Il s'agit de faire appel à des pensées positives tant que possible et d'essayer de penser à ce qui vous arrive de bien en ce moment afin de changer d'humeur. Si le sujet revient vous serez alors dans un autre état d'esprit et vous pourrez alors sûrement mieux le laisser passer sans lui accorder trop d'importance.
Occupez plutôt votre cerveau à autre chose. Les jeux vidéo et les jeux de société sont très utiles pour cela. Vous pouvez également lire un livre, regarder la télévision ou téléphoner à un ami. Trouvez-vous quoi que ce soit qui requiert assez de concentration pour détourner votre pensée de ce que vous ruminez.
Les sombres pensées sont habituellement un signe d'anxiété, et non de désirs secrets. Lorsque nous craignons quelque chose, il est normal d'imaginer cette chose. C'est de cette façon que le cerveau réagit à la peur. C'est un moyen de nous assurer que nous n'agissons pas d'une manière dangereuse.
Recentrez vous sur le moment présent, le vrai, aussi dur soit-il à atteindre. Enfin, entraînez-vous le plus souvent possible ! Avec ces exercices, votre conscience sera de plus en plus alerte et stoppera immédiatement le retour de ces pensées négatives.
« Quand on pense négativement, on trouve des problèmes partout. Quand on pense positivement, on trouve des solutions à tout. »
La pensée « parasite » ou rumination mentale s'exprime, en général, par l'irruption brutale (vécue comme violente) de pensées involontaires et difficiles à contrôler, en lien avec le souvenir d'un événement passé ou à venir.
Les symptômes les plus connus sont le repli sur soi, l'incapacité d'agir, les sautes d'humeur, un comportement désorganisé, des problèmes de concentration, des mouvements répétitifs, des difficultés à tenir une conversation.
Pour arrêter de ruminer, il faut les accueillir pleinement. On essaye d'abord de comprendre laquelle de ces émotions se cache derrière sa pensée négative. Dans un second temps, on s'efforce de ne pas culpabiliser mais plutôt de l'accepter telle qu'elle nous apparaît, de lâcher-prise.
Si certaines de ces pensées vous semblent familières, pas de panique. La première chose très importante à réaliser est que vous n'êtes absolument pas la seule à avoir ce type de pensées très peu agréables. Bien au contraire : celles-ci touchent la grande majorité de la population.
Facteurs génétiques. Le trouble obsessionnel-compulsif semble être un « trait de famille ». On croit que les facteurs génétiques jouent un rôle important dans la tendance à sombrer dans les obsessions et les compulsions. Selon des études de recherche, aucun gène à lui seul est associé au trouble obsessionnel-compulsif.
Ne pas avoir de projets. Les personnes toujours négatives ne parlent que rarement de leurs projets parce qu'elles sont trop ancrées dans leur misère actuelle. Elles n'imaginent pas réaliser quoi que ce soit et se confortent dans leur situation de victime. Cette négativité devient leur zone de confort.
Pourquoi retient-on plus facilement les mauvaises choses que les bonnes? La mémoire est très influencée par le contenu émotionnel des événements, aussi bien négatifs (par exemple, traumatismes) que positifs (par exemple, récompenses).
Si vous avez tendance à remarquer ou vous appesantir sur ce qui est négatif, pas d'inquiétude. En fait, vous êtes simplement un être vivant pour lequel le mal a plus d'importance que le bien. Et oui, les humains ont été conçus avec la capacité de repérer les circonstances et conséquences négatives.
Ce phénomène, nommé en anglais "overthinking", bloque notre esprit en le remplissant d'angoisses, de peurs et d'inquiétudes inutiles. Les pensées sont normales et impossible à arrêter, mais c'est la manière de gérer ses pensées qui va faire la différence.
La réflexion excessive vous donne l'impression de stagner, de faire du sur-place. Sans une réaction immédiate, ce sentiment de rester coincé au même niveau est capable de mettre en danger votre bien-être et votre santé. Les dangers les plus redoutés sont la vulnérabilité, l'anxiété et la dépression.
Juste avant de quitter la spirale négative, vous allez avoir un choix : rester au statut quo une fois celles-ci arrêtée (ce qui vous fera un bien immense) ou faire en sorte qu'elle ne puisse jamais revenir. Souvent, la tendance va être alors de se reposer et vous le méritez, au vu du chemin parcouru.