Côté légumes, vous trouverez dans vos plats gombos, igname, manioc, patate douce, fruit à pain. La cuisine créole est friande d'épices comme le bois d'inde, piment, noix de muscade, gingembre, curcuma. Vous pourrez vous fournir en produits frais dans les nombreux marchés martiniquais.
Le niveau de prix de l'alimentaire est supérieur de 40 % en Martinique par rapport à la France métropolitaine (figure 3). De plus, c'est l'un des principaux postes de dépenses des ménages martiniquais (14 %) comme métropolitains (15 %) (figure 4).
Thons, thazards, marlins, balaous, daurades, vivaneaux… On ne fait pas plus frais ! Le poisson est vendu 10€ le kilo.
A noter, pour deux semaines en Martinique, il faudra prévoir un budget minimum de 2 000 € tout compris pour deux personnes. Si vous privilégiez le confort des chambres d'hôtel et souhaitez profiter des restaurants et des nombreuses activités touristiques sur place, une enveloppe de 3 500 € sera suffisante.
Le poulet boucané, une viande passée au barbecue avec un délicieux goût fumé Tout le monde connaît le boudin créole, le crabe farcis et le colombo. La langouste grillée tient une place de choix dans la gastronomie martiniquaise. Elle peut être accompagnée d'une sauce chien faite d'oignons, de citron et d'herbes.
Enfin le colombo – de cabri, de poulet ou de porc – est probablement le plat en sauce le plus connu de Martinique, la viande mijotant longuement dans un mélange d'oignon, d'épices et de bouillon.
Ce budget a été calculé sur la base d'un mode de consommation européen, en prenant en compte les coûts au sein d'une grande ville du pays. Le coût de la vie en Martinique est donc 9% moins élevé qu'en France.
En Martinique, vous pouvez payer avec des cartes bancaires classiques de type Visa ou Mastercard.
En raison de son climat tropical, les températures de l'île restent chaudes toute l'année. Si vous vous demandez quand partir en Martinique, on vous conseille de préférer le mois de septembre aux traditionnels juillet/août. En effet, pendant notre été, la Martinique vit sa saison des pluies.
Selon notre enquête, Leclerc est 6 % moins cher que la moyenne sur l'alimentaire en Martinique.
Pour l'introduction de tous les fruits et légumes, vous devez présenter un certificat phytosanitaire obtenu auprès du pays de provenance. guideKnowÀ savoir : Seuls les bananes, noix de coco, durian, dattes et ananas sont autorisés à entrer en France sans limite de quantité et sans certificat phytosanitaire.
Dans les villes les plus « riches », en Martinique, que sont Case-Pilote et Schoelcher, 20 % de la population vit avec moins de 720 euros par mois…
Quelle prévention ? On dispose de vaccins contre la diphtérie, la plupart des méningites, le tétanos et la tuberculose. Les autres infections sont transmises soit par des insectes, soit par l'alimentation, soit par contamination directe ou sanguine.
Le climat tropical, chaud et humide, convient parfaitement aux moustiques. Ces derniers sont donc assez présents en Martinique. La majorité des visiteurs viennent d'ailleurs avec des répulsifs anti-moustiques dans leurs valises mais peu nombreux sont ceux qui arrivent vraiment à échapper aux piqures.
Les yen-yen sont des toutes petites mouches Cératopogonidées qu'on trouve en zone humide. Aux Antilles on les trouve en zone de mangrove et au bord de certaines plages. Sur les plages, elles sortent plutôt environ une heure/1h30 avant le coucher du soleil. Elles piquent fortement car en fait elles croquent.
1. Les Anses-d'Arlet. Concourante au titre du meilleur village français en 2020, la ville des Anses-d'Arlet est assurément un des plus beaux villages de Martinique. Nichée sur la côte Sud Caraïbe de l'île, sur la réputée « route des Anses », elle est un petit coin de paradis appelant à la farniente décomplexée.
L'alimentation est le principal contributeur à l'écart de prix entre la Martinique et la France métropolitaine. D'une part, il s'agit d'un des premiers postes du budget d'un ménage (15,6 % du budget d'un ménage martiniquais).
Le salaire moyen progres- se peu depuis 2008. Il a plongé début 2009 suite au conflit social, pour remonter au second trimestre. à 7 394 € par an pour la Martinique, 6 806 € pour la Guadeloupe et 5 952 € pour la Guyane.
A la senne, à la nasse, « à miquelon », à la ligne : chaque commune de bord de mer, chaque poisson a « sa pêche » et la yole reste l'embarcation la plus populaire… Thon, thazard, daurade coryphène, marlin, vivanneau, langouste font partie des délices de notre gastronomie.
Les légumes racines sont également indissociables de la cuisine martiniquaise. Incorporés dans les plats locaux, l'on citera en particulier l'igname, la patate douce, les madères les malangas. Le manioc et l'igname pacala ou cousse couche sont les tubercules les plus utilisés dans la cuisine martiniquaise.