la sacristie, qui prépare les objets nécessaires au culte et aux cérémonies, entretient et orne l'église.
Constituer ou rejoindre une association qui se chargera de défendre l'intérêt de l'édifice, de mobiliser l'opinion et les donateurs pour sa restauration, et de pourvoir, si besoin, à sa valorisation, une fois la restauration accomplie.
Le mécénat des évêques et des chanoines
La cathédrale est par définition l'église de l'évêque. Étant le premier intéressé par la construction, l'évêque est naturellement le principal financeur du chantier.
Le ministère chargé de la Culture finance tous les travaux d'entretien, de réparation et de restauration dans la limite des dispositions de la loi du 9 décembre 1905 relative à la séparation des Églises et de l'État. Ces édifices sont affectés au culte catholique.
La vente d'église reste marginale. À ce jour on recense moins d'une vingtaine d'anciennes églises à vendre par des agences immobilières, telle celle de Patrice Besse qui s'est un fait un nom et une reconnaissance de fiabilité dans le domaine, ou sur des sites d'annonces en ligne, tel le BonCoin.
Qui est propriétaire des édifices du culte ? personnes privées qui les ont acquis ou construits, celles-ci sont généralement des associations cultuelles, des associations diocésaines ou des associations régies par la loi du 1er juillet 1901.
L'Etat est propriétaire des édifices anciens...
Première conséquence de cette loi, les édifices religieux (synagogues ou églises) bâtis avant 1905 sont devenus propriétés de l'Etat, qui les prête gratuitement aux églises.
Le presbytère (du latin presbyterium, du grec πρεσβύτερος (presbuteros), « ordre ou sacerdoce des prêtres », d'où lieu de vie des prêtres) est l'habitation du curé catholique ou du pasteur protestant.
La cathédrale, qui était propriété de l'archevêché de Paris, est mise à la disposition de la nation, comme l'ensemble des biens du clergé, le 2 novembre 1789. Depuis, l'État est resté propriétaire de la cathédrale.
De fait, les communes ont la charge financière de l'entretien de ces édifices existants depuis 1907, constitués à 90% d'églises catholiques.
Ce n'est là que l'aboutissement d'un ensemble de tensions internes et externes qui se sont ordonnées autour de quatre questions majeures : la notion d'autorité, la légitimité de l'orthodoxie doctrinale, le cheminement œcuménique et la cœxistence du monde profane.
Avec ou sans majuscule, selon le sens. Une église (avec un é minuscule) = un édifice où les chrétiens célèbrent leur culte. Une église romane, gothique ; aller à l'église. Église désigne le plus souvent un édifice consacré au culte catholique romain ou à un culte chrétien de rite oriental.
Dans la foi chrétienne, la prière est une relation, une parole adressée à quelqu'un. Une conversation entre un moi humain et un Vous/Tu transcendant auquel on s'adresse ou que l'on écoute. Il y a une dimension d'attachement, on cherche une proximité intérieure avec une présence.