La solution est de dormir suffisamment. Quand on dort peu, l'organisme produit davantage de ghréline, une hormone boostant l'appétit, et moins de leptine, une hormone favorisant la satiété. Autre solution : misez sur le magnésium, le manque favorise l'anxiété, donc les pulsions alimentaires.
Stress, anxiété, fatigue, émotions difficiles, mal-être…
Les régimes alimentaires trop restrictifs peuvent également entraîner des pulsions alimentaires pour compenser les privations trop fortes, sans compter le stress lié à la peur de grossir.
Boire permet en effet de couper une petite fringale.
N'hésitez pas à y ajouter quelques gouttes de citron pour la parfumer. Vous pouvez également vous préparer un thé ou une tisane. Le café en revanche est déconseillé car il augmente l'envie de sucre.
Le terme orthorexie est-il nouveau pour vous? L'Office québécois de la langue française le définit comme étant : « Un comportement névrotique caractérisé par l'obsession d'une alimentation saine. » En ajoutant que l'orthorexie nerveuse n'est pas reconnue comme une maladie dans le milieu médical.
Les troubles des conduites alimentaires (TCA) sont caractérisés par des comportements alimentaires différents de ceux habituellement adoptés par les personnes vivant dans le même environnement. Ces troubles sont importants et durables et ont des répercussions psychologiques et physiques.
La personne ressent un besoin de manger irrépressible et incontrôlé ("craving" important) l'obligeant à prendre de grandes quantités d'aliments en un temps court avec la sensation de ne pas pouvoir s'arrêter.
Manger des fibres, que l'on trouve dans les légumes, les fruits, les féculents, entre autre, permet de se sentir rassasié plus longtemps. Les travaux de recherche suggèrent qu'une augmentation de l'apport en fibres pourrait réduire les fringales et donc les compulsions alimentaires.
s'excuser parfois en expliquant pourquoi il est bon de répondre à une envie de nourriture. essayer à plusieurs reprises - mais sans succès - d'arrêter de manger certains aliments, ou fixer des règles concernant le moment où il est permis de les manger, par exemple lors de repas « de triche » ou certains jours.
L'eau est l'aliment santé par excellence et parmi ses innombrables fonctions salutaires, on trouve celle de coupe-faim naturel. Elle remplit, se diffuse dans l'organisme pour l'alimenter, ne s'évacue pas immédiatement, et boire un ou deux grands verres d'eau avant un repas permet de manger bien moins par la suite.
Pour se désintoxiquer et arrêter le sucre, l'idéal est de faire des bonnes nuits, de se détendre, de trouver du positif et du réconfort ailleurs. Le sport est bien sûr recommandé, mais aussi la consommation de tisanes pour se nettoyer et couper l'envie de sucre chaque fois qu'elle advient.
Généralement, la boulimie prend racine dans des troubles psychologiques, comme l'anxiété ou la dépression. L'hyperphagie boulimique peut également être liée à un mal-être mental, mais il s'agit également d'habitudes alimentaires bien ancrées.
Souvent, leurs crises d'hyperphagie sont déclenchées par une humeur dépressive ou anxieuse mais elles peuvent également se suralimenter lorsqu'elles sont tendues, lorsqu'elles se sentent seules ou qu'elles s'ennuient. Elles mangent pour nourrir leurs sentiments plutôt que leur corps.
Les compulsions alimentaires
Ce trouble est différent de l'hyperphagie boulimique. Les compulsions alimentaires consistent à grignoter tout au long de la journée ou à manger toujours un peu au-delà du seuil de satiété ou pour des raisons autres que la faim physiologique. Certains parlent de « manger leurs émotions ».
La boulimie se caractérise par des prises compulsives de quantités importantes de nourriture suivies de comportements compensatoires (vomissements, prise de laxatifs, jeûne ou exercice physique excessif...). Ces derniers sont absents dans l'hyperphagie boulimique.
En cas de boulimie sévère, la prescription de fluoxétine (antidépresseur) à des doses élevées aide à prévenir les crises de boulimie et à les rendre moins fréquentes. Ce médicament est moins orexigène que d'autres.
B. Comportements compensatoires inappropriés et récurrents visant à prévenir la prise de poids, tels que : vomissements provoqués, emploi abusif de laxatifs, diurétiques, lavements ou autres médicaments ; jeûne ; exercice physique excessif.
Dans plus de 80 % des cas, les personnes atteintes sont des femmes, avec un pic de fréquence chez les 13-14 ans et les 16-17 ans.
Les causes de l'hyperphagie
Ne s'agissant pas d'un besoin physiologique, métabolique ou énergétique, le développement de tels troubles alimentaires serait occasionné par une dérèglement psychologique, ou encore une atteinte affective.
Il est recommandé d'arrêter de manger au moins 2 à 3 heures avant d'aller se coucher. Ceci permet au corps de faire la digestion et d'éliminer les calories ingérées avant le repos. De plus, le dîner doit être le repas le plus léger, car le métabolisme ralentit pendant la nuit.