Le vrai leader n'est pas obsédé par les résultats à court terme. Ce qui importe pour lui réellement, c'est la cohésion de l'équipe et le fait que chacun exprime au mieux son potentiel. Il va chercher plus loin avec tous les membres de son équipe, pour qu'ils s'épanouissent et deviennent meilleurs.
Être trop critique avec tout le monde. Le fait d'être beaucoup trop critique peut développer, au yeux du leadership, un aspect de la performance, de la productivité qui peut déplaire aux employés. Cela peut entraîner un manque de confiance chez tout le monde.
Le leader se doit donc de faire en sorte que son équipe lui fasse confiance ; il doit pour cela donner l'exemple, respecter ses engagements, faire ce qu'il dit et dire ce qu'il fait, soutenir ses collaborateurs y compris lorsqu'ils se trompent, leur porter de l'attention et leur montrer de la reconnaissance en cas de ...
Le leadership, un terme emprunté à l'anglais, définit la capacité d'un individu à mener ou conduire d'autres individus ou organisations dans le but d'atteindre certains objectifs. On dira alors qu'un leader est quelqu'un qui est capable de guider, d'influencer et d'inspirer.
Le style de leadership met les employés en priorité. Le leader créé des liens avec ses employés et une harmonie au sein de l'équipe. Il faut toutefois faire attention de ne pas trop laisser les employés à eux-mêmes, c'est-à-dire, sans direction.
Le leader visionnaire décrit non seulement le sens de l'entreprise, ses objectifs, mais aussi les moyens de les accomplir. Cela prend la forme d'une vision, c'est-à-dire d'une image du présent et de l'avenir. Cette image inspire. Elle donne des repères sur la bonne façon de se comporter.
Le leadership autoritaire (ou autocratique)
Le leadership autoritaire implique une réelle supériorité hiérarchique avec des dirigeants qui exercent un certain contrôle sur leurs subordonnés. La prise de décision est centralisée, ce qui signifie qu'une seule personne prend toutes les décisions importantes.
Selon K. Lewin, psychologue américain spécialiste des relations inter-personnelles, on peut distinguer trois types de leadership : le leadership autoritaire, le leadership démocratique et le leadership permissif ou “du laisser-faire”.
Les leaders sont confiants sans être arrogants
Une caractéristique des grands chefs confiants est qu'ils continuent de demeurer humbles malgré leur succès. Ils ne laissent pas leurs réalisations et leur position d'autorité leur faire croire qu'ils sont meilleurs que quiconque.
Un bon leader doit influencer et motiver les autres pour communiquer ses objectifs et les faire appliquer. Un dirigeant efficace doit non seulement partager sa vision de l'avenir, mais également donner confiance à ses collaborateurs afin de mieux les préparer aux défis de demain.
Le leadership peut être potentiellement exercé par toute personne, quelle que soit sa position hiérarchique. Le leader peut donc être celui qui a du leadership, ou celui qui est en position d'autorité. L'idéal est la conjonction des deux !
Un leader est quelqu'un qui dirige par l'exemple, de sorte que les autres sont motivés à le suivre. Pour être un leader, une personne doit avoir un engagement profond envers l'objectif qu'elle s'efforce d'atteindre, et ce, même si personne ne la suit !
Un leader charismatique doit avoir une vision très claire et savoir la partager avec passion. Plusieurs points doivent être réunis pour qualifier un leader charismatique : la force de conviction, la capacité de mobiliser ses équipes, l'envie de les guider et, surtout, la volonté d'aboutir et de réaliser son projet.
LIMITE DE LEADERSHIP : à force de compter beaucoup sur un individu, il développe l'orgueil et centralise le pouvoir, il n'écoute personne, car il sait qu'il est incontournable dans l'organisation, il utilise ses privilèges non pas pour le bien de l'organisation mais pour renforcer l'égoïsme.
La première catégorie de mauvais leaders est celle des leaders distants. Les leaders distants basent leurs relations avec leur équipe sur l'émotion. La communication n'est pas professionnelle, centrée sur les émotions et les ressentis. Le doute et le scepticisme sont roi et sapent les bases de la confiance.
Un leader positif tente de maintenir un climat de travail amical et chaleureux au sein de l'équipe afin de faire émerger le meilleur de chacun de ses membres. Le leader négatif, quant à lui, influence les membres de son équipe par le jugement, le négativisme, l'opposition ou le désintérêt face au projet.
C'est-à-dire de la capacité à faciliter l'accès des femmes à des fonctions de leader afin de piloter des projets, manager des équipes et diriger des services. La notion de leadership féminin est un sujet sensible, comme toutes les questions qui touchent au genre.